Le bond des ventes de billets survient, de mieux en mieux, alors que de plus en plus de gouvernements annoncent un assouplissement des restrictions frontalières liées au COVID-19. Une enquête de l’IATA sur les restrictions de voyage pour les 50 principaux marchés mondiaux du transport aérien (comprenant 92 % de la demande mondiale en 2019, mesurée en passagers-kilomètres payants) a révélé l’accès croissant disponible pour les voyageurs vaccinés.
“L’élan vers la normalisation du trafic s’accélère. Les voyageurs vaccinés ont le potentiel de voyager beaucoup plus avec moins de tracas qu’il y a quelques semaines. Cela donne à un nombre croissant de voyageurs la confiance nécessaire pour acheter des billets. Et c’est une bonne nouvelle ! Nous devons maintenant accélérer encore la suppression des restrictions de voyage. Bien que les progrès récents soient impressionnants, le monde reste loin des niveaux de connectivité de 2019. Treize des 50 principaux marchés du voyage ( dont le Maroc) n’offrent toujours pas un accès facile à tous les voyageurs vaccinés. Cela inclut des économies majeures comme la Chine, le Japon, la Russie, l’Indonésie et l’Italie », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l’IATA.
L’IATA continue d’appeler à :
L’ouverture des frontières et de l’aérien, n’est pas, en effet, un indicateur de développement des voyages, car les restrictions signalées, entravent le développement des voyages. Le cas du Maroc est à signaler avec les contraintes imposées à l’arrivée des aéroports, notamment un PCR et un test à l’arrivée. Or tout voyageur qui dispose d’un pass vaccinal et de santé, reconnu par son pays d’origine, n’a nullement besoin de présenter un PCR plus un test de dépistage à l’arrivée.
Bloqués par deux années et demi chez eux à cause des contraintes du Covid-19, les gens cherchent à respirer un peu d’air et de reprendre les voyages. Les professionnels marocains étaient heureux avec l’ouverture des frontières, sauf que les dispositions marocaines actuelles imposées aux aéroports, bloque tout le développement souhaité. En effet, depuis le 7 février les ventes de billets et arrivées n’ont pas dépassé les 20%. Le demande existe mais la concrétisation des voyages est bloquée par les contraintes imposées, car un touriste n’a nullement besoin d’être malmené à l’aéroport et rester bloquer trois heures ( entre arrivée au sol et sortie de l’aéroport).
Moralité si vraiment il y a grand souhait de faire renaitre le secteur du tourisme, de l’hôtellerie et des voyages de ses cendre, chez nous, il est très judicieux voire impératif de s’aligner sur les recommandations de l’IATA, qui sont de plus clairs, de plus précis et de plus pratiques, pour faciliter les voyages et l’aérien… a savoir que le Maroc, fait partie, selon l’IATA des 50 principaux marchés du transport aérien. A signaler aussi que pour le Maroc, il reste le mois de mars à doper car Ramadan arrive au mois d’avril, avec une demande qui baisse énormément. Pour préparer comme il se doit la saison estivale qui commence au mois de Mai prochain il est indiscutable de supprimer tous ces obstacles de voyages pour une bonne reprise des voyages, comme les règles.
A bon entendeur salut
Med Rial
“L’élan vers la normalisation du trafic s’accélère. Les voyageurs vaccinés ont le potentiel de voyager beaucoup plus avec moins de tracas qu’il y a quelques semaines. Cela donne à un nombre croissant de voyageurs la confiance nécessaire pour acheter des billets. Et c’est une bonne nouvelle ! Nous devons maintenant accélérer encore la suppression des restrictions de voyage. Bien que les progrès récents soient impressionnants, le monde reste loin des niveaux de connectivité de 2019. Treize des 50 principaux marchés du voyage ( dont le Maroc) n’offrent toujours pas un accès facile à tous les voyageurs vaccinés. Cela inclut des économies majeures comme la Chine, le Japon, la Russie, l’Indonésie et l’Italie », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l’IATA.
L’IATA continue d’appeler à :
- Supprimer tous les obstacles au voyage (y compris la quarantaine et les tests) pour les personnes entièrement vaccinées avec un vaccin approuvé par l’OMS,
- Permettre un voyage sans quarantaine pour les voyageurs non vaccinés avec un résultat négatif au test antigénique avant le départ,
- Suppression des interdictions de voyager, et,
- Accélérer l’assouplissement des restrictions de voyage en reconnaissant que les voyageurs ne présentent pas un plus grand risque de propagation de la COVID-19 qu’il n’en existe déjà dans la population générale.
L’ouverture des frontières et de l’aérien, n’est pas, en effet, un indicateur de développement des voyages, car les restrictions signalées, entravent le développement des voyages. Le cas du Maroc est à signaler avec les contraintes imposées à l’arrivée des aéroports, notamment un PCR et un test à l’arrivée. Or tout voyageur qui dispose d’un pass vaccinal et de santé, reconnu par son pays d’origine, n’a nullement besoin de présenter un PCR plus un test de dépistage à l’arrivée.
Bloqués par deux années et demi chez eux à cause des contraintes du Covid-19, les gens cherchent à respirer un peu d’air et de reprendre les voyages. Les professionnels marocains étaient heureux avec l’ouverture des frontières, sauf que les dispositions marocaines actuelles imposées aux aéroports, bloque tout le développement souhaité. En effet, depuis le 7 février les ventes de billets et arrivées n’ont pas dépassé les 20%. Le demande existe mais la concrétisation des voyages est bloquée par les contraintes imposées, car un touriste n’a nullement besoin d’être malmené à l’aéroport et rester bloquer trois heures ( entre arrivée au sol et sortie de l’aéroport).
Moralité si vraiment il y a grand souhait de faire renaitre le secteur du tourisme, de l’hôtellerie et des voyages de ses cendre, chez nous, il est très judicieux voire impératif de s’aligner sur les recommandations de l’IATA, qui sont de plus clairs, de plus précis et de plus pratiques, pour faciliter les voyages et l’aérien… a savoir que le Maroc, fait partie, selon l’IATA des 50 principaux marchés du transport aérien. A signaler aussi que pour le Maroc, il reste le mois de mars à doper car Ramadan arrive au mois d’avril, avec une demande qui baisse énormément. Pour préparer comme il se doit la saison estivale qui commence au mois de Mai prochain il est indiscutable de supprimer tous ces obstacles de voyages pour une bonne reprise des voyages, comme les règles.
A bon entendeur salut
Med Rial