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La France classera le Maroc en zone verte à partir du mercredi 16 février, apprend Médias24 auprès d'une source officielle française. Voici les nouvelles conditions qui devront être respectées par les voyageurs marocains à destination de la France.
Le Maroc va ainsi rejoindre les pays de l’espace européen : États membres de l’Union européenne, Andorre, Islande, Liechtenstein, Monaco, Norvège, Saint-Marin, Suisse et Vatican ; ainsi que les pays et territoires suivants : Arabie Saoudite, Bahreïn, Corée du Sud, Émirats arabes unis, Honduras, Hong-Kong, Indonésie, Japon, Koweït, Nouvelle-Zélande, Qatar, Rwanda, Sénégal, Taïwan et Vanuatu.
Ce reclassement en zone ‘verte’ implique un assouplissement des conditions d’entrée en France à partir du Maroc.
plus des documents habituellement requis (exemple : passeport, visa). Rappelons que les vaccins acceptés sur le territoire français sont : Pfizer/BioNTech/Comirnaty, Moderna, AstraZeneca, Vaxzevria, Covishield et Janssen. Les personnes ayant reçu un vaccin Sinopharm doivent effectuer une troisième dose Pfizer ou Moderna. Pour les personnes non vaccinées : le résultat négatif d’un test PCR de moins de 72 heures ou d’un test antigénique de moins de 48 heures, ou bien un certificat de rétablissement, en plus des documents habituellement requis (exemple : passeport, visa). Pour quitter la France vers un pays vert, les voyageurs doivent respecter les mesures en vigueur dans le pays de destination. Source : ministère de l’Intérieur français Pour entrer au Maroc, les voyageurs doivent présenter : Un passeport vaccinal Covid-19 ; Le résultat négatif d’un test PCR de moins de 48 heures (délai entre prélèvement et enregistrement) ; Une fiche sanitaire du passager, à télécharger en ligne avant embarquement |
dûment renseignée, notamment l’adresse du passager et deux numéros de téléphone permettant de le localiser en cas de besoin, pendant les dix jours qui suivent son arrivée sur le territoire national. À l’arrivée, ils doivent se soumettre à : Un test antigénique rapide systématique au niveau des points d’entrée, et des prélèvements aléatoires pour des tests PCR aléatoires. – En cas de négativité du test antigénique rapide : rien à signaler. |
* Si la personne présente une symptomatologie modérée : prise en charge en milieu hospitalier, public ou privé, selon le protocole national en vigueur.
Pour ce qui est des enfants :
Aucune condition d’accès n’est appliquée pour les moins de 6 ans.
Pour ceux âgés de 6 ans et moins de 18 ans : la seule condition d’accès est la présentation d’un test PCR négatif datant de moins de 48 heures, en plus d’un test antigénique rapide à l’arrivée.
source : mediadia24.com
La pandémie du Covid-19 est une crise sans précédent pour le tourisme, un secteur à forte intensité de main d’œuvre au Maroc. Hamid Bentahar, président de la Confédération Nationale du Tourisme, nous livre sa vision des enjeux de la relance de cette filière durement éprouvée.
Le premier élément c'est que nous devons tous être solidaires, préserver les acquis importants de la lutte contre la pandémie de la Covid-19 qui ont nécessité des efforts concertés pour la prévention et le contrôle. Il faut ainsi sensibiliser les employés et le personnel du secteur, notamment avec des dispositifs de communication sur les mesures de prévention sanitaire dans le cadre d'une démarche de sensibilisation.
Le deuxième point c'est qu'il est impératif d'œuvrer pour consolider un niveau compétitif de l’hôtellerie marocaine, relever les enjeux de qualité et de professionnalisation, renforcer les capacités et les compétences, et la mise à niveau aux standards internationaux en termes de contrôle et classement de la filière hôtelière au Maroc. Ceci permettra de promouvoir la croissance économique du secteur et impactera positivement le marché de l’emploi touché par la pandémie.
Le troisième élément c'est que nous travaillons avec l'ensemble des professionnels pour analyser les nouvelles tendances et les nouvelles attentes des voyageurs. Je parle par exemple du développement du tourisme domestique. Nous allons continuer à travailler, via des dispositifs concrets, pour stimuler la demande interne. Ces dispositifs comprennent l’incitation au voyage par la mise en place de chèques vacances défiscalisés et la régionalisation du calendrier des vacances scolaires, la promotion et l'appui au développement de concepts et d'offres d’animation diversifiées et d’expériences familles adaptées au pouvoir d’achat des marocains.
