LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES
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04/07/2023 Med Mohamed Rial
Le GIEC a révélé le premier volume de son 6ème rapport dédié aux aspects physiques du changement climatique. La publication décrit les contours d’un cataclysme climatique en cours. Très attendu, le premier volume du 6ème rapport d’évaluation du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) relatif aux aspects physiques du changement climatique a été publié le lundi 9 août.
Ce travail est le résultat de plusieurs années d’un labeur mené par 234 experts (issus de 66 pays) qui ont méthodiquement analysé la littérature scientifique (14.000 études), afin de livrer la mise à jour la plus exhaustive possible des connaissances sur le climat, à l’issue d’un strict processus de validation impliquant les 195 Etats-membres du GIEC.
Si les précédents rapports du GIEC ont toujours mis en exergue le danger des impacts du changement climatique et la nécessité d’une action mondiale coordonnée, le premier volume de ce 6ème rapport est, selon le Secrétaire Général de l’ONU, une « alerte rouge pour l’humanité ».
En plus d’asseoir définitivement le rapport de cause à effet entre activités humaines et changements climatiques, le GIEC démontre que le réchauffement de la planète affecte toutes les régions du globe, souvent d’une manière irréversible.
Vers un lendemain incertain ?
Le rapport du GIEC indique que depuis la seconde moitié du XIXème siècle, les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines ont provoqué une augmentation moyenne de la température mondiale de 1,1 ºC. Cette tendance devrait se poursuivre au cours des 20 prochaines années, entraînant une augmentation totale d’au moins 1,5 ºC depuis l’ère préindustrielle.
Selon les auteurs, l’augmentation de 1,5 ºC pourrait même être atteinte dans 9 ans, ce qui entraînerait plusieurs conséquences irréversibles parmi lesquelles la disparition de 70% des coraux du Pacifique. «A moins qu’il n’y ait des réductions immédiates, rapides et à grande échelle des émissions de gaz à effet de serre, la limitation du réchauffement à près de 1,5°C ou même 2°C seront hors de portée.
Pour 1,5°C de réchauffement climatique, il y aura des vagues de chaleur croissantes, des saisons chaudes, plus longues et des saisons froides, plus courtes. À 2°C de réchauffement climatique, les chaleurs extrêmes atteindraient plus souvent des seuils de tolérance critiques pour l’agriculture et la santé», souligne le rapport.
Si les précédents rapports du GIEC ont toujours mis en exergue le danger des impacts du changement climatique et la nécessité d’une action mondiale coordonnée, le premier volume de ce 6ème rapport est, selon le Secrétaire Général de l’ONU, une « alerte rouge pour l’humanité ».
En plus d’asseoir définitivement le rapport de cause à effet entre activités humaines et changements climatiques, le GIEC démontre que le réchauffement de la planète affecte toutes les régions du globe, souvent d’une manière irréversible.
Vers un lendemain incertain ?
Le rapport du GIEC indique que depuis la seconde moitié du XIXème siècle, les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines ont provoqué une augmentation moyenne de la température mondiale de 1,1 ºC. Cette tendance devrait se poursuivre au cours des 20 prochaines années, entraînant une augmentation totale d’au moins 1,5 ºC depuis l’ère préindustrielle.
Selon les auteurs, l’augmentation de 1,5 ºC pourrait même être atteinte dans 9 ans, ce qui entraînerait plusieurs conséquences irréversibles parmi lesquelles la disparition de 70% des coraux du Pacifique. «A moins qu’il n’y ait des réductions immédiates, rapides et à grande échelle des émissions de gaz à effet de serre, la limitation du réchauffement à près de 1,5°C ou même 2°C seront hors de portée.
Pour 1,5°C de réchauffement climatique, il y aura des vagues de chaleur croissantes, des saisons chaudes, plus longues et des saisons froides, plus courtes. À 2°C de réchauffement climatique, les chaleurs extrêmes atteindraient plus souvent des seuils de tolérance critiques pour l’agriculture et la santé», souligne le rapport.
Recrudescence des phénomènes extrêmes
À l’image des catastrophes naturelles qui se font déjà plus intenses et plus récurrentes, d’autres phénomènes dramatiques pour l’environnement et pour l’Homme ne manqueront pas de s’accentuer. Les océans connaîtront ainsi une augmentation des vagues de chaleur marines, ainsi que l’acidification et la réduction des niveaux d’oxygène qui y sont associées, tandis que les zones côtières de faible altitude seront soumises à davantage d’inondations et d’érosion.
