LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES
La une
Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
04/07/2023 Med Mohamed Rial
Des hôtels fermés depuis des années, ou tout dernièrement (Le Club Med et la Kasbah), des chantiers hôteliers non achevés depuis des années également. Des hôtels délaissés, en ruine, ou vétustes sans aucune valorisation : c’est tout de même très grave. Car cela dure et perdure sans qu’aucune solution efficace n’est envisagée pour cette situation trop alarmantes et bien désolante. Et pourtant tous les responsables directs et indirects du tourisme sont au courant… ET ce depuis longtemps. Incroyable et incompréhensible.
Des hôtels fermés depuis des années, ou tout dernièrement (Le Club Med et la Kasbah), des chantiers hôteliers non achevés depuis des années également. Des hôtels délaissés, en ruine, ou vétustes sans aucune valorisation : c’est tout de même très grave. Car cela dure et perdure sans qu’aucune solution efficace n’est envisagée pour cette situation trop alarmantes et bien désolante. Et pourtant tous les responsables directs et indirects du tourisme sont au courant… ET ce depuis longtemps. Incroyable et incompréhensible.
Alarmante et à la fois problématique car ces problèmes, vrais handicaps de la destination, touchent direct la capacité hôtelière de la destination. En effet, sur les 30 000 lits enregistrés dans la destination, à peine la moitié est vendable, l‘autre moitié et non commercialisable, sinon bradée terriblement ce qui rend le produit de mauvaise qualité. Ce constat super négatif a été annoncé, il y a dix ans déjà, dans un rapport sur la qualité de l’hôtellerie à Agadir, de la part l’ONMT. Inutile d’ajouter que la situation s’est beaucoup dégradée encore plus avec les années.
Le Plan de Développement Urbain (PDU), en cours à Agadir et qui prendra bon acte en 2024, est une transformation urbaine très bénéfique pour la destination. Cependant on va avoir un aménagement urbain positif, mais un secteur touristique et balnéaire défaillant car piégé par des hôtels fermés, des chantiers non achevés et des établissements vétustes…
Bref, un produit boiteux, balancé devant tout le monde, car aucune réflexion intelligente et pratique n’a été conçue pour mettre fin définitivement ce phénomène qui n’a que trop durer et tire la destination vers le bas. Nos voisins les professionnels canariens du tourisme avait vécu le même phénomène, il y a quelques années et ont trouvé les solutions adéquates pour le diluer définitivement. Alors, soyons réalistes et reprenons leurs solutions efficaces en les adaptant à Agadir, avec l’ultime de la collaboration canarienne, à ce sujet.
Il est à rappeler que le secteur balnéaire et touristique avait été lancé par la SONABA ( Société Nationale d’Aménagement de la Baie d’Agadir) qui avait procédé à l’expropriation des terrains, pour justement offrir une assiette foncière de qualité avec des prix bien arrondis et très encourageants, en guise d’encouragement à investissement hôtelier ; pour doter la destination d’une capacité hôtelière potable. D’ailleurs il ne reste plus aucune parcelle de terrain, prévue pour un établissement hôtelier, en bordure de mer, dans le STB.
Quelles solutions alors ?
IL y a en deux en fait, pour mettre fin à ce phénomène qui touche la capacité hôtelière en profondeur. D’abord s’inspirer de la solution canarienne, en la matière et demander la collaboration des professionnels canariens, pour envisager les solutions pratiques chez nous, afin de solutionner le problème, selon le genre de phénomène à traiter et à solutionner, dans délais raisonnables. C’est faisable si on y met la volonté qu’il faut, et les moyens nécessaires, bien sûr. Les Canariens ont réussi, ils ont donc la recette, autant la copier et coller à Agadir, au moins.
La deuxième solution est plus radicale et plus judicieuse, car elle va mettre fin, d’une manière définitive et judiciaire, au problème. En effet, pour les hôtels fermés depuis des années (cas du Transatlantique) ou celui des chantiers inachevés (cas du Kempinski) ou des hôtels délaissés ( cas du Palais des Roses…), entre autres… La solution donc est à la fois judiciaire basée sur de nouveaux textes de loi, qui permettent aux Pouvoirs Publics de récupérer les hôtels en question et les chantiers non achevés, pour les revendre avec des engagements ferment qu’ils vont être valorisés dans des délais bien précis. « Qui aime bien châtie bien ». Aux grands maux, les grands remèdes.
