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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


On a assisté mercredi, dernier, après-midi à une rencontre sujet d’un éventuel débat ouvert sur le tourisme, après le Covid 19. Invitation lancée par Khalil Tizniti, en personne… Il y a eu des présentations de certains chantiers touristiques en cours (PDU, Agadir Oufella, SDR, mobilité urbaine…) lors de cette rencontre qui a connu tout de même plus de 60 professionnels de tout bord, présents. Mais durant 2 heures, il n’y a eu aucun débat réel. ON a vécu un genre d’animation, type GO Club Med, pour conclure la rencontre avec une présentation inattendue sur une soit disant pré-campagne concernant un l’élection du nouveau du CRT, qui devait être présidé par Khalil Tizniti. Mauvaise surprise, bien décevante décevante, pour de nombreux professionnels présents, sauf les jeunes de l’équipe impliquée…


Agadir Tourisme CRT /   Election du nouveau président  Des jeunes lancent une « pré-campagne » prématurée, précipitée et immature.
    K. Tizniti avait orchestré un stratagème pour maintenir l’assistance attentive ayant pour but ultime de présenter la soit - disant nouvelle équipe qui va diriger le CRT, après les élections prévues, lors le AGE, au moins de mai, sans sûrement. Ce dénote un machiavélisme grave car ayant pour raison, de cette rencontre et non table ronde, l’annonce de la candidature de Tizniti comme nouveau président. IL est à bien savoir et bien rappeler à tous ces jeunes : Primo, officiellement la date de la tenue de la date de l’Assemblé Générale Elective, n’est pas bien précisée, par le Wali comme comme stipulé les statuts du CRT. Donc toute proclamation d’une candidature est non seulement, prématurée, précipitée et immature. Elle dénote le manque de savoir de ces jeunes en matière des élections concernant le CRT.
 
  Or tout est bien ficelé, dans les statuts du CRT. Les candidatures doivent être déposée après l’annonce de la tenue de l’AGE, pas avant. Ce qui rend toute action au sujet d’une précampagne, non avenue, donc réduite à zéro. Erreur flagrante lors de la fameuse rencontre, c’est que tous ces jeunes présents et présentes, ainsi que d’autre professionnels chevronnées, présent, ne votent pas lors des élections. Ceux qui ventent sont les 57 membres du Conseil d’Administration, bien définis dans les statuts. Voir liste complète deces membres, en pièce jointe.

   En voulant aller trop vite, ces jeunes inexpérimentés, qui, prétendant vouloir transformer le tourisme à Agadir, vu, selon eux, que le CRT actuel ne fait pas grande chose !!! Pour pouvoir transformer le CRT, il faut d’abord savoir et assimiler les Statuts de cet organisme, qui a toujours fait depuis son existence de son mieux, avec les les moyens limités qui proviennent du Conseil Régional et de la Commune Urbaine d’Agadir.
 
  Parmi les « défaillances annoncées » par le « nouveau président proclamé », le reproche fait au CRT de ne pas réunir les professionnels et pour les informer les sur  le repérage à Taghazout, concernant la tenue du prochain congrès des agents de voyage DRV, prévu dans le nouvelle station balnéaire. Tout de même quand est-ce- qu’on invite des professionnels à participer à un r un repérage ? Cela se fait avec une commission très réduite qui concerne les intéressés, c’est tout… Une fois l’accord conclu, le programme annoncé par le DRV, le CRT l’annonce dans un communiqué officiel pour que tous les professionnels soient au courant, mais pas avant.
 
  Dommage pour tous ces jeunes, animés d’une grande ambition certes, mais qui ont fait preuve d’une erreur de jeunesse, concernant une stratégie électorale professionnelle, et devrait être, d’abord bien assimilée et  bien comprise, qui devait être bien ficelée, bien encadrée, selon les statuts du CRT, et non basée sur leur propre vision des choses. L’ élection d’un nouveau, président, si nouveau il y a donc, même s’il y a reconduction du président sortant, se fait dans les temps reglemée, selon une méthodologie bien définie et bien rodée, depuis des années…
 
  Le fait de foncer à fond, les yeux fermés, avec une « pré-campagne électorale », n’a jamais eu lieu lors des élections du CRT. Aucun Past Président n’avait usé de cela : Ni M. Oummani ; ni M. Scally, ni M. Benhamane, ni M. Marrache, ni M. Dahmaz non plus. Car ce sont de vrais professionnels qui ont fait du terrain et qui en plus étaient à l’origine de la rédaction des Statuts actuels du CRT. ET qu’ils respectent et qu’ils défendent en les appliquant, à la lettre. Dont act.

