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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Normal que les professionnels du tourisme sortent de leurs gongs vu que l’inertie du Gouvernement perdure. Normal que la plupart d’entre eux ne font plus confiance aux promesses faites par les administrations du Tourisme et des Finances. Normal que les patrons des entreprises touristiques menacent de fermer leurs établissements après 2 années de patience citoyenne avec, en retour, très peu de solidarité administrative citoyenne. Normal que certains d’entre eux envisagent même de plier de bagages et aller se refaire sous d’autres cieux. Normal devant l’anormal, en fait.


TOURISME : Le Gouvernement doit réagir maintenant !

  Normal que les professionnels du tourisme sortent de leurs gongs vu que l’inertie du Gouvernement perdure. Normal que la plupart d’entre eux ne font plus confiance aux promesses faites par les administrations du Tourisme et des Finances. Normal que les patrons des entreprises touristiques menacent de fermer leurs établissements après 2 années de patience citoyenne avec, en retour, très peu de solidarité administrative citoyenne. Normal que certains d’entre eux envisagent même de plier de bagages et aller se refaire sous d’autres cieux. Normal devant l’anormal, en fait.

   A croire que le Gouvernement est contre le tourisme qui, pourtant, lui remplit les caisses à plus de 80 milliards de dirhams en devises chaque année et participe au PIB national avec 13% environ. Difficile d’imaginer un pays sacrifier une si bonne manne en toute conscience et responsabilité. En un mot : la descente aux enfers du secteur est tributaire d’une volonté politique absente et du « je m’en foutisme » hilarant et incompris du Gouvernement a perdu le nord.

  Une réalité amère qui dépasse les limites de la patience. La plupart des rares entreprises touristiques qui résistent encore .ne cachent pas qu’elles vont fermer, sinon des opérateurs commencent déjà à mettre le cadenas dans des destinations jadis pleines, comme à Marrakech, Agadir et d’autres. Comme cet opérateur, visiblement excédé, qui affirme que « les quelques hôtels qui tournent actuellement ont la chance de bénéficier de bienveillance particulière.

  Mais pour la majorité, impossible de continuer a payer une armée d’employés sans aucune recette en retour, en plus des charges fixes et variables excessives en l’absence d’une contribution de l’Etat comme c’est le cas en France, par exemple. C’est l’autre vérité qui n’est malheureusement pas encore la nôtre ». Pour lui, « le discours et l’action de nos représentants devra changer pour opter vers une campagne médiatique dynamique et musclée laquelle devrait remplacer la recherche d’un partenariat public/privé  tant nécessaire en d’autres temps mais qui n’a rien donné dans l’urgence.

  Cette position est dépassée par la réalité des faits comme par les énormes préjudices subis par les professionnels qui se sont vus imposer  par l’Etat la fermeture des frontières. Le gouvernement est le seul responsable  de ses  choix sur la « stratégie sanitaire » trop zélée du reste, mais lesquels s’avèrent catastrophiques et inappropriés pour maintenir en survie  un secteur prétendument stratégique..

 

  Constat réaliste rejoint par un autre opérateur qui pense, de sa part, que les « affaires sont à l’agonie, la vie sociale anéantie, la visibilité inexistante, l’avenir plus sombre » Et de s’interroger sur ce qu’il faudrait de plus pour avoir peur ou être dérouté… Certains pensent que le dialogue ne sert à rien d’autre que l’expression de maux à travers la presse et est inutile, tandis que d’autres veulent manifester ou user d’autres moyens d’expression. Mais la finalité est la même au même titre que toutes les actions qui pourront nous aider à nous faire entendre…

  Alors, nous continuerons chacun avec les moyens et les outils que nous estimons pertinents à exprimer fidèlement nos problèmes, à faire entendre nos doléances et accélérer l’activation des mesures d’assistance et de relance. Le tout sera considéré comme courageux parce qu’il aura surmonte les peurs, du moment que notre unité est dans la force de l’unicité de notre message… Peut importe le mode d’expression. Nous avons soumis dix propositions au gouvernement… Nous avons pu oublier ou omettre certaines choses ou certaines spécificités métiers… Nous pouvons les corriger, les améliorer ou les compléter… Le véritable défi est là ».