La question que de nombreuses personnes vont se poser, c’est que ce n’est pas faisable, car il s’agit des établissements privés conçus et réalisés par des privés. C’est vrai. Sauf que ces promoteurs privés ont acquis des avantages fonciers, avec des prix très compétitifs et bien arrondis relatifs aux surfaces proposées, qui proviennent d’une assiette foncière issue d’une expropriation officielle dans l’objectif d’une valorisation de terrain, à travers la réalisation d’établissements hôteliers, favorable à une bonne capacité hôtelière de la destination balnéaire.
Des engagements de ces promoteurs hôteliers ont été pris et signés pour valoriser des hôtels et non pour ne pas les achever, donnant un résultat désolant avec des cadavres de ciment horrible, portant préjudice au secteur balnéaire. IL y a défaillance totale et de la part de ces promoteurs, la loi doit entrer en vigueur, dans le cadre de procédures judiciaires des tribunaux commerciaux, devant résoudre les problèmes dans délais réduits. IL n’y a pas d’alternative car ces phénomènes défaillants en hôtellerie touchent la capacité hôtelière en la réduisant, donc réduisant l’activité touristique et hôtelière, au plus bas d’une manière alarmante.
Cet handicap de manque de capacité en lits influe également sur les apports de devises issues de l’activité hôtelière et touche en profondeur le monde de l’emploi, et l’amplification du chômage en milieu touristique et hôtelier. Il est à rappeler que le secteur hôtelier a le grand avantage d’être un secteur particulièrement multiplicateur d’emplois. IL n’y a qu’à faire la liste des métiers qui sont en direct (mais aussi indirects) avec les besoins en hôtellerie pour s’en rendre compte. Cela commence par le boucher, le poissonnier, les grossistes en matière d’équipement divers et d’utilisation en cuisine, et dans les chambres etc…
La Commune Urbaine d’Agadir est toute indiquée pour entamer les procédures de destitution de ces établissements défaillants. Le problème est dans le territoire de la C U d’Agadir, donc c’est aux élus de prendre ce problème en main, sérieusement et efficacement comme il se soit, en se constituant la Commune Urbaine en tant que Partie Civile, avec le ferme engagement des juristes et des avocats. Et s’il faut proposer des textes de Loi alternatifs, les parlementaires de la Région Souss Massa doivent entrer en jeu faire des propositions concrètes, pour adopter d’autres dispositions permettant de mettre fin, une fois pour toute, à ce phénomène horrible qui ne cesse de s’agrandir avec les années.
Laisser des établissements hôteliers fermés durant des années, laisser des chantiers hôteliers inachevés trop longtemps et laisser des hôtels vétustes trop longtemps également, est inadmissible dans une destination ouverte toute l’année et qui reçoit à la fois une clientèle internationale et une clientèle nationale. ON doit mettre fin à ces aberrations et à ces handicaps, d’une façon définitifs à travers des solutions efficaces et ce dans les meilleurs délais et dans les conditions qui préservant l’image et la renommée de la destination, face à une concurrence en plus en plus rude. Une destination conçue en tant que premier produit touristique balnéaire national. Un avantage que la destination doit garder et fructifier avec responsabilité et professionnalisme.
A bon entendeur, salut.
Med RIAL
Alarmante et à la fois problématique car ces problèmes, vrais handicaps de la destination, touchent direct la capacité hôtelière de la destination. En effet, sur les 30 000 lits enregistrés dans la destination, à peine la moitié est vendable, l‘autre moitié et non commercialisable, sinon bradée terriblement ce qui rend le produit de mauvaise qualité. Ce constat super négatif a été annoncé, il y a dix ans déjà, dans un rapport sur la qualité de l’hôtellerie à Agadir, de la part l’ONMT. Inutile d’ajouter que la situation s’est beaucoup dégradée encore plus avec les années.