Le rapport indique que « les évènements extrêmes liés au niveau de la mer, qui se produisaient auparavant une fois tous les 100 ans, pourraient intervenir chaque année d’ici la fin du siècle ». Si les températures vont augmenter sur l’ensemble de la planète, le changement sera plus prononcé dans les zones émergées, notamment l’Arctique, où la hausse de la température moyenne devrait être plus de deux fois supérieure à la moyenne mondiale.
Selon les prévisions, les précipitations vont augmenter aux latitudes élevées, provoquant des inondations, des coulées de boue et d’autres catastrophes naturelles, tandis que certaines régions connaîtront des sècheresses plus sévères.
La priorité de l’élimination du CO2
Malgré le diagnostic catastrophique établi, les auteurs du GIEC ne se permettent cependant pas de perdre tout espoir. Selon eux, si les émissions de dioxyde de carbone, et d’autres gaz à effet de serre, causées par l’Homme sont réduites de manière drastique, l’effet sur la qualité de l’air devrait être rapidement visible.
Le GIEC place notamment son espoir dans «l’élimination anthropique du CO2», un processus dans lequel le CO2 est censé être retiré de l’atmosphère et séquestré pendant de longues périodes. On parle aussi de «compensation carbone».
Cela dit, même si des mesures importantes sont prises dès maintenant, il faudra peut-être encore 20 à 30 ans pour que les températures mondiales se stabilisent, et des centaines, voire des milliers d’années pour que le niveau des mers cesse de monter. En février 2022, sera publié le second volet du rapport du GIEC dédié aux impacts du changement climatique, l’adaptation et la vulnérabilité. En mars 2022, un troisième volet évaluera l’atténuation du changement climatique. Les trois volets de ce 6ème rapport du GIEC seront alors synthétisés en un seul document global.
https://www.lopinion.ma/Changement-climatique-GIEC-Une-nouvelle-Alerte-rouge-pour-l-humanite_a17614.html par Oussama ABAOUSS
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À l’image des catastrophes naturelles qui se font déjà plus intenses et plus récurrentes, d’autres phénomènes dramatiques pour l’environnement et pour l’Homme ne manqueront pas de s’accentuer. Les océans connaîtront ainsi une augmentation des vagues de chaleur marines, ainsi que l’acidification et la réduction des niveaux d’oxygène qui y sont associées, tandis que les zones côtières de faible altitude seront soumises à davantage d’inondations et d’érosion.
Le rapport indique que « les évènements extrêmes liés au niveau de la mer, qui se produisaient auparavant une fois tous les 100 ans, pourraient intervenir chaque année d’ici la fin du siècle ». Si les températures vont augmenter sur l’ensemble de la planète, le changement sera plus prononcé dans les zones émergées, notamment l’Arctique, où la hausse de la température moyenne devrait être plus de deux fois supérieure à la moyenne mondiale.
Selon les prévisions, les précipitations vont augmenter aux latitudes élevées, provoquant des inondations, des coulées de boue et d’autres catastrophes naturelles, tandis que certaines régions connaîtront des sècheresses plus sévères.
La priorité de l’élimination du CO2
Malgré le diagnostic catastrophique établi, les auteurs du GIEC ne se permettent cependant pas de perdre tout espoir. Selon eux, si les émissions de dioxyde de carbone, et d’autres gaz à effet de serre, causées par l’Homme sont réduites de manière drastique, l’effet sur la qualité de l’air devrait être rapidement visible.
Le GIEC place notamment son espoir dans «l’élimination anthropique du CO2», un processus dans lequel le CO2 est censé être retiré de l’atmosphère et séquestré pendant de longues périodes. On parle aussi de «compensation carbone».
Cela dit, même si des mesures importantes sont prises dès maintenant, il faudra peut-être encore 20 à 30 ans pour que les températures mondiales se stabilisent, et des centaines, voire des milliers d’années pour que le niveau des mers cesse de monter. En février 2022, sera publié le second volet du rapport du GIEC dédié aux impacts du changement climatique, l’adaptation et la vulnérabilité. En mars 2022, un troisième volet évaluera l’atténuation du changement climatique. Les trois volets de ce 6ème rapport du GIEC seront alors synthétisés en un seul document global.
https://www.lopinion.ma/Changement-climatique-GIEC-Une-nouvelle-Alerte-rouge-pour-l-humanite_a17614.html par Oussama ABAOUSS
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Par Med Mohamed Rial le Dimanche 15 Août 2021
Selon le ministère de la Santé, le Maroc compte plus de 10.500 morts du Covid-19. Qui sont-ils ? Qui en meurt le plus ? et quels sont les facteurs prédictifs de mortalité pris en charge au service de réanimation? Autant de questions auxquelles une étude marocaine publiée récemment, a répondu. Détails.