  Khalil, tu as été malhonnête avec nous journalistes et avec toutes les personnes que tu avais invités à la fameuse table ronde sur le tourisme, qui n’a pas eu lieu. Tu nous as induis en erreur, tu as profité de notre sincérité et de notre engagement à participer, d’une manière claire et sans ambages, au développement du tourisme à Agadir et dans la Région. C était très osé de ta part. Ce n’est pas professionnel, encore moins décent à notre rencontre. Tu as oublié que la vérité finit toujours par éclater, au grand jour ; d’une manière ou d’une autre.
 
 En voulant aller trop, tes amis et toi, vous avez pris le grand risque d’aller vite, trop vite même, sans penser une seule fois, que vous pouvez tomber en panne, en cours de route… Moralité, « rien ne sert de courir, il faut partir à point ». Ce que tu as fait, concernant la préparation de l’élection » d’un nouveau président du CRT, est unique en son genre. Un précédent jamais vécu, exécuté avant terme, avec amateurisme, dans l’absence totale du respect de la méthodologie concernant l’élection d’un nouveau président et surtout absence total du respect des statuts du CRT, que tu devrais connaître et assimiler, étant donné que tu fais partie des professionnels qui participent à la gestion des actions du CRT…
 
 Espérons que c’est dû à des erreurs de jeunesses, motivées par une ambition, qui devait être bien respectée. Hélas bien démesurée et affolante, à cause de cette « précampagne » insolite, absolument et tout ce qui va avec depuis plus d’un mois.

Sans aucune rancune.

A Bon entendeur, salut

Med RIAL

 
 


Par Med Mohamed Rial le Vendredi 29 Avril 2022


Des hôtels fermés depuis des années, ou tout dernièrement (Le Club Med et la Kasbah), des chantiers hôteliers non achevés depuis des années également. Des hôtels délaissés, en ruine, ou vétustes sans aucune valorisation : c’est tout de même très grave. Car cela dure et perdure sans qu’aucune solution efficace n’est envisagée pour cette situation trop alarmantes et bien désolante. Et pourtant tous les responsables directs et indirects du tourisme sont au courant… ET ce depuis longtemps. Incroyable et incompréhensible.


Agadir Hôtellerie :  Etablissements fermés, chantiers non achevés, hôtels délaissés et vétustes : quelles solutions ?
Des hôtels fermés depuis des années, ou tout dernièrement (Le Club Med et la Kasbah), des chantiers hôteliers non achevés depuis des années également. Des hôtels délaissés, en ruine, ou vétustes sans aucune valorisation : c’est tout de même très grave. Car cela dure et perdure sans qu’aucune solution efficace n’est envisagée pour cette situation trop alarmantes et bien désolante. Et pourtant tous les responsables directs et indirects du tourisme sont au courant… ET ce depuis longtemps. Incroyable et incompréhensible.
 
  Alarmante et à la fois problématique car ces problèmes, vrais handicaps de la destination, touchent direct la capacité hôtelière de la destination. En effet, sur les 30 000 lits enregistrés dans la destination, à peine la moitié est vendable, l‘autre moitié et non commercialisable, sinon bradée terriblement ce qui rend le produit de mauvaise qualité. Ce constat super négatif a été annoncé, il y a dix ans déjà, dans un rapport sur la qualité de l’hôtellerie à Agadir, de la part l’ONMT. Inutile d’ajouter que la situation s’est beaucoup dégradée encore plus avec les années.
 
  Le Plan de Développement Urbain (PDU), en cours à Agadir et qui prendra bon acte en 2024, est une transformation urbaine très bénéfique pour la destination. Cependant on va avoir un aménagement urbain positif, mais un secteur touristique et balnéaire défaillant car piégé par des hôtels fermés, des chantiers non achevés et des établissements vétustes…

 Bref, un produit boiteux, balancé devant tout le monde, car aucune réflexion intelligente et pratique n’a été conçue pour mettre fin définitivement ce phénomène qui n’a que trop durer et tire la destination vers le bas. Nos voisins les professionnels canariens du tourisme avait vécu le même phénomène, il y a quelques années et ont trouvé les solutions adéquates pour le diluer définitivement. Alors, soyons réalistes et reprenons leurs solutions efficaces en les adaptant à Agadir, avec l’ultime de la collaboration canarienne, à ce sujet.