Le Plan de Développement Urbain (PDU), en cours à Agadir et qui prendra bon acte en 2024, est une transformation urbaine très bénéfique pour la destination. Cependant on va avoir un aménagement urbain positif, mais un secteur touristique et balnéaire défaillant car piégé par des hôtels fermés, des chantiers non achevés et des établissements vétustes…
Bref, un produit boiteux, balancé devant tout le monde, car aucune réflexion intelligente et pratique n’a été conçue pour mettre fin définitivement ce phénomène qui n’a que trop durer et tire la destination vers le bas. Nos voisins les professionnels canariens du tourisme avait vécu le même phénomène, il y a quelques années et ont trouvé les solutions adéquates pour le diluer définitivement. Alors, soyons réalistes et reprenons leurs solutions efficaces en les adaptant à Agadir, avec l’ultime de la collaboration canarienne, à ce sujet.
Il est à rappeler que le secteur balnéaire et touristique avait été lancé par la SONABA ( Société Nationale d’Aménagement de la Baie d’Agadir) qui avait procédé à l’expropriation des terrains, pour justement offrir une assiette foncière de qualité avec des prix bien arrondis et très encourageants, en guise d’encouragement à investissement hôtelier ; pour doter la destination d’une capacité hôtelière potable. D’ailleurs il ne reste plus aucune parcelle de terrain, prévue pour un établissement hôtelier, en bordure de mer, dans le STB.
Quelles solutions alors ?
IL y a en deux en fait, pour mettre fin à ce phénomène qui touche la capacité hôtelière en profondeur. D’abord s’inspirer de la solution canarienne, en la matière et demander la collaboration des professionnels canariens, pour envisager les solutions pratiques chez nous, afin de solutionner le problème, selon le genre de phénomène à traiter et à solutionner, dans délais raisonnables. C’est faisable si on y met la volonté qu’il faut, et les moyens nécessaires, bien sûr. Les Canariens ont réussi, ils ont donc la recette, autant la copier et coller à Agadir, au moins.
La deuxième solution est plus radicale et plus judicieuse, car elle va mettre fin, d’une manière définitive et judiciaire, au problème. En effet, pour les hôtels fermés depuis des années (cas du Transatlantique) ou celui des chantiers inachevés (cas du Kempinski) ou des hôtels délaissés ( cas du Palais des Roses…), entre autres… La solution donc est à la fois judiciaire basée sur de nouveaux textes de loi, qui permettent aux Pouvoirs Publics de récupérer les hôtels en question et les chantiers non achevés, pour les revendre avec des engagements ferment qu’ils vont être valorisés dans des délais bien précis. « Qui aime bien châtie bien ». Aux grands maux, les grands remèdes.
La question que de nombreuses personnes vont se poser, c’est que ce n’est pas faisable, car il s’agit des établissements privés conçus et réalisés par des privés. C’est vrai. Sauf que ces promoteurs privés ont acquis des avantages fonciers, avec des prix très compétitifs et bien arrondis relatifs aux surfaces proposées, qui proviennent d’une assiette foncière issue d’une expropriation officielle dans l’objectif d’une valorisation de terrain, à travers la réalisation d’établissements hôteliers, favorable à une bonne capacité hôtelière de la destination balnéaire.
Des engagements de ces promoteurs hôteliers ont été pris et signés pour valoriser des hôtels et non pour ne pas les achever, donnant un résultat désolant avec des cadavres de ciment horrible, portant préjudice au secteur balnéaire. IL y a défaillance totale et de la part de ces promoteurs, la loi doit entrer en vigueur, dans le cadre de procédures judiciaires des tribunaux commerciaux, devant résoudre les problèmes dans délais réduits. IL n’y a pas d’alternative car ces phénomènes défaillants en hôtellerie touchent la capacité hôtelière en la réduisant, donc réduisant l’activité touristique et hôtelière, au plus bas d’une manière alarmante.