D’autres professionnels restent quand même prudents si tout se passe bien avec la levée de l’état d’urgence sanitaire, prévu pour fin janvier, si tout se passe comme programmé bien sûr. « Malgré le faible taux de décès, il est pratiquement impossible d’envisager l’ouverture des frontières internationales avant mi-février avec une reprise légère à partir de début Avril », fait remarquer un professionnel. Et d’ajouter que le sort très difficile des ressources humaines et, maintenant, des entreprises « sera très catastrophique à faillite définitive, selon les 3 scénarios possibles :

    Situation catastrophique avec potentiel de re-construction faible : si le Gvr exécute les mesures financières prioritaires avant le 31 janvier 2022 et surtout d’une déclaration officielle de visibilité d’ouverture des frontières. Si aucune décision du Gouvernement n’est prévue après le début février, plus de 50% des entreprises en situation catastrophique à fin janvier seront définitivement livrées à la faillite. Pire : Si aucune décision du Gouvernement n’est prévue après la première quinzaine du mois de mars, plus de 90% de ces entreprises seront définitivement fermées : 30 à 40% des unités d’hébergement,  40-60% des Riads et boutiques hôtels, 40-60% des entreprises de transport touristique dont 90% dès TPE, 40-60% des entreprises de voyages , DMC et distribution, 50% des activités professionnelles touristiques annexes , culturelles, animations, MICE , folkloriques, musicales, sont en véritable crise financière et surtout sociale. Un véritable cauchemar ! »

   Aujourd’hui c’est le dernier jour pour redonner confiance à un espoir de survie du secteur touristique, votre engagement et vos déclarations, sont reçues 5/5 par l’ensemble du secteur, mais après 22 mois à -90% du business, vous avez constatée le désarroi et l’incompréhension vis à vis de votre Gouvernement qui n’a toujours rien exécuté à ce jour . Avec la CNT vous avez déjà établie une nouvelle dynamique de travail et de confiance et nous suivons avec beaucoup de diligence les travaux en cours.

  Aujourd’hui c’est le dernier jour pour des centaines d’entreprises et des milliers de ressources humaines, et chaque jour qui passe , le tsunami économique, réalise une véritable catastrophe sociale et économique.

  Aux dépens des programmes de développement, investissements, croissance Tout le secteur est privé de ressources à cause de la gestion Covid-19 et autres variants, par les fermetures des frontières internationales ? Et pourtant des solutions solidaires et responsables vis à vis du secteur ont été parfaitement réalisés soit par des soutiens très forts et rapides, soit par une gestion durable du business.

  Sans mesures d’urgence, il faudrait peut-être comprendre que le Gvrt précédent et d’aujourd’hui ont décidé d’abandonner au moins 40-60% dès TPE et 20/40% des PME ? Alors comment Re Confiance ? Re-Construire ? Re-commencer ?

C’est pour dire que l’urgence de positionner par le gouvernement, l’aide générale à notre secteur, est indispensable et maintenant ! 


 Source: http://premiumtravelnews.com/ mar Mustapha Amal



  


Par Med Mohamed Rial le Mercredi 12 Janvier 2022


Les pays arabes signataires des Accords d’Abraham pourront compter non seulement sur le soutien de l’Exécutif américain (Administration Biden) mais aussi sur l’appareil législatif américain pour faire avancer leur partenariat avec, d’un côté les USA, et Israël, d’un autre côté.

C’est l’objectif tracé au groupe d’élus bi-partisans (Démocrates et Républicains) qui vient de voir le jour au Congrès américain sous le nom: « Caucus bipartite sur les Accords d’Abraham ».


CONGRÈS US: NAISSANCE D’UN GROUPE BI-PARTISAN POUR PROMOUVOIR LES INVESTISSEMENTS AMÉRICAINS ET ISRAÉLIENS DANS LES PAYS ARABES SIGNATAIRES DES ACCORDS D’ABRAHAM

Les pays arabes signataires des Accords d’Abraham pourront compter non seulement sur le soutien de l’Exécutif américain (Administration Biden) mais aussi sur l’appareil législatif américain pour faire avancer leur partenariat avec, d’un côté les USA, et Israël, d’un autre côté.

C’est l’objectif tracé au groupe d’élus bi-partisans (Démocrates et Républicains) qui vient de voir le jour au Congrès américain sous le nom: « Caucus bipartite sur les Accords d’Abraham ».

Ce groupe a été co-fondé par James Lankford (membre du Parti républicain et sénateur des États-Unis pour l’Oklahoma depuis 2015), Jacky Rosen (membre du Parti démocrate et sénatrice du Nevada au Congrès des États-Unis depuis 2019), Joni Ernst (membre du Parti républicain et sénatrice de l’Iowa au Congrès des États-Unis depuis 2015), Cory Booker (Membre du Parti démocrate, maire de Newark de 2006 à 2013 et sénateur du New Jersey au Congrès des États-Unis depuis 2013), et les représentants Cathy McMorris Rodgers (représentante républicaine de l’État de Washington à la Chambre des représentants des États-Unis depuis 2005), David Trone (Membre du Parti démocrate, élu pour le Maryland à la Chambre des représentants des États-Unis depuis les élections de 2018), Ann Wagner (Membre du Parti républicain, ambassadrice des États-Unis au Luxembourg entre 2005 et 2009 puis représentante du Missouri depuis 2013), Brad Schneider (membre du Parti démocrate, représentante du dixième district de l’Illinois à la Chambre des représentants des États-Unis de 2013 à 2015 et depuis 2017).

