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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Le secteur du tourisme national va-t-il concrétiser pleinement son énorme potentiel pour stimuler une croissance inclusive et durable ? Tout porte à croire que oui. Il faudrait pour ce faire que la nouvelle feuille de route du secteur, qui est sur les rails, prenne en compte la problématique des budgets alloués à des maillons-clés, comme l’aérien, la promotion, la digitalisation et le tourisme interne.


Maroc Tourisme : le Maroc a-t-il vraiment les moyens de ses ambitions?
Le secteur du tourisme national va-t-il concrétiser pleinement son énorme potentiel pour stimuler une croissance inclusive et durable ? Tout porte à croire que oui. Il faudrait pour ce faire que la nouvelle feuille de route du secteur, qui est sur les rails, prenne en compte la problématique des budgets alloués à des maillons-clés, comme l’aérien, la promotion, la digitalisation et le tourisme interne. 
 
    A-t-on les moyens de ses ambitions dans le secteur touristique ? En tout cas, selon certains professionnels, la nouvelle feuille de route regorge de «bonnes intentions». Elle doit apporter des réponses ou des solution à des maillons-clés que les acteurs ont déjà évoqué, à savoir l’aérien, la promotion, la digitalisation et le tourisme interne. Ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions ?
 
    En effet, face à la crise qui a beaucoup affecté le secteur, les différentes parties prenantes pourraient être attirées par des «solutions» simplistes et se contenter de répondre par une feuille de route teintée de fortes ambitions. Encore faudrait-il s’assurer que le secteur a les moyens de les réaliser. Surtout que «les budgets alloués au tourisme, que ce soit pour l’aérien ou la promotion, restent insuffisants. Idem pour la digitalisation et la formation».
 
   Comme le souligne Nidal Lahlou, vice-président de la Fédération Nationale de l’Industrie Hôtelière (FNIH), «les chiffres de la feuille de route font rêver. Ils sembleraient presque illusoires, et pourtant ils sont possibles, puisque la capacité litière existe, et que nos aéroports ont, eux aussi, la capacité d’accueillir ce nombre croissant de passagers».
 
La feuille de route en quelques chiffres
 
   Pour résumer les ambitions de la feuille de route du secteur touristique, en cours de préparation, ceux-ci tablent sur le doublement du nombre d’arrivée en cinq ans, le passage d’un taux d’occupation de la capacité litière de 48 à 70%, et une contribution du secteur au PIB qui soit portée à 18% au lieu de 12% actuellement.
 

   Rappelons que la nouvelle feuille de route du secteur est en cours de préparation. Les travaux ont été lancés le 30 août dernier à Rabat par la ministre du Tourisme, de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire, en collaboration avec les acteurs majeurs du secteur et les professionnels.
  
   La préparation collégiale de cette feuille de route stratégique s’inscrit dans la vision du doublement du nombre de touristes à l’horizon 2030 pour atteindre 26 millions de touristes. Se référant au ministère de tutelle, la stratégie du secteur reposera sur trois principaux axes.
 
À commencer par le renforcement de l’aérien -à travers l’augmentation de la capacité et la multiplication des vols point à point-, l’alignement de l’offre touristique sur la demande nationale et internationale ainsi que la stimulation de l’investissement public/privé autour de leviers prioritaires dont l’animation et l’écotourisme.
 
   Il est à préciser que les prochaines semaines connaîtront l’organisation de plusieurs ateliers de travail thématiques avec la participation de représentants des opérateurs privés afin d’affiner les objectifs et les programmes de mise en œuvre pour chaque filière touristique, et en vue de cibler les leviers et les projets prioritaires à déployer.
 
Nidal Lahlou,
vice-président de la Fédération nationale de l’industrie hôtelière (FNIH)
 
«Les défis de cette feuille de route ne peuvent se réaliser sans objectifs budgétisés et moyens alloués. Si elle devait avoir un titre, ce serait «se donner les moyens de ses ambitions». Le tourisme interne reste le parent pauvre du secteur. Et nous devons absolument nous donner les moyens de lever tous les freins identifiés dans l’aérien, la promotion, la digitalisation…
 
  Ce sera l’occasion de démarrer un programme d’accélération touristique ambitieux, mais surtout prometteur, puisque l’emploi et la balance des paiements seront directement et positivement impactés par cette accélération. En dernier lieu, toutes ces ambitions ou politiques ne peuvent se réaliser sans confiance, échange, transparence et responsabilité entre les différents acteurs».
Multiplier au moins par quatre les budgets actuels
 