En cette période d'épidémie de Covid-19, certaines personnes ont plus de risque de développer une forme grave du virus que d’autres, du fait de leur maladie, leur âge, ou encore leur génétique. C’est dans ce sens que dix chercheurs du Centre hospitalier universitaire (CHU) Mohammed VI et de la Faculté de médecine et de pharmacie de l’Université Mohammed 1er d’Oujda ont mené une étude, en vue d’«identifier les facteurs prédictifs de mortalité chez les patients atteints de Covid-19 pris en charge au service de réanimation» et déterminer les facteurs de survenance de formes sévères et de mortalité.
Hypertension artérielle, diabète, asthme…
Cette étude étalée sur 10 mois entre mars 2020 et décembre 2020, passant au crible 600 patients admis dans le service de réanimation du CHU Mohammed VI de Oujda, confirme que les hommes, les personnes âgées, les plus démunies, celles sujettes à des diabètes , à l’hypertension artérielle non contrôlés ou encore à l'insuffisance cardiaque font partie des populations les plus à risque. Quelque 403 des patients précités étaient des hommes, soit 67,2%.
En outre, les comorbidités les plus fréquentes étaient l'hypertension artérielle (31,80 %), le diabète (31,30 %), l'insuffisance cardiaque (13,20%), l'insuffisance rénale chronique (5,80 %), l’asthme (3,70%) et la bronchopneumopathie chronique obstructive (1,20%) et le syndrome d'apnées obstructives du sommeil (0,50%).
L’étude révèle aussi que les personnes décédées étaient majoritairement des hommes âgés de plus de 65 ans. Le taux de mortalité était nettement plus élevé chez les personnes diabétiques (34,60%), obèses (43,80%) ou encore les hypertendues (34,60%).
D’après les chercheurs, l'objectif de cette étude, est d'aider éventuellement le personnel soignant à reconnaître d’avance toute personne présentant un risque élevé de létalité et donc optimiser sa prise en charge . « Toute personne atteinte de COVID-19 et présentant ces prédicteurs de létalité devrait être un candidat prioritaire pour la vaccination », ont -ils recommandé.
Toutefois, avec ce nouveau variant Delta représentant 82% des nouveaux cas à l’échelle mondiale, l'équation de ces facteurs prédictifs pourrait changer, notamment pour ces salles de réanimations qui ont vu rajeunir leur profils, dérogeant à toutes les normes de son prédécesseur. En effet, bien que cette étude révèle des facteurs prédictifs susceptibles de réduire le taux de mortalité dû au Covid-19, il n’en demeure pas moins que les chiffres avancés, à Oujda, restent non exhaustifs. Pour plus de pertinence, de nouvelles recherches semblables à l’échelle nationale s’imposent.
https://www.lopinion.ma par Chaimae Barki
Hypertension artérielle, diabète, asthme…
Cette étude étalée sur 10 mois entre mars 2020 et décembre 2020, passant au crible 600 patients admis dans le service de réanimation du CHU Mohammed VI de Oujda, confirme que les hommes, les personnes âgées, les plus démunies, celles sujettes à des diabètes , à l’hypertension artérielle non contrôlés ou encore à l'insuffisance cardiaque font partie des populations les plus à risque. Quelque 403 des patients précités étaient des hommes, soit 67,2%.
En outre, les comorbidités les plus fréquentes étaient l'hypertension artérielle (31,80 %), le diabète (31,30 %), l'insuffisance cardiaque (13,20%), l'insuffisance rénale chronique (5,80 %), l’asthme (3,70%) et la bronchopneumopathie chronique obstructive (1,20%) et le syndrome d'apnées obstructives du sommeil (0,50%).
L’étude révèle aussi que les personnes décédées étaient majoritairement des hommes âgés de plus de 65 ans. Le taux de mortalité était nettement plus élevé chez les personnes diabétiques (34,60%), obèses (43,80%) ou encore les hypertendues (34,60%).