Cet handicap de manque de capacité en lits influe également sur les apports de devises issues de l’activité hôtelière et touche en profondeur le monde de l’emploi, et l’amplification du chômage en milieu touristique et hôtelier. Il est à rappeler que le secteur hôtelier a le grand avantage d’être un secteur particulièrement multiplicateur d’emplois. IL n’y a qu’à faire la liste des métiers qui sont en direct (mais aussi indirects) avec les besoins en hôtellerie pour s’en rendre compte. Cela commence par le boucher, le poissonnier, les grossistes en matière d’équipement divers et d’utilisation en cuisine, et dans les chambres etc…
La Commune Urbaine d’Agadir est toute indiquée pour entamer les procédures de destitution de ces établissements défaillants. Le problème est dans le territoire de la C U d’Agadir, donc c’est aux élus de prendre ce problème en main, sérieusement et efficacement comme il se soit, en se constituant la Commune Urbaine en tant que Partie Civile, avec le ferme engagement des juristes et des avocats. Et s’il faut proposer des textes de Loi alternatifs, les parlementaires de la Région Souss Massa doivent entrer en jeu faire des propositions concrètes, pour adopter d’autres dispositions permettant de mettre fin, une fois pour toute, à ce phénomène horrible qui ne cesse de s’agrandir avec les années.
Laisser des établissements hôteliers fermés durant des années, laisser des chantiers hôteliers inachevés trop longtemps et laisser des hôtels vétustes trop longtemps également, est inadmissible dans une destination ouverte toute l’année et qui reçoit à la fois une clientèle internationale et une clientèle nationale. ON doit mettre fin à ces aberrations et à ces handicaps, d’une façon définitifs à travers des solutions efficaces et ce dans les meilleurs délais et dans les conditions qui préservant l’image et la renommée de la destination, face à une concurrence en plus en plus rude. Une destination conçue en tant que premier produit touristique balnéaire national. Un avantage que la destination doit garder et fructifier avec responsabilité et professionnalisme.
A bon entendeur, salut.
Med RIAL
Par Med Mohamed Rial le Mardi 26 Avril 2022
La ville Ocre s'apprête, encore une fois, à accueillir les concierges Clefs d'Or de l’Union International des Concierges d’Hôtels dit UICH, le cercle des plus pointus connaisseurs de la clientèle d’un hôtel.
En effet, le Maroc a été élu pour accueillir le Conseil d’Administration du 67eme Congrès International des clefs d’or, qui permettra à Marrakech de recevoir plus de 150 concierges Clefs d’or, et à l’Association des Clefs d’Or Maroc de montrer à l’ensemble des participants comment Marrakech consolide sa position de destination touristique mondiale, et aussi de promouvoir ses infrastructures touristiques.
Le Maroc a eu l’honneur d’organiser les congrès internationaux depuis1955 (Marrakech / Paris), puis 1964 (Tanger / Casa), aussi en 1992 (Tanger / Marrakech) et en 2004 (Tanger / Fès) sous le haut patronage de sa Majesté.
De plus, à la même fréquence, le Maroc a organisé, en 2018 à Marrakech, le 4ème congrès paneuropéen incluant le Maroc, la France, la Belgique, la grande Bretagne, l'Irlande, la Suisse, Luxembourg et la Hollande. Ce congres a connu un succès incomparable.
PRESENTATION DE L’ORGANISATEUR :
Les Clefs d’Or Maroc est une organisation à but non lucratif de concierges dévoués de partout à travers le Maroc, chapeautée par l’Union Internationale des Concierges d’Hôtels (UICH). Cet organisme regroupe plus de 4000 membres dans plus de 80 pays et 530 villes; ceux-ci forment un réseau à travers le monde qui a pour but d’offrir le summum en matière de services personnalisés à tous les invités séjournant dans leurs établissements.
L’association Clefs d'Or repose sur deux principes directeurs : « Le service par l'amitié́ » et « Le service par l’excellence ». Aucune concurrence n’existe entre les lieux de travail étant donné l’esprit de camaraderie et le travail d’équipe permettent aux membres de servir leurs invités au mieux de leur capacité́ en utilisant toutes les ressources possibles.
De plus, à la même fréquence, le Maroc a organisé, en 2018 à Marrakech, le 4ème congrès paneuropéen incluant le Maroc, la France, la Belgique, la grande Bretagne, l'Irlande, la Suisse, Luxembourg et la Hollande. Ce congres a connu un succès incomparable.
