A savoir que le Maroc et le groupe allemand Leoni ont signé deux protocoles d'accord et une convention-cadre, marquant leur engagement commun à dynamiser le secteur automobile marocain.

 Ces initiatives s’inscrivent dans la mise en œuvre des projets d'investissement de Leoni avec un apport supérieur à 932 millions de MAD (91,33 millions de dollars). 
  
Visant à créer 7.100 nouveaux emplois d'ici 2027, les projets comprennent la construction d'une nouvelle unité de câblage dans la zone d'accélération industrielle d'Agadir pour un investissement de 188 millions de MAD (18,42 millions de dollars). Les projets visent également la création de 3.000 emplois directs et l'extension des usines du groupe dans la région de Casablanca-Settat. 
  
Dans le cadre de la même cérémonie, le ministère marocain de l'Industrie ainsi que le ministère délégué à l'Investissement ont apposé leur signature sur le protocole d'accord avec Leoni pour créer l’unité de fabrication de câblage électrique dans la zone industrielle d'Agadir. 
  
Le groupe allemand a signé le deuxième protocole d'accord avec des représentants du Conseil régional de Souss-Massa. L'accord porte sur le soutien à l'investissement et à l'emploi au sein de la future unité industrielle du groupe à Agadir.

A savoir que La zone d’accélération industrielle Souss Massa est le fruit d’un partenariat entre MEDZ, via sa filiale Parc Haliopolis SA, la Région du Souss Massa et le Crédit Agricole.
Situé dans la Commune de Drarga, à moins de 5 minutes de la ville d’Agadir, ce parc à vocation généraliste multisectorielle bénéficie de nombreux atouts, notamment une localisation avantageuse, une très bonne connectivité, une main d’œuvre abondante et qualifiée dans la région, et des incitatifs liés au statut de zone d’accélération industrielle.
 

Inscrit dans la même vision, le troisième accord-cadre a été signé entre Leoni et l'Agence nationale pour la promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC), aux fins de répondre aux besoins des Allemands en main-d'œuvre qualifiée  escomptés à 5.000 personnes en 2026. 
  
Soulignant l'importance de ce partenariat, le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a rappelé la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI de promouvoir le secteur industriel en tant que pilier principal de l'économie du pays. 
  
"Le développement des projets liés à l'industrie automobile dans la région de Souss-Massa est de nature à consacrer la région comme pôle économique capable de créer des opportunités d'emploi et  plate-forme compétitive pour les investissements nationaux et étrangers", a-t-il déclaré. 
  
Le secteur automobile marocain fait partie des piliers essentiels de l'économie du pays. Le Maroc abrite un groupe d'entreprises de fabrication automobile de classe mondiale, et de nombreux experts s'attendent à ce que la capacité de production de l'industrie automobile marocaine dépasse le million d’unités d'ici 2030. 
  
Les véhicules produits au Maroc sont exportés vers de nombreux pays, notamment l'UE. 
  
Les données publiées en avril ont montré que les exportations automobiles du Maroc ont totalisé 3,4 milliards de dollars au cours des trois premiers mois de 2023, précise le journal L'Opinion.
  
Plus récemment, le pays a marqué sa volonté de mettre en place une industrie à part entière de véhicules « made in Morocco ».

La plateforme d'apprentissage numérique inclut du contenu gratuit sous la forme de cours en auto-apprentissage ciblés sur deux thèmes : le développement de carrière et le tourisme durable.

L'e-Academy se divise en deux : la Career Academy et la Sustainability Academy. La Career Academy est dédiée à tous ceux qui souhaitent entamer une carrière dans le tourisme ou l'hôtellerie. Une liste étendue de cours permet aux étudiants d'explorer les différentes voies dans le tourisme et l'hôtellerie, de comprendre les bases du secteur et d'obtenir des informations de première main dans les compétences requises.

La Sustainability Academy s'adresse aux professionnels du tourisme qui désirent étendre leurs connaissances relatives aux pratiques touristiques durables. Ce programme de cours présente les meilleures pratiques de gestion environnementale, la gouvernance sociale et les différentes manières de soutenir le développement durable afin d'exercer un impact positif.

La formation en ligne est donnée par des professionnels du secteur du tourisme. Les étudiants bénéficient ainsi d'un contenu qui correspond aux exigences pratiques du secteur. Alliant une approche narrative, l'utilisation d'éléments interactifs dans le cadre d'études de cas et des témoignages de travailleurs du secteur, l'e-Academy entend partager des informations de qualité d'une façon attrayante et plaisante.

À la fin de chaque cours, les étudiants seront récompensés par un badge, approuvé par les principales marques du secteur du tourisme, certifiant leurs compétences récemment acquises.