Au niveau régional, il faut consolider la compétitivité des acteurs, accompagner l’émergence de nouveaux écosystèmes et promouvoir la création d’emplois en zone rurales à travers l’éco tourisme, le tourisme sportif et culturel.
Il est également nécessaire de promouvoir la compétitivité de l'industrie marocaine du tourisme, accompagner le secteur informel dans la transition vers la conformité aux réglementations et normes, et améliorer la qualité de l'emploi.
Les effets de la pandémie sur le tourisme semblent asymétriques, certaines destinations sont plus exposées que d’autres. Pensez-vous que le tourisme va rebondir d’abord au sein de zones géographiques spécifiques ?
D'abord il faut savoir que la relance du secteur touristique se fera de manière progressive. Le tourisme de loisirs reprendra en premier, alors que le tourisme d'affaire prendra plus de temps, pour la simple raison que les conférences internationales se préparent plusieurs mois à l'avance.
Cela dit, les destinations du tourisme de loisir seront les premiers à voir les résultats des actions engagées dans le domaine du tourisme face au coronavirus.
Comment peut-on redonner confiance aux voyageurs et stimuler la demande ?
Les compagnies aériennes ont déjà annoncé leur retour. Maintenant il faut faire preuve de solidarité et responsabilité pour préserver la santé publique. En outre, il est important de communiquer clairement autour des mesures visant à rétablir la confiance des investisseurs et des consommateurs. Il faut mettre en place un plan offensif pour rétablir la confiance avec les compagnies aériennes, consolider les relations avec les voyagistes afin de reconstruire et de diversifier les routes aériennes nationales et internationales, en partenariat avec les compagnies aériennes et maritimes.
Nous proposons aussi d'améliorer les outils de mesure, de suivi et d'orientation à travers la réforme de l'Observatoire National du Tourisme et la création d'une plateforme de suivi de la compétitivité, de la durabilité, des initiatives innovantes et responsables dans les pays concurrents et au Maroc.
Cependant, il faut savoir que l’envie de voyage n’a jamais été aussi forte que maintenant. Les partenaires fidèles du Maroc, notamment les compagnies aériennes, fournissent tous les efforts possibles pour réussir la relance.
Dans quelle mesure le marketing digital pourra-t-il élargir la portée de prospection des entreprises touristiques ?
La promotion de la destination Maroc en marketing via la digitalisation permettra sans doute d’accélérer le rythme de la reprise du secteur. Le marketing digital permettra d'assurer rapidement une reprise dynamique des ventes en ligne des voyages vers le Maroc et de mettre en place une offre de communication conjointe.
Il y a des entreprises qui basent déjà leurs stratégies commerciales sur le digital, et d'ailleurs il y a des acteurs exemplaires dans notre pays. Mais il y a d'autres qui ont besoin d'accompagnement.
source :lopinion.ma par Kawtar Chaat
Après deux mois d’absence et d’inactivité vers le Royaume en raison de Dame Covid, les couleurs des avions israéliens devraient se confondre de nouveau avec le ciel marocain après que Rabat ait annoncé la réouverture de son espace aérien et l’allégement des restrictions d’entrée sur le territoire national.
Des médias d’Israël ont rapporté que la compagnie nationale israélienne « El Al » allait programmer ses vols directs vers le Royaume, à partir de lundi prochain à la date symbolique de la Saint valentin, le 14 février.
Selon le journal « Israel Hayom », « trois compagnies s’apprêtent à opérer sur le marché marocain. La compagnie Arkia devrait dès avril prochain, par deux fois par semaine, effectuer des vols directs entre Tel-Aviv et Casablanca ».
Après deux mois d’absence et d’inactivité vers le Royaume en raison de Dame Covid, les couleurs des avions israéliens devraient se confondre de nouveau avec le ciel marocain après que Rabat ait annoncé la réouverture de son espace aérien et l’allégement des restrictions d’entrée sur le territoire national.
Des médias d’Israël ont rapporté que la compagnie nationale israélienne « El Al » allait programmer ses vols directs vers le Royaume, à partir de lundi prochain à la date symbolique de la Saint valentin, le 14 février.