PRESENTATION DE L’ORGANISATEUR :
Les Clefs d’Or Maroc est une organisation à but non lucratif de concierges dévoués de partout à travers le Maroc, chapeautée par l’Union Internationale des Concierges d’Hôtels (UICH). Cet organisme regroupe plus de 4000 membres dans plus de 80 pays et 530 villes; ceux-ci forment un réseau à travers le monde qui a pour but d’offrir le summum en matière de services personnalisés à tous les invités séjournant dans leurs établissements.
L’association Clefs d'Or repose sur deux principes directeurs : « Le service par l'amitié́ » et « Le service par l’excellence ». Aucune concurrence n’existe entre les lieux de travail étant donné l’esprit de camaraderie et le travail d’équipe permettent aux membres de servir leurs invités au mieux de leur capacité́ en utilisant toutes les ressources possibles.
Le Comité d’Organisation de cet événement est composé de :
M. Youssef Mamouni: M. Réda Benjaroud: Mme Souad Benha: Mme Zineb Meliani: Mme Khadija Khaou: Mme Saida Loutou:
M. Jaafar Lakhssassi:
M. Abdessadek Khanjari: M. Adil Mzireg:
M. Abdellah Khalifi: M. Omar Asdaf:
AU PROGRAMME :
M. Jaafar Lakhssassi:
M. Abdessadek Khanjari: M. Adil Mzireg:
M. Abdellah Khalifi: M. Omar Asdaf:
AU PROGRAMME :
Président /Le Meridien N’fis Marrakech
Vice Président / Le Sofitel Marrakech
Secrétaire Générale /Fairmont Royal Palm Marrakech
Assistante Secrétaire Générale / La Mamounia Marrakech
Trésorier Général / Naoura Barriere Marrakech
Secrétaire délégué Pôle Marrakech et sud du Maroc/La Sultana Marrakech Secrétaire délégué Pôle Casablanca et Nord du Maroc / The View Rabat Responsable d’Adhésion / Les Jardins de la Koutoubia Marrakech
Chargé de communication Nationale / Le Palais Selman Marrakech
Chargé des Relations Publiques et actions caritatives/ Le Royal Mansour Marrakech Conseiller / Atlantique Palace Agadir
Vice Président / Le Sofitel Marrakech
Secrétaire Générale /Fairmont Royal Palm Marrakech
Assistante Secrétaire Générale / La Mamounia Marrakech
Trésorier Général / Naoura Barriere Marrakech
Secrétaire délégué Pôle Marrakech et sud du Maroc/La Sultana Marrakech Secrétaire délégué Pôle Casablanca et Nord du Maroc / The View Rabat Responsable d’Adhésion / Les Jardins de la Koutoubia Marrakech
Chargé de communication Nationale / Le Palais Selman Marrakech
Chargé des Relations Publiques et actions caritatives/ Le Royal Mansour Marrakech Conseiller / Atlantique Palace Agadir
Jour 1 : Arrivée des invités & hébergement au Méridien N’fis. Diner de réception à Buddha Bar.
Jour 2 : Réunion au Es Saadi Palace / Visite de ville pour le conjoint. Diner authentique au White Camel au Désert d’Agafay.
Jour 3 : Réunion Es Saadi Palace / Cours de cuisine à la ferme du Chef Tarek pour le conjoint. Diner de Gala au Palais Gharnata.
Jour 4 : Départ des invités.
Source : Communiqué
Jour 2 : Réunion au Es Saadi Palace / Visite de ville pour le conjoint. Diner authentique au White Camel au Désert d’Agafay.
Jour 3 : Réunion Es Saadi Palace / Cours de cuisine à la ferme du Chef Tarek pour le conjoint. Diner de Gala au Palais Gharnata.
Jour 4 : Départ des invités.
Source : Communiqué
Bien que les frontières aériennes soient ouvertes, la relance du secteur du tourisme reste tributaire des moyens mis à disposition et de l’exigence du passeport vaccinal et du test PCR. Une “contrainte” qui ne permet pas aux professionnels de récupérer leurs parts de marché naturel, estime Hamid Bentahar.