   Pour plusieurs professionnels du secteur contactés par Les Inspirations Éco, il faudrait «à minima multiplier par quatre les budgets actuellement alloués au secteur» pour espérer atteindre les ambitions de cette feuille de route. Ce qui n’est pas rien ! Et vu le contexte actuel, l’Exécutif acceptera-t-il de fournir les efforts budgétaires nécessaires pour qu’une telle demande reçoive un écho favorable ? Rappelons que le PLF 2023 met en avant quatre axes prioritaires, à caractère structurel, portant sur le renforcement des fondements de l’État social ainsi que la relance de l’économie nationale, à travers le soutien de l’investissement, la consécration de la justice spatiale et le rétablissement des marges budgétaires pour assurer la pérennité des réformes.
 
 
Modeste Kouamé / Les Inspirations ÉCO
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Par Med Mohamed Rial le Mercredi 14 Septembre 2022


Le Maroc a remporté, samedi à Dakhla, la 5è Coupe d’Afrique de la Pâtisserie, organisée dans le cadre du tournoi officiel des chefs Afrique « TOC Afrique ».

Ainsi, l’équipe marocaine a remporté ce prix à l’issue de 10 H de compétition, suivie des Îles Maurice et de la Tunisie, qui ont accédé respectivement à la deuxième et à la troisième marche du podium.


Le Maroc remporte à Dakhla la 5è Coupe d’Afrique de la Pâtisserie

Le Maroc a remporté, samedi à Dakhla, la 5è Coupe d’Afrique de la Pâtisserie, organisée dans le cadre du tournoi officiel des chefs Afrique « TOC Afrique ».

Ainsi, l’équipe marocaine a remporté ce prix à l’issue de 10 H de compétition, suivie des Îles Maurice et de la Tunisie, qui ont accédé respectivement à la deuxième et à la troisième marche du podium.

Le jury a également décerné un prix spécial à l’équipe du Ghana pour le meilleur esprit d’équipe.

Placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette prestigieuse compétition est marquée par la participation de grands chefs pâtissiers africains issus de huit pays, dont l’Egypte, le Ghana, le Burkina-Faso, le Sénégal et la Côte d’Ivoire.

Les trois équipes gagnantes ayant su éblouir les papilles du jury international ont décroché leurs tickets à la coupe du monde de la pâtisserie qui se déroulera en janvier prochain à Lyon (France), au Salon de l’hôtellerie et de la restauration (Sirha).

Cette compétition a regroupé les meilleurs cuisiniers à l’échelle africaine, qui se sont distingués par leurs techniques de travail et la mise en valeur des goûts dans la création et la réalisation de leurs plats.

Dans une déclaration à M24, la chaine télévisée de l’information en continu de la MAP, le président du TOC Afrique et de la Fédération marocaine des arts culinaires, Kamal Rahal Essoulami, a indiqué que ce concours est une occasion pour mettre en avant le rôle des chefs cuisiniers et pâtissiers dans la mise en avant de la gastronomie de leurs pays, d’autant plus qu’il permet la valorisation de l’art culinaire comme vecteur de promotion touristique.

M. Rahal Essoulami, qui est également président de la Fédération nationale de la boulangerie et de la pâtisserie, a souligné que le « TOC Afrique » a pour objectif de promouvoir le chef marocain et africain, conformément à la vision de SM le Roi Mohammed VI en matière de coopération Sud-Sud.

Dans cette veine, il a fait savoir que les chefs cuisiniers et pâtissiers marocains ont excellé dans plusieurs compétitions internationales de renom, permettant ainsi de placer le Maroc comme référence gastronomique de haut niveau, au 1er rang parmi les plus grands professionnels du domaine.

Pour sa part, le président du jury de la Coupe d’Afrique de la pâtisserie, Jean-Jacques Borne a salué la qualité de travail remarquable et exceptionnelle des chefs pâtissiers africains, notant que la gastronomie africaine ne cesse de se distinguer lors des plus grandes compétitions culinaires.

Initié par Rahal Event, le « TOC Afrique » qui réunit plus de 200 chefs de renom dans la cuisine et la pâtisserie constitue une occasion pour les chefs africains de mettre en avant la gastronomie de leurs pays.

La Coupe du monde de la pâtisserie est l’évènement référent de l’art pâtissier dans le monde, à la fois fédérateur de la profession et révélateur de talents et de tendances.

Dans ce spectacle hors-norme, les talents les plus prometteurs de 21 pays rivalisent de créativité et expriment les tendances de leurs pays pour porter avec panache les valeurs et la culture de leur pâtisserie au salon SIRHA à Lyon.