 Il est à rappeler que le secteur balnéaire et touristique avait été lancé par la SONABA ( Société Nationale d’Aménagement de la Baie d’Agadir) qui avait procédé à l’expropriation des terrains, pour justement offrir une assiette foncière de qualité avec des prix bien arrondis et très encourageants, en guise d’encouragement à  investissement hôtelier ; pour doter la destination d’une capacité hôtelière potable. D’ailleurs il ne reste plus aucune parcelle de terrain, prévue pour un établissement hôtelier, en bordure de mer, dans le STB.
 
 Quelles solutions alors ?
 
   IL y a en deux en fait, pour mettre fin à ce phénomène qui touche la capacité hôtelière en profondeur. D’abord s’inspirer de la solution canarienne, en la matière et demander la collaboration des professionnels canariens, pour envisager les solutions pratiques chez nous, afin de solutionner le problème, selon le genre de phénomène à traiter et à solutionner, dans délais raisonnables. C’est faisable si on y met la volonté qu’il faut, et les moyens nécessaires, bien sûr. Les Canariens ont réussi, ils ont donc la recette, autant la copier et coller à Agadir, au moins.
 
  La deuxième solution est plus radicale et plus judicieuse, car elle va mettre fin, d’une manière définitive et judiciaire, au problème. En effet, pour les hôtels fermés depuis des années (cas du Transatlantique) ou celui des chantiers inachevés (cas du Kempinski) ou des hôtels délaissés ( cas du Palais des Roses…), entre autres… La solution donc est à la fois judiciaire basée sur de nouveaux textes de loi, qui permettent aux Pouvoirs Publics de récupérer les hôtels en question et les chantiers non achevés, pour les revendre avec des engagements ferment qu’ils vont être valorisés dans des délais bien précis. « Qui aime bien châtie bien ». Aux grands maux, les grands remèdes.
 
  La question que de nombreuses personnes vont se poser, c’est que ce n’est pas faisable, car il s’agit des établissements privés conçus et réalisés par des privés. C’est vrai. Sauf que ces promoteurs privés ont acquis des avantages fonciers, avec des prix très compétitifs et bien arrondis relatifs aux surfaces proposées, qui proviennent d’une assiette foncière issue d’une expropriation officielle dans l’objectif d’une valorisation de terrain, à travers la réalisation d’établissements hôteliers, favorable à une bonne capacité hôtelière de la destination balnéaire.

  Des engagements de ces promoteurs hôteliers ont été pris et signés pour valoriser des hôtels et non pour ne pas les achever, donnant un résultat désolant avec des cadavres de ciment horrible, portant préjudice au secteur balnéaire.  IL y a défaillance totale et de la part de ces promoteurs, la loi doit entrer en vigueur, dans le cadre de procédures judiciaires des tribunaux commerciaux, devant résoudre les problèmes dans délais réduits. IL n’y a pas d’alternative car ces phénomènes défaillants en hôtellerie touchent la capacité hôtelière en la réduisant, donc réduisant l’activité touristique et hôtelière, au plus bas d’une manière alarmante.
 
  Cet handicap de manque de capacité en lits influe également sur les apports de devises issues de l’activité hôtelière et touche en profondeur le monde de l’emploi, et l’amplification du chômage en milieu touristique et hôtelier. Il est à rappeler que le secteur hôtelier a le grand avantage d’être un secteur particulièrement multiplicateur d’emplois. IL n’y a qu’à faire la liste des métiers qui sont en direct (mais aussi indirects) avec les besoins en hôtellerie pour s’en rendre compte. Cela commence par le boucher, le poissonnier, les grossistes en matière d’équipement divers et d’utilisation en cuisine, et dans les chambres etc…
 
    La Commune Urbaine d’Agadir est toute indiquée pour entamer les procédures de destitution de ces établissements défaillants. Le problème est dans le territoire de la C U d’Agadir, donc c’est aux élus de prendre ce problème en main, sérieusement et efficacement comme il se soit, en se constituant la Commune Urbaine en tant que Partie Civile, avec le ferme engagement des juristes et des avocats. Et s’il faut proposer des textes de Loi alternatifs, les parlementaires de la Région Souss Massa doivent entrer en jeu faire des propositions concrètes, pour adopter d’autres dispositions permettant de mettre fin, une fois pour toute, à ce phénomène horrible qui ne cesse de s’agrandir avec les années.
 