- L’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) et la Confédération Nationale du Tourisme (CNT) ont signé, vendredi dernier, une convention, la première du genre, portant sur plusieurs volets déterminants pour la relance, qui concernent aussi bien l’attractivité du secteur que le tourisme interne et l’innovation. Quels objectifs vous êtes-vous assignés ?
- Cette convention a pour objectif de structurer et renforcer la co-construction et la synchronisation des actions entre l’ONMT et la CNT. A travers ce partenariat, nous souhaitons mutualiser nos efforts pour la reconquête des marchés en créant des Task Forces publiques et privées pour aller ensemble de manière synchronisée et collaborative vers les marchés émetteurs majeurs pour booster et accélérer la relance, pour explorer de nouveaux segments et développer de nouveaux réservoirs de croissance.
Donc, nous mettons en place une plateforme collaborative avec les fédérations, les associations et nos membres directs au service de l’ensemble des professionnels. Nous nous donnons pour mission, par exemple, l’accompagnement dans la connaissance de l’évolution de la demande par marché et la formation pour la distribution, la commercialisation, la mise à niveau digitale, la e-réputation, et en sensibilisant l’ensemble de l’écosystème à l’importance du Big Data aussi bien pour les producteurs que pour les réutilisateurs des données.
Cette première convention a posé les bases de la collaboration, nous allons désormais lancer des ateliers de travail et de co-construction avec nos membres, les experts par segment et par marché pour les impliquer dans le développement des actions concrètes pour booster durablement notre performance collaborative.
- Quels sont, à votre avis, les principaux chantiers à mener pour renforcer l’attractivité du secteur du tourisme ?
- Depuis la réouverture de l’espace aérien, l’ensemble de la profession est à pied d’oeuvre pour renforcer l’attractivité, chacun à son niveau, à renforcer les contacts avec les partenaires internationaux pour booster la relance.
À côté de cela, l’ONMT a fait un travail remarquable et considérable pour l’aérien et la promotion. Cependant, il y a encore une contrainte qui ne nous permet pas de récupérer nos parts de marché naturel, à savoir l’exigence du passeport vaccinal et du test PCR aux personnes doublement ou triplement vaccinées, alors que nos concurrents demandent aujourd’hui l’un ou l’autre.
Nous espérons un alignement des conditions d’accès sur ce qui a été annoncé récemment au niveau maritime. Nous devons aller plus vite dans le redressement et la relance. A ce jour, nous sommes à 50% de notre potentiel réel de vente. L’autre moitié de notre part de marché dépend de cette procédure qui freine cette envie collective de permettre à nos professionnels de retravailler au mieux et au plus vite.
- Avant de parler de relance, pouvez-vous nous dresser un état des lieux des pertes occasionnées par la pandémie ?
- Les acteurs du tourisme ont passé deux années extrêmement difficiles, En chiffres, ce secteur faisait 140 milliards de recettes par an. Nous avons perdu plus que 80% en 2020 et 70% en 2021. Il nous reste du chemin à parcourir avant un retour à la normale et nous savons d’ores et déjà que des défis importants et des mutations profondes nous attendent.
Une tension importante sur la trésorerie des entreprises touristiques, la dégradation de leurs fonds propres, la hausse importante des coûts, l’arrivée des échéances de crédit ayant servi principalement des charges non productives. Mais nous devons rester optimistes, continuer à travailler avec le ministère pour optimiser les mesures de sauvegarde, pour trouver d’autres solutions qui viendront compléter la batterie de mesures de soutien pour prolonger l’effort et préserver les emplois et les entreprises.
Nous devons rester optimistes car la demande sur le tourisme est là et l’envie du Maroc n’a jamais été aussi forte. Notre pays, cité en exemple à l’international, a gagné en crédibilité en cette période grâce à sa politique de lutte contre la crise sanitaire.
- Une reprise de l’activité touristique a été enregistrée quelques jours après la réouverture, début février, des frontières et elle a concerné le secteur du tourisme en général (hôtels, agences de voyage, transport touristique, loueurs de voitures). On est loin des chiffres enregistrés en 2019 ?