source:  Tui care Fondation

  La refonte des statuts, qui est en fait une conception de nouveaux statuts est une démonstration effective de terrain en matière de démocratie professionnelle participative. Démonstration qui s’inscrit dans la mise en oeuvre sur le terrain d’une vraie régionalisation avancée qui permet aux professionnels du tourisme de prendre en charge leur destin, à travers une implication directe, responsable et efficace, visant un développement touristique régional de valeur, auquel adhèrent tous les acteurs, à travers les différents secteurs que connaît le tourisme.
   Une fois encore le CRT Agadir SM s’est bien démarqué avec cette primauté de réalisation de nouveaux statuts, en se plaçant à la première place en matière d’innovation de gestion professionnelle du tourisme régional, comme fut le cas pour la création du CPT, du GRIT et du CRT, notamment qui fut suivi après par celui de  Casablanca et Marrakech. IL est certain que les autres CRT, à travers le pays, sont obligés de suivre pour mettre à niveau leurs statuts. Ce n’est pas un choix. C’est une obligation comme le stipule les textes qui régissent les finances des Conseils Régionaux, Communes Urbaines et autres instituions étatiques … Si pas de mise à niveau des statuts, plus de subventions. Le choix est tout indiqué.
  Les professionnels d’Agadir ont vraiment mis la barre haute avec les nouveaux statuts du CRT, conçus par les professionnels du secteur, pour les professionnels du secteur. Une vraie leçon d’implication dans la gestion de la profession du tourisme. Le grand exemple en est, et ce pour la première, unique en son genre, l’Appel à candidature du Président du Conseil d’Administration du Conseil Régional du tourisme. Le Président est élu selon le scrutin de liste : 32 membres du Collège du Secteur Professionnel Privé pour une période de 3 ans. Président du Conseil d’Administration élu assure : le fonctionnement régulier du CRT Agadir SM ; la convocation des Assemblées Générales et les réunions du Conseil d’Administration et les réunions du bureau exécutif ; la représentation du CRT Agadir SM dans tous les actes de la vie civile et il est investi de tous les pouvoirs à cet effet. Grande nouveauté qui fait balancer toutes les responsabilités de la gestion du secteur, sur les épaules des membres du Conseil, loin des interventions des Autorités Locales, comme vécu avant.
  A savoir également que les membres permanents : ONMT, ONDA, SMITT, CRI, SDR, SDRT TPME, RAM, Air Arabia, Délégation Régionale du tourisme, ne sont ni électeurs, ni éligibles non plus. Désormais, tout se fait par les professionnels de terrain pour le développement du secteur, dans une entente cordiale avec tous les partenaires qui apportent un soutien de terrain concret et positif pour ce développement touristique régional.
   Ainsi donc, les Institutions élues : Conseil Régional, Conseils Communaux et Préfectures Provinciales, subventionnent le développement touristique régional, tout en contrôlant les dépenses origines de leurs subventions au CRT, qui rappelons-le est une institution régionale qui visa le développement touristique régional et non seulement celui d’Agadir. Ils sont au courant du Plan d’Action adopté par le CRT, et suivent de ce fait ce qui est réaliér, ce qui va l’être et ce qui ne l’est pas, dans une transparence et une responsable qui engagent tout le monde.

ON ne peut conclure sans évoquer la relation entre le CRT et l’ONMT. Les relations doivent être cordiales, c’est certain. Mais en aucun cas, l’ONMT n’a le droit de dicter sa loi et de faire jouir son rôle de responsable de la promotion du tourisme nationale, en imposant son point de vue d’une manière dictatoriale au CRT. L’actuel DG de l’ONMT doit savoir que le CRT Agadir avait déjà organisé des stands régionaux, dans les salons internationaux du tourisme, ITB, MITT, Moscou et WTM, sous le mandat de Said Scally et avec avec Aziz Akhannouch en tant que président de la Régional Souss Massa Draâ avec une réussite certaine et indiscutable. Un stand typiquement reflétant le Souss Culturel et touristique, a été réalisé à Berlin, à l’ITB, sous la présidence de Brahim Hafidi ( ex-président du Conseil Régional) et de Guy Marrache en tant qu’ex-président du CRT, avec un résultat extraordinaire et une présentation, via ce stand, qui a reçu rien que des éloges des visiteurs internationaux et des partenaires d’Agadir.
  Nous sommes dans la dynamique économique de la mise en œuvre de la Régionalisation Avancée conçue et voulue par SM Le Roi, pour relever le niveau économique et social des Régions. Les professionnels d’Agadir savent très bien quels sont les marchés européens qui les intéressent : marché scandinave, marché allemand, marché britannique, marché français… Agadir a été victime depuis des années de la décision (par un exministre du tourisme et son DG de l’ONMT de l’époque) d’exclure le marché scandinave d’une stratégie promotionnelle qui se voulait d’abord adressée à des  «  marchés prioritaires ». Cette exclusion qui a duré des années avait pour conséquence néfaste de détruire tout une promotion faite avant par Agadir Vis à vis du marché scandinave. Lequel marché qui faisait vivre la destination six mois (du mois de novembre au mois d’avril). ON en souffre encore. Ce schéma doit être exclu définitivement.
   Moralité : laissez-nous faire la promotion que nous jugeons nécessaire pour notre tourisme régional. Nous avons démontré dans le passé qu’on est capable de présenter Agadir et la Région, dans les salons du tourisme, via un stand purement régional, sans aucune aide ou intervention de l’ONMT. M. le DG de l’ONMT, nous sommes bien majeurs et vaccinés, nous comptons à Agadir des professionnels de grande valeur, qui ont cumulé des années d’expérience de terrain. Votre soutien, entant qu’institution de l’Etat, est le bienvenu, il est nécessaire aussi, mais il doit respecter nôtre vision sur nôtre tourisme local et régional, que nous connaissons à merveilles. Respecter également notre façon de faire que nous maitrisons et dont dont sommes convaincus.
« Que chacun fasse bien son travail et les moutons seront bien gardés »
A bon entendeur, Salut
 
Med RIAL