La date limite de soumission à ce premier Festival et marché professionnel de la Musique d’Afrique et du Moyen-Orient est le 30 avril 2022, ont précisé les organisateurs dans un communiqué.

Cette année, une trentaine d’artistes/groupes d’Afrique et du Moyen-Orient seront sélectionnés par un jury composé de personnalités de la culture et du monde de la musique, selon la même source.

"Alors que la scène musicale d’Afrique et du Moyen-Orient connaît un dynamisme formidable et pullule d’artistes, ces derniers rencontrent des difficultés de mise en lumière sur la scène internationale. Visa for Music se donne pour mission de leur offrir une tribune d’expression par l’organisation de cet événement fédérateur", souligne le communiqué.

Ce festival est aujourd’hui une "plateforme qui favorise les opportunités de rencontres et contribue à donner la visibilité et la place qu’ils méritent aux artistes d’Afrique et du Moyen-Orient", a ajouté la même source.

La 9 ème édition de Visa for Music prendra une forme hybride: forte des expériences live de ses éditions depuis 2014, du format intégralement digital de 2020 et du format hybride de 2021, l’édition 2022 de Visa for Music proposera une expérience inédite, mélangeant concerts et conférences live et retransmissions digitales.

Faisant preuve de résilience face au contexte sanitaire actuel, cette édition "servira de référence du renouvellement des priorités et orientations du domaine culturel de demain en Afrique et au Moyen-Orient", lit-on dans le communiqué.

Comme chaque année, Visa For Music a l’ambition de confirmer son rôle de "rendez-vous incontournable" pour les artistes et les professionnels de la filière musicale venus du monde entier : agents, maisons de disque, programmateurs, institutions culturelles et fondations, médias et formateurs, etc.

source : Lesinfos.ma

    C’est un nouveau souffle pour la CGEM de l’union régionale de Souss-Massa. C’est désormais, Driss Boutti, directeur général de Cosmaline, et Brahim Sahib, président directeur général du groupe Fantasia, qui viennent de prendre les commandes de la section patronale de Souss-Massa pour le mandat 2022-2024. Les candidats présentés en binôme viennent de succéder à l’équipe sortante en tant que président et vice-président.
  Après la clôture de l’émargement et le passage aux urnes, le choix des deux candidats s’est effectué à hauteur de 93% des voix exprimées lors de l’assemblée générale ordinaire et élective de la CGEM Souss-Massa, tenue jeudi 10 février 2022, à Agadir.
  En effet, sur 306 membres que compte la CGEM régionale, 122 membres étaient éligibles au vote entamée à 16h30, notamment à travers plusieurs critères d’éligibilité dont l’ancienneté d’une année au minimum et être à jour par rapport aux cotisations au plus tard 21 jours calendaires avant la date de l’assemblée générale ordinaire élective, c’est à dire le 16 mars 2022 à 18h00.
   Il va sans dire que, conformément à l’appel à candidature lancé, depuis le 4 janvier 2022, deux candidatures ont été déposées pour le suffrage des entreprises, notamment le binôme unique lors de l’élection, à savoir Driss Boutti, pour la fonction de président régional, et Brahim Sahib, pour la vice-présidence, après que le binôme constitué d’Abderrahman Laaroussi, directeur d’Euro Caf Consulting, et Redouane Mounir, s’est retiré quelques jours avant la tenue de l’assemblée générale.
Les engagements de Driss Boutti

   De ce fait, le président actuel, qui assure aussi la présidence du Club des investisseurs d’Agadir Souss-Massa, a récupéré le flambeau de Majid Jondy, vétéran et doyen des présidents de la CGEM-Souss-Massa qui a été le porte-voix des entreprises durant cinq mandats d’engagement au niveau régional en faveur du tissu économique régional et national. Cependant, pour Driss Boutti, fraîchement élu à la tête de la section patronale, les dossiers ne manquent pas avec plusieurs priorités sur l’autel des doléances du tissu économique régional.
   «J’ai la foi en notre capacité à relever l’ensemble des défis posés, notamment rehausser le taux d’investissement et d’emploi au niveau de la région», a annoncé Driss Boutti, lors de son élection. Mettant l’accent sur les potentialités de la région, le nouveau président a ajouté que «la CGEM est tout d’abord le porte-parole des entreprises et entrepreneurs. C’est également un carrefour de l’ensemble des enjeux socio-économiques et une force de propositions qui doit être au cœur de toutes les prises de décisions au niveau local, régional et national».