- Je suis persuadé qu’en mettant en place les moyens nécessaires, on pourrait y revenir en 2023 ou 2024 au plus tard, Faute de quoi, on risque de ne pas atteindre ces chiffres avant 2025 ou 2026. En moyenne, on a une à deux années pour que le secteur touristique surmonte la crise. Toutefois, il y a des segments qui vont se remettre plus vite.
En premier lieu se trouvent les voyages de loisir, puis le segment affaires individuelles en deuxième position. Pour tout ce qui est congrès, séminaires et organisation d’événements de grande taille, nous devons faire plus d’efforts collectivement.
- Lors de la période de fermeture des frontières, le segment du tourisme interne est revenu au devant de la scène, est-ce que la mise en place d’une offre dédiée aux nationaux est toujours d’actualité ou est-elle passée au second plan avec le retour des touristes internationaux ?
- Le tourisme national est le premier client des professionnels du tourisme. Nous devons continuer à le développer. Justement dans le cadre de notre convention avec l’ONMT, le tourisme interne fait partie de nos priorités. Pour être une grande destination touristique, il faut avoir un tourisme interne qui soit important.
Nous avons fait de nombreuses recommandations pour stimuler la demande interne comme l’incitation au voyage par la mise en place de chèques vacances défiscalisés et la régionalisation du calendrier des vacances scolaires. La promotion, appui et incitation au développement d’une offre d’animation diversifiée, de qualité, et d’expériences de familles adaptée au pouvoir d’achat des citoyens marocains. Nous espérons qu’elles seront mises en oeuvre le plus rapidement possible.
- Les établissements touristiques ne sont certes pas surbookés, mais on est rassurés et on reprend petit à petit. Prévoyez-vous une saison estivale meilleure ?
- Oui, je suis confiant pour la saison estivale qui arrive à grands pas, à condition de continuer d’améliorer les conditions d’accès, notamment la contrainte de l’exigence du PCR et du Pass vaccinal même pour les personnes avec un schéma vaccinal complet.
Nous savons que les fondamentaux de notre pays sont très bons, que nous sommes aux portes du premier marché émetteur mondial et qu’avec une politique plus synchronisée et un plan plus offensif, nous pouvons et nous devons provoquer une rupture dans le rythme de croissance, de création d’emplois et de génération de devises.
- Cette convention a pour objectif de structurer et renforcer la co-construction et la synchronisation des actions entre l’ONMT et la CNT. A travers ce partenariat, nous souhaitons mutualiser nos efforts pour la reconquête des marchés en créant des Task Forces publiques et privées pour aller ensemble de manière synchronisée et collaborative vers les marchés émetteurs majeurs pour booster et accélérer la relance, pour explorer de nouveaux segments et développer de nouveaux réservoirs de croissance.
Donc, nous mettons en place une plateforme collaborative avec les fédérations, les associations et nos membres directs au service de l’ensemble des professionnels. Nous nous donnons pour mission, par exemple, l’accompagnement dans la connaissance de l’évolution de la demande par marché et la formation pour la distribution, la commercialisation, la mise à niveau digitale, la e-réputation, et en sensibilisant l’ensemble de l’écosystème à l’importance du Big Data aussi bien pour les producteurs que pour les réutilisateurs des données.
Cette première convention a posé les bases de la collaboration, nous allons désormais lancer des ateliers de travail et de co-construction avec nos membres, les experts par segment et par marché pour les impliquer dans le développement des actions concrètes pour booster durablement notre performance collaborative.
- Quels sont, à votre avis, les principaux chantiers à mener pour renforcer l’attractivité du secteur du tourisme ?
- Depuis la réouverture de l’espace aérien, l’ensemble de la profession est à pied d’oeuvre pour renforcer l’attractivité, chacun à son niveau, à renforcer les contacts avec les partenaires internationaux pour booster la relance.
À côté de cela, l’ONMT a fait un travail remarquable et considérable pour l’aérien et la promotion. Cependant, il y a encore une contrainte qui ne nous permet pas de récupérer nos parts de marché naturel, à savoir l’exigence du passeport vaccinal et du test PCR aux personnes doublement ou triplement vaccinées, alors que nos concurrents demandent aujourd’hui l’un ou l’autre.