D’après les chercheurs, l'objectif de cette étude, est d'aider éventuellement le personnel soignant à reconnaître d’avance toute personne présentant un risque élevé de létalité et donc optimiser sa prise en charge . « Toute personne atteinte de COVID-19 et présentant ces prédicteurs de létalité devrait être un candidat prioritaire pour la vaccination », ont -ils recommandé.
Toutefois, avec ce nouveau variant Delta représentant 82% des nouveaux cas à l’échelle mondiale, l'équation de ces facteurs prédictifs pourrait changer, notamment pour ces salles de réanimations qui ont vu rajeunir leur profils, dérogeant à toutes les normes de son prédécesseur. En effet, bien que cette étude révèle des facteurs prédictifs susceptibles de réduire le taux de mortalité dû au Covid-19, il n’en demeure pas moins que les chiffres avancés, à Oujda, restent non exhaustifs. Pour plus de pertinence, de nouvelles recherches semblables à l’échelle nationale s’imposent.
https://www.lopinion.ma par Chaimae Barki
Par Med Mohamed Rial le Samedi 14 Août 2021
Placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette manifestation sportive est initiée par l'Association marocaine de kitesurf (AMKS), sous l'égide de la Fédération royale marocaine de voile (FRMV), en partenariat avec la wilaya, l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du sud du Royaume (APDS) et la région de Dakhla-Oued Eddahab, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Cet évènement qui s’inscrit dans le cadre des festivités marquant la célébration du 42ème anniversaire de la récupération de la province d’Oued Eddahab, propose à ses participants la plus grande descente au vent en kitesurf d’Afrique.
Outre des participants marocains, cet évènement sportif connaîtra la participation de près de 50 riders, issus de plusieurs pays, dont la France, l'Espagne, la Suisse, la Belgique, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Brésil et l’Argentine, précise la même source, ajoutant que la présence féminine sera marquée par la participation de plusieurs raideuses.
Cette édition, et pour la première fois, va connaitre la participation d’une équipe israélienne et sera suivie et diffusée en quatre langues par la chaîne de télévision d'information en continu internationale israélienne "news i24 Channel", indique le communiqué.
Tout au long de ce périple de 500 km du littoral entre Dakhla et Lagouira, cinq bivouacs seront implantés au long de cette descente au vent au niveau des différents spots.
Cet évènement sportif est réparti sur cinq étapes à savoir la baie de Cintra, la pointe de Rasse El Kassah, la Baie de Bir Gandouz et la pointe de Corvero jusqu’à la baie de Lagouira.
Cette rencontre sportive internationale se déroulera dans le strict respect des normes sanitaires et préventives contre la Covid-19, en plus d’autres mesures telles que l’accompagnement d’une équipe médicale et l’instauration obligatoire du test rapide chaque 48 H à tous les participants, à l’équipe d’organisation et à celle chargée de logistique.
Au cours de cette compétition, l'Association marocaine de kitesurf organisera une opération de nettoyage à la baie de Cintra et la pointe de Rasse El Kassah.
https://www.lopinion.ma/ (Avec MAP)
Outre des participants marocains, cet évènement sportif connaîtra la participation de près de 50 riders, issus de plusieurs pays, dont la France, l'Espagne, la Suisse, la Belgique, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Brésil et l’Argentine, précise la même source, ajoutant que la présence féminine sera marquée par la participation de plusieurs raideuses.
Cette édition, et pour la première fois, va connaitre la participation d’une équipe israélienne et sera suivie et diffusée en quatre langues par la chaîne de télévision d'information en continu internationale israélienne "news i24 Channel", indique le communiqué.
Tout au long de ce périple de 500 km du littoral entre Dakhla et Lagouira, cinq bivouacs seront implantés au long de cette descente au vent au niveau des différents spots.
Cet évènement sportif est réparti sur cinq étapes à savoir la baie de Cintra, la pointe de Rasse El Kassah, la Baie de Bir Gandouz et la pointe de Corvero jusqu’à la baie de Lagouira.
Cette rencontre sportive internationale se déroulera dans le strict respect des normes sanitaires et préventives contre la Covid-19, en plus d’autres mesures telles que l’accompagnement d’une équipe médicale et l’instauration obligatoire du test rapide chaque 48 H à tous les participants, à l’équipe d’organisation et à celle chargée de logistique.
Au cours de cette compétition, l'Association marocaine de kitesurf organisera une opération de nettoyage à la baie de Cintra et la pointe de Rasse El Kassah.
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