« En seulement un an, les accords d’Abraham ont déjà transformé le Moyen-Orient en contribuant à la paix et à la stabilité régionales (…) Le Caucus des accords d’Abraham s’appuiera sur ce succès en fournissant un leadership bipartite pour renforcer les partenariats existants et élargir le cercle de la paix à de nouveaux pays », a expliqué la sénatrice du Névada Jacky Rosen (Parti démocrate) dans une interview au site Jewish Insider, relevant que « le Soudan et le Maroc ont également normalisé leurs relations avec Israël ».

Le Caucus exhortera les entreprises à s’engager économiquement avec les pays du bloc et à collaborer avec les membres de la Knesset et les responsables gouvernementaux des États arabes. Il travaillerait également pour soutenir les investissements du gouvernement américain dans les pays de l’Accord.

« Les États-Unis doivent continuer à jouer un rôle actif dans la promotion de la poursuite du dialogue et du partenariat entre Israël et d’autres pays arabes, et j’ai hâte de le faire dans le cadre de ce groupe bipartite », a déclaré le démocrate Cory Booker, sénateur du New Jersey au Congrès des États-Unis.

Source :  
https://lecollimateur.ma/ 


Au total, 30 zones dédiées à l’investissement touristique ont été identifiées à l’échelle de la région, dans le cadre du nouveau guide sur les opportunités d’investissement touristique. Elles portent sur plus de 3.380 ha en cours d’aménagement ou projetés dans les documents d’urbanisme.


Tourisme  Souss-Massa : 30 zones répertoriées pour l’investissement touristique

Après le guide du foncier industriel édité par le CRI, la Région du Souss-Massa vient de se doter d’un nouveau guide, relatif, cette fois-ci, aux opportunités d’Investissement touristique. Au total, 30 zones dédiées à l’investissement touristique ont été identifiées dans le cadre de ce nouveau support qui a répertorié les zones en question, sises dans des emplacements stratégiques et dédiées à accueillir des investissements touristiques.

  À noter que ces dernières sont établies sur des lieux reconnus d’intérêt touristique et totalisant plus de 3.380 hectares (ha), dont 2.080 ha de zones touristiques en cours d’aménagement ou projetées dans les documents d’urbanisme relevant des provinces de Taroudant, Chtouka Ait Baha, Tiznit et Tata. Pour le reste, à savoir 1.300 ha, ils sont situés dans la métropole du Grand Agadir. S’il y a un fait méritant d’être relevé, c’est que l’identification de ces zones touristiques a pris en considération la notion d’équité territoriale en matière de spatialisation des opportunités d’investissement touristique sur les territoires du Souss-Massa.
  Mettant l’accent sur les différents attraits de la région, le guide touristique des opportunités d’Investissement touristique place le tourisme au cœur du projet de développement économique des territoires, en prenant en considération les enjeux futurs du tourisme durable.

Une logique d’aménagement  du territoire régional
«Ce document est un outil de promotion régionale destiné à accompagner les investisseurs et les porteurs de projets dans leurs choix de développement», explique Ahmed Hajji, wali de la Région Souss-Massa. En ajoutant que «ce support a été élaboré pour offrir aux investisseurs et porteurs de projets une vue panoramique du potentiel touristique de la Région Souss-Massa et des écosystèmes y attachés, en s’inscrivant dans une logique d’aménagement du territoire, caractérisée par un maillage de zones d’aménagement touristique de nouvelle génération, en phase avec les attentes actuelles de la clientèle touristique, en quête d’un tourisme alternatif, durable et à dimension humaine», indique-t-il.

 Il va sans dire que ces zones touristiques mettent ainsi à la disposition des futurs investisseurs un foncier dont la vocation touristique est maitrisée, se déclinant en fonction de leur vocation, entre zones hôtelières et touristiques, zones d’animations et de loisirs, et zones écologiques et naturelles. Le guide permet ainsi aux investisseurs de cerner les sites et les aires d’accueil de projets d’investissement touristique offrant un cadre adéquat à la réalisation de leurs projets.

 Pour le CRI de la Région Souss-Massa et la SDR tourisme, le maillage régional des zones touristiques facilitera l’accès à un foncier dédié pour le développement de projets touristiques et contribuera à donner une nouvelle impulsion à la dynamique d’investissement privé en matière touristique dans la région.

  Le détail de l’offre régionale
Parmi les 30 zones dédiées à l’investissement touristique, la métropole du Grand Agadir en totalise 15, dont quatre sont en cours d’aménagement et 11 déjà projetées dans les documents d’urbanisme. Celles qui sont en cours d’aménagement englobent la zone d’Imsouane «