Des démonstrations culinaires, témoignages et d’ateliers sur les richesses culinaires de la région sont au programme, en plus de la participation des stagiaires des écoles hôtelières de la région relevant de l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT).

A rappeler que les Îles Maurice avaient remporté, vendredi, la 2éme édition Bocuse d’Or Afrique, suivies du Maroc et de la Tunisie, qui ont accédé respectivement à la deuxième et à la troisième marche du podium.

Les deux premiers pays au classement sont qualifiés aux finales de « Bocuse d’Or » qui se dérouleront en janvier prochain à Lyon, au Salon Sirha.

Source: https://www.mapdakhla.ma/fr


Par Med Mohamed Rial le Dimanche 11 Septembre 2022


UNE ORGANISATION SANS FAILLE ET PRÈS DE 4500 PARTICIPANTS VENUS DE TOUTES LES RÉGIONS DU ROYAUME. LE BILAN DE L’ACTION GOUVERNEMENTALE, UN DES MOMENTS FORTS DE LA RENCONTRE ET UN DÉBAT D’IDÉES RICHE ET CONSTRUCTIF. LES RECOMMANDATIONS RETENUES À L’ISSUE DES ATELIERS DEVRAIENT FAIRE L’OBJET D’UN LIVRE BLANC


Agadir  Université d’été du RNI: Les faits marquants de la 4ème édition

Impressionnante ! La 4ème édition de l’université d’été du RNI qui s’est tenue le 9 et le 10 septembre à Agadir s’est distinguée à plusieurs niveaux. D’abord sur le plan organisationnel. La structure géante de gradins mise en place s’est vite remplie de monde à l’ouverture de l’événement. La participation de toutes les régions du Royaume en plus des jeunes issus des communautés marocaines à l’étranger (Région 13), a été aussi un fait marquant de cette quatrième édition. Ils étaient près de 4500 participants à ce rendez-vous pour lequel se sont mobilisés les grandes figures du parti ainsi que les ministres actuels et anciens de la formation politique.

Pour le ministre, Mustapha Baitas, cette quatrième édition intervient dans un contexte international dans lequel elle se tient et aussi par la dynamique de chantiers sociaux et réformes entamés depuis une année par le gouvernement. Autant d’enjeux qui étaient au cœur de cette université d’été 2022 et qui ont généré un débat d’idées très riche et très utile pour les instances du parti, a souligné le politicien.

L’intervention du président du RNI, Aziz Akhannouch, a été un des moments des plus attendus de cette 4ème édition. L’homme fort du RNI a mis en avant le bilan des réalisations de son parti à la tête de l’Exécutif, réaffirmant la détermination du gouvernement à mener les réformes sociales promises lors des élections communales, régionales et législatives du 8 septembre 2021.

  Dans ce sens, Aziz Akhannouch a mis en exergue les mesures prises afin de préserver le pouvoir d’achat et d’améliorer les revenus des citoyens ainsi que l’ouverture du dialogue social avec les centrales syndicales au cours d’une année exceptionnelle marquée par une conjointure difficile. Le président du RNI a également rappelé la décision d’augmenter avec effet immédiat, à compter du mois de septembre, de 5% du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) dans les secteurs de l’industrie, du commerce et des professions libérales et de 10% du salaire minimum agricole garanti (SMAG).

  L’Université d’été du RNI a été aussi une belle tribune pour  la jeunesse du parti qui s’est exprimée sur des sujets d’actualité nationale et internationale. Pour les organisateurs, « c’est une nouvelle étape qualitative dans le parcours d’encadrement de la jeunesse, caractérisée par l’ouverture d’une discussion profonde et responsable sur les moyens de renforcer les fondements de l’État social.

  Mais aussi l’occasion de présenter et débattre des mesures et procédures gouvernementales liées à la jeunesse en divers domaines, notamment au niveau de la santé, de l’éducation et de l’emploi ». Le meeting était aussi un moment pour explorer les pistes possibles qui renforceraient la présence des jeunes dans les politiques publiques mais aussi pour mobiliser les équipes et marcher en cohésion. Education, emploi, protection sociale généralisée, santé, Etat social, langue amazigh, réseaux sociaux… sont autant de questions et sujets de discussion qui ont suscité une grande participation lors des ateliers. L’ensemble des recommandations à l’issue de la rencontre devrait faire l’objet d’un livre blanc, ont annoncé les organisateurs.

https://www.lavieeco.com/politique   Par Malika Alami
 


Par Med Mohamed Rial le Dimanche 11 Septembre 2022


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