 Laisser des établissements hôteliers fermés durant des années, laisser des chantiers hôteliers inachevés trop longtemps et laisser des hôtels vétustes trop longtemps également, est inadmissible dans une destination ouverte toute l’année et qui reçoit à la fois une clientèle internationale et une clientèle nationale. ON doit mettre fin à ces aberrations et à ces handicaps, d’une façon définitifs à travers des solutions efficaces  et ce dans les meilleurs délais et dans les conditions qui préservant l’image et la renommée de la destination, face à une concurrence en plus en plus rude. Une destination conçue en tant que premier produit touristique balnéaire national. Un avantage que la destination doit garder et fructifier avec responsabilité et professionnalisme.
 
 
A bon entendeur, salut.
 
Med RIAL

 

Agadir Hôtellerie :  Etablissements fermés, chantiers non achevés, hôtels délaissés et vétustes : quelles solutions ?

Par Med Mohamed Rial le Mardi 26 Avril 2022


La ville Ocre s'apprête, encore une fois, à accueillir les concierges Clefs d'Or de l’Union International des Concierges d’Hôtels dit UICH, le cercle des plus pointus connaisseurs de la clientèle d’un hôtel.
En effet, le Maroc a été élu pour accueillir le Conseil d’Administration du 67eme Congrès International des clefs d’or, qui permettra à Marrakech de recevoir plus de 150 concierges Clefs d’or, et à l’Association des Clefs d’Or Maroc de montrer à l’ensemble des participants comment Marrakech consolide sa position de destination touristique mondiale, et aussi de promouvoir ses infrastructures touristiques.


Clefs d'OR / 67 ème Congrès International Des Concierges d’Hôtel Marrakech, 11 – 14 Mai 2022
Le Maroc a eu l’honneur d’organiser les congrès internationaux depuis1955 (Marrakech / Paris), puis 1964 (Tanger / Casa), aussi en 1992 (Tanger / Marrakech) et en 2004 (Tanger / Fès) sous le haut patronage de sa Majesté.
De plus, a
̀ la même fréquence, le Maroc a organisé, en 2018 à Marrakech, le 4ème congrès paneuropéen incluant le Maroc, la France, la Belgique, la grande Bretagne, l'Irlande, la Suisse, Luxembourg et la Hollande. Ce congres a connu un succès incomparable.
PRESENTATION DE L’ORGANISATEUR :
Les Clefs d’Or Maroc est une organisation à but non lucratif de concierges dévoués de partout à travers le Maroc, chapeautée par lUnion Internationale des Concierges dHôtels (UICH). Cet organisme regroupe plus de 4000 membres dans plus de 80 pays et 530 villes; ceux-ci forment un réseau à travers le monde qui a pour but d’offrir le summum en matière de services personnalisés à tous les invités séjournant dans leurs établissements.
L’association Clefs d'Or repose sur deux principes directeurs : « Le service par l'amitié́ » et « Le service par lexcellence ». Aucune concurrence nexiste entre les lieux de travail étant donné lesprit de camaraderie et le travail déquipe permettent aux membres de servir leurs invités au mieux de leur capacité́ en utilisant toutes les ressources possibles. 

  
Le Comité d’Organisation de cet événement est composé de :
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M. Youssef Mamouni: M. Réda Benjaroud: Mme Souad Benha: Mme Zineb Meliani: Mme Khadija Khaou: Mme Saida Loutou:
M. Jaafar Lakhssassi:
M. Abdessadek Khanjari: M. Adil Mzireg:

M. Abdellah Khalifi: M. Omar Asdaf:
AU PROGRAMME :
Président /Le Meridien N’fis Marrakech
Vice Président / Le Sofitel Marrakech
Secrétaire Générale /Fairmont Royal Palm Marrakech
Assistante Secrétaire Générale / La Mamounia Marrakech
Trésorier Général / Naoura Barriere Marrakech
Secrétaire délégué Pôle Marrakech et sud du Maroc/La Sultana Marrakech Secrétaire délégué Pôle Casablanca et Nord du Maroc / The View Rabat
Responsable d’Adhésion / Les Jardins de la Koutoubia Marrakech
Chargé de communication Nationale / Le Palais Selman Marrakech
Chargé des Relations Publiques et actions caritatives/ Le Royal Mansour Marrakech Conseiller / Atlantique Palace Agadir
Jour 1 : Arrivée des invités & hébergement au Méridien N’fis. Diner de réception à Buddha Bar.
Jour 2 : Réunion au Es Saadi Palace / Visite de ville pour le conjoint. Diner authentique au White Camel au Désert d’Agafay.
Jour 3 : Réunion Es Saadi Palace / Cours de cuisine à la ferme du Chef Tarek pour le conjoint. Diner de Gala au Palais Gharnata.
Jour 4 : Départ des invités. 

Source : Communiqué

Par Med Mohamed Rial le Lundi 25 Avril 2022


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