Nous espérons un alignement des conditions d’accès sur ce qui a été annoncé récemment au niveau maritime. Nous devons aller plus vite dans le redressement et la relance. A ce jour, nous sommes à 50% de notre potentiel réel de vente. L’autre moitié de notre part de marché dépend de cette procédure qui freine cette envie collective de permettre à nos professionnels de retravailler au mieux et au plus vite.
- Avant de parler de relance, pouvez-vous nous dresser un état des lieux des pertes occasionnées par la pandémie ?
- Les acteurs du tourisme ont passé deux années extrêmement difficiles, En chiffres, ce secteur faisait 140 milliards de recettes par an. Nous avons perdu plus que 80% en 2020 et 70% en 2021. Il nous reste du chemin à parcourir avant un retour à la normale et nous savons d’ores et déjà que des défis importants et des mutations profondes nous attendent.
Une tension importante sur la trésorerie des entreprises touristiques, la dégradation de leurs fonds propres, la hausse importante des coûts, l’arrivée des échéances de crédit ayant servi principalement des charges non productives. Mais nous devons rester optimistes, continuer à travailler avec le ministère pour optimiser les mesures de sauvegarde, pour trouver d’autres solutions qui viendront compléter la batterie de mesures de soutien pour prolonger l’effort et préserver les emplois et les entreprises.
Nous devons rester optimistes car la demande sur le tourisme est là et l’envie du Maroc n’a jamais été aussi forte. Notre pays, cité en exemple à l’international, a gagné en crédibilité en cette période grâce à sa politique de lutte contre la crise sanitaire.
- Une reprise de l’activité touristique a été enregistrée quelques jours après la réouverture, début février, des frontières et elle a concerné le secteur du tourisme en général (hôtels, agences de voyage, transport touristique, loueurs de voitures). On est loin des chiffres enregistrés en 2019 ?
- Je suis persuadé qu’en mettant en place les moyens nécessaires, on pourrait y revenir en 2023 ou 2024 au plus tard, Faute de quoi, on risque de ne pas atteindre ces chiffres avant 2025 ou 2026. En moyenne, on a une à deux années pour que le secteur touristique surmonte la crise. Toutefois, il y a des segments qui vont se remettre plus vite.
En premier lieu se trouvent les voyages de loisir, puis le segment affaires individuelles en deuxième position. Pour tout ce qui est congrès, séminaires et organisation d’événements de grande taille, nous devons faire plus d’efforts collectivement.
- Lors de la période de fermeture des frontières, le segment du tourisme interne est revenu au devant de la scène, est-ce que la mise en place d’une offre dédiée aux nationaux est toujours d’actualité ou est-elle passée au second plan avec le retour des touristes internationaux ?
- Le tourisme national est le premier client des professionnels du tourisme. Nous devons continuer à le développer. Justement dans le cadre de notre convention avec l’ONMT, le tourisme interne fait partie de nos priorités. Pour être une grande destination touristique, il faut avoir un tourisme interne qui soit important.
Nous avons fait de nombreuses recommandations pour stimuler la demande interne comme l’incitation au voyage par la mise en place de chèques vacances défiscalisés et la régionalisation du calendrier des vacances scolaires. La promotion, appui et incitation au développement d’une offre d’animation diversifiée, de qualité, et d’expériences de familles adaptée au pouvoir d’achat des citoyens marocains. Nous espérons qu’elles seront mises en oeuvre le plus rapidement possible.
- Les établissements touristiques ne sont certes pas surbookés, mais on est rassurés et on reprend petit à petit. Prévoyez-vous une saison estivale meilleure ?
- Oui, je suis confiant pour la saison estivale qui arrive à grands pas, à condition de continuer d’améliorer les conditions d’accès, notamment la contrainte de l’exigence du PCR et du Pass vaccinal même pour les personnes avec un schéma vaccinal complet.
Nous savons que les fondamentaux de notre pays sont très bons, que nous sommes aux portes du premier marché émetteur mondial et qu’avec une politique plus synchronisée et un plan plus offensif, nous pouvons et nous devons provoquer une rupture dans le rythme de croissance, de création d’emplois et de génération de devises.
Source : Lopinion.ma Recueillis par Safaa KSAANI
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