1. L’objectif est de donner un nouveau dynamisme qui s'élève au niveau des relations distinguées entre le Maroc et l’Espagne  et ce  dans le cadre de l'activation des accords conclu entre les deux universités depuis 1999, année qui a vu la signature du premier accord entre les deux parties. Mais également en vue de renforcer le partenariat et la coopération fructueuse entre les deux universités à la lumière de l'essor qualitatif des relations distinguées entre le Royaume du Maroc et le Royaume  d’Espagne ;l après que l'Espagne a reconnu l'initiative d'autonomie comme la seule solution réaliste et logique au conflit artificiel sur le Sahara marocain.

 
 
   Les travaux de cette session ont porté sur les modalités de signature de nouveaux accords relatifs à l'encouragement de la recherche scientifique et à la création de formations nouvelles et communes entre les deux universités, notamment dans les domaines de la logistique et du tourisme, ainsi qu'au partage d'expériences et aux échanges de visites entre professeurs, chercheurs et étudiants.
 
   Parmi ce qui a distingué les relations entre les universités de Las Palmas et Ibn Zohr, il y a l'ouverture d'un master conjoint en logistique et commerce international, ainsi qu'un master en gestion du tourisme, ainsi que la mise en œuvre d'un certain nombre de projets dans divers domaines, y compris les énergies renouvelables, le tourisme, l'entrepreneuriat et l'innovation avec la participation de chercheurs, de professionnels et de représentants d'institutions différentes.
 
   En plus du partenariat dans l'organisation d'un forum international sur le tourisme à Las Palomas dans sa onzième session, qui sera organisée cette année les 17 et 18 novembre, et verra une large participation de l'Université Ibn Zohr.
 

La réunion s'est déroulée en présence du vice-président des affaires pédagogiques, de Aziz Sair, directeur de l'École Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) de Dakhla , un fervent défendeur  de l’approfondissement des relations de partenariat et de coopération entre les deux universités. Séance de travail qui a connu également la présence effective de plusieurs responsables l'Université Ibn Zohr.
 
 Source : Agadir24

La startup regroupe aujourd’hui plus de 1700 artisans qui proposent plus de 3800 expériences dans toute la France. Une levée de fonds de 3,2 millions d'euros réalisée à l'automne dernier lui permet d'enrichir ses propositions d'ateliers, de consolider son offre auprès des entreprises : séminaires, évènements de fin d’année…

La charge de nouer de nouveaux partenariats avec les acteurs du tourisme : agences, tour-opérateurs, hôtellerie…et d'étendre son maillage géographique, en France et tout récemment en Belgique revient à Mattia SARFATI <mattia@wecandoo.com

Tendance

Les Français prennent goût à ce tourisme franco-français dit “de savoir-faire” qui consiste à redécouvrir sa région de vacances à travers son artisanat local. La grande nouveauté de cette saison 2022 : les touristes étrangers souhaitent eux aussi (re-)découvrir ces savoir-faire.

Une alternative au tourisme de masse qui met les régions à l’honneur

Assembler du pastis avec un artisan distillateur à Marseille, fabriquer une planche de surf avec un artisan shaper à Bordeaux ou encore créer une écharpe en soie avec un artisan feutrier à Lyon…

 

Pour une journée, un week-end ou pour des vacances prolongées, le tourisme de savoir-faire s'intéresse :

• Au patrimoine vivant et à la découverte de métiers
• Aux techniques ou traditions liées à l’artisanat et au terroir
• Le tout à travers notamment la mise en place d’ateliers et de visites ouverts au grand public

 

Pour cette nouvelle saison, le collectif a mis l’accent sur le développement d’ateliers dans les territoires ruraux :

" Nous notons une appétence croissante des français pour les loisirs et activités au coeur des campagnes de France. C'est dans ce sens que nous avons développé des expériences nature, en extérieur, auprès de producteurs et d'artisans partageant leur connaissance et leur passion pour le notre terroir ; en veillant toujours à ce que ces nouveaux ateliers soient facilement accessibles sur une après-midi et depuis les villes dans lesquelles nous sommes implantés." explique Chloé KERYHUEL, responsable marketing au sein du collectif.

Groupes d’amis, familles, jeunes ou seniors, ce type de tourisme touche tous les publics, tant les zones géographiques, les types d’ateliers… Une micro-aventure de quelques heures à quelques jours parfois, qui permet de découvrir de manière originale et ludique, une ville, un département ou une région, à travers ses habitants et leurs savoir-faire.

Pour les producteurs et artisans, la mise en place de ces ateliers et visites en parallèle de leur activité principale de production, leur permet d’obtenir un complément de revenu (800 euros mensuel en moyenne en 2021 pour les artisans membres du collectif Wecandoo) mais c’est également un gain de visibilité dans leur région ou encore l’occasion de sensibiliser les participants à la valeur d’une création artisanale ou production agricole : le savoir-faire nécessaire, les matières premières utilisées ou encore le temps passé.

 

Ainsi, avec plus de 3500 ateliers animés par 1600 artisans partout en France, le collectif Wecandoo répond à cette nouvelle tendance, celle d’un tourisme d’immersion, de sens, qui sort des sentiers battus.

Selon les données du ministère du Travail, les Marocains se maintiennent ainsi en tête du classement, suivis des Colombiens (124.609) et des Vénézuéliens (120.344).