Selon le journal « Israel Hayom », « trois compagnies s’apprêtent à opérer sur le marché marocain. La compagnie Arkia devrait dès avril prochain, par deux fois par semaine, effectuer des vols directs entre Tel-Aviv et Casablanca ».
Ces fréquences sont appelées à doubler pour 4 vols hebdomadaires. Tandis que la compagnie Israir a décidé de programmer ses vols dès le 28 mars prochain.
Tout est bien qui finit bien donc entre le Royaume du Maroc (RAM et Air arabia) et l’État d’Israël (El Al, Israir et Arkia) qui ont décidé de reprendre ou de lancer des vols directs, temporairement suspendus en raison de la propagation du dernier né de Dame Covid « Omicron ».
La propagation virulente de ce virus a été telle qu’elle avait poussé le Royaume à fermer son espace aérien aux vols internationaux.
À cet égard, l’opérateur du secteur du tourisme, Zoubir Bouhout, a confirmé que les compagnies israéliennes avaient décidé de reprendre leurs vols internationaux vers le Maroc après une suspension temporaire due à la pandémie, notant qu’ »une ligne aérienne directe entre Casablanca et Tel-Aviv avait été lancée le 12 décembre dernier avec trois vols par semaine.
Zoubir Bouhout a déclaré que « des compagnies israéliennes ont organisé le premier vol direct entre Tel-Aviv et Rabat, transportant des diplomates israéliens, en décembre 2020, après quoi des accords bilatéraux ont été signés entre les deux pays », ajoutant qu’ »après cette date, il y a eu des vols directs en juillet dernier.
« Le marché marocain est très attractif pour les Israéliens en raison de la présence d’une communauté juive-marocaine importante, d’une histoire commune et d’une culture locale liée aux Juifs », a-t-il dit, notant que « le Maroc se prépare à recevoir les citoyens israéliens dans les meilleures conditions et dans le plus profond respect des traditions hospitalières marocaines ».
Et d’ajouter que «les professionnels du tourisme anticipent l’afflux de 200 000 touristes israéliens au Maroc sur les différents segments, notamment le tourisme familial ou religieux, les loisirs, les affaires et l’événementiel alors que le nombre avant la signature de l’accord s’élevait à seulement 50 000 », notant que « le marché marocain est capable de se développer plus amplement ce qui devrait profiter aux entreprises israéliennes et marocaines ».
La ministre du Tourisme de l’artisanat du Transport aérien et de l’Economie sociale de naguère et aujourd’hui argentière du Royaume, Nadia Fettah Alaoui en bonne visionnaire, avait déclaré à la chaîne israélienne « Kan » que « le nombre de touristes israéliens qui visiteront le Maroc devrait passer de 50 000 à 200 000 après le lancement des vols directs entre le Maroc et Israël».
Aujourd’hui tout s’y prête et ce malgré les aléas de Dame Covid. On se souvient également que dans la foulée de l’annonce des ouvertures des ambassades israéliennes et marocaines, David Govrin ambassadeur d’Israël à Rabat au Maroc, avait annoncé l’arrivée des compagnies marocaines Royal Air Maroc (RAM) et Air Arabia Maroc (filiale marocaine d’Air Arabia) dans l’Etat hébreu.
Ceci réciproquement à celle des compagnies israéliennes El Al et Israir au Maroc, déjà effective.
« En raison de la demande croissante sur les vols directs Maroc-Israël, Air Arabia et la RAM lanceront de nouvelles liaisons reliant Marrakech et Casablanca à Israël, à partir d’octobre », avait-il gazouillé sur son compte Twitter David Govrin, qualifiant cette décision d’ « étape majeure dans les efforts visant à renforcer les relations entre le Maroc et Israël ».
Nonobstant cette interruption de deux mois, depuis fin juillet, les compagnies israéliennes El Al, Israir opèrent des vols réguliers commerciaux entre Tel Aviv et Marrakech et Casablanca. Une troisième compagnie israélienne, Arkia, lancera ses vols à partir d’avril prochain.
« Le service aérien mis en place par les deux pays, vise à répondre aux besoins de la communauté marocaine en Israël qui entretient des liens étroits avec son pays d’origine mais également à permettre aux touristes et aux hommes d’affaires de voyager entre le Maroc et Israël« , avait déclaré David Govrin.
source : Le Petit Journal