 Toujours selon Boutti, «la nouvelle équipe sera jugée sur le nombre de problèmes et doléances résolues ainsi que sur les actions efficaces à mener. C’est pourquoi notre programme sera axé sur un esprit de famille avec une meilleure proximité et écoute du tissu économique régional tout en consolidant les acquis avec la continuation du travail accompli en défendant les intérêts des entreprises régionales et en élargissant la base des adhérents affiliés de la CGEM», indique-t-il.
   D’ailleurs, ce dernier point était toujours l’une des priorités des nouvelles équipes dirigeantes qui se sont succédé à la tête de la CGEM, Et ce, en plus de la question des moyens financiers et surtout d’autonomie, particulièrement dans le cadre de la régionalisation avancée prônée par le Royaume.
Nouveau bureau : 11 membres et 8 commissions

  Dans le détail, la nouvelle instance régionale de la CGEM est constituée de 11 membres sur la base du scrutin de liste pour la période 2022-2024. De surcroît, un comité d’honneur réunissant cinq fleurons d’entreprises régionales les plus grandes, a été créé ainsi que la création de huit commissions thématiques dédiés, entres autres, aux secteurs productifs, aux services, à la finance,  à la fiscalité et la douane, à la coopération internationale, au développement humain et à l’inclusion sociale en plus de la formation, l’entrepreneuriat, la TPE et l’auto entrepreneuriat.
 
  Par ailleurs, cette assemblée générale ordinaire élective a été tenue en présence d’Abdelkrim Mehdi, président de la Commission dynamique régionale et partenariats public-privé (PPP) de la CGEM en plus d’Omar Oukrid, responsable du pôle de Coordination régionale et sectorielle. Par ailleurs, conformément aux dispositions des statuts et du règlement intérieur de la CGEM, l’assemblée générale ordinaire a validé à l’unanimité le rapport moral relatif au mandat 2018/2021. Et, également, la situation financière des membres relative au mandat 2018/2021 avant que l’ancien bureau ne donne le quitus à la présidence et au bureau actuels.

 Pour rappel, conformément aux dispositions des statuts et du règlement Intérieur de la CGEM, les conditions d’éligibilité aux fonctions de président régional et de vice-président général régional de la CGEM Souss-Massa concerne plusieurs conditions, entres autres, la représentation légale d’une entreprise. Il s’agit aussi d’être à jour pour les cotisations au titre de l’année 2021 et des années antérieures et justifier que le membre direct, dont le candidat est le représentant légal, a été membre pour au moins, les deux dernières années. Il s’agit aussi de recueillir les signatures de soutien d’un minimum de cinquante membres directs à jour de leurs cotisations avant le dépôt de candidature et justifiant d’une année d’ancienneté. Le nombre de signatures de soutien à recueillir s’applique au binôme candidat et non pas séparément à chacun des candidats.
 
Yassine Saber / LesInspirationsÉCO

 
 

 Liste du nouveau bureau 

Président                  
M. Driss BOUTTI
 
Vice -Président Général   
M. Brahim SAHIB
 
M. Khalil AFQUIR
Vice-Président
En charge des relations avec l’administration et les banques
 
M. Badr Eddine MESSAOUDI
Vice-Président
En charge des programmes d’incitation & des subventions 
 
M. Amine DOR
Vice-Président
En charge du suivi des programmes d’investissements dans la région
 
M. Brahim EL IBRAHIMI
Secrétaire Général
 
M. Hassan AZAIM 
Secrétaire Général Adjoint
En charge de la prospection & des relations avec les adhérents
 
M. Mohamed Ali BOUHJRA
Trésorier
En charge des études, des statistiques et de la banque de données
 
Mme Hanane SKOUTTI
Trésorier Adjoint
Chargée du recouvrement 
 
Mme Touria OUCHEHAD BOULBAROUD
Assesseur
Chargée de la communication et des relations publiques
 
Mme Zaina IDHALI
Assesseur
Chargée des relations avec les élus

 

Nous sommes au maximum de nos capacités entre la France et le Maroc. Sur certaines semaines, nous dépassons même les niveaux de trafic de 2019 
, a déclaré Ilham Kazzini, la directrice commerciale de la Royal Air Maroc à Tourmag.com.

LLe retour des français dans de telles proportions est une très bonne surprise, que ce soit pour nos lignes directes entre France et Maroc ou sur nos vols via notre hub de Casablanca en continuation vers l’Afrique. Les réservations s’envolent, dans les deux sens  précise-t-elle au magazine.

Les autres compagnies qui opèrent sur le Maroc livrent le même constat. Transavia déclare avoir vendu 25.000 billets du 7 au 13 mars. Elle propose 600.000 sièges pour la saison estivale de cette année, soit 40% de mieux qu’en 2019.

20 routes au total seront opérationnelles cet été entre France et Maroc au départ d’Orly, Nantes, Lyon, Montpellier et Bastia. Ceci avec deux nouveautés, initialement prévues en fin d’année dernière : les dessertes de Fès et de Oujda au départ de Nantes, prévues pour le 3 mai, souligne Tourmag.

Air France, de son côté, qui indique que son trafic entre France et Maroc ..;

Même les compagnies low-cost européennes, qui avaient abandonné le marché marocain pendant la crise, reviennent.

EasyJet annonce une augmentation de 11% de son offre entre les deux pays par rapport à ses capacités à la même période en 2019. Ryanair qui avait bluffé en annonçant don retrait définitif des aéroports marocains, revient de son côté avec une offre supérieure de 50% à celle de 2019, selon Tourmag.

Avant la pandémie, 66 vols quotidiens circulaient en moyenne sur le Maroc depuis tous les aéroports français.

Source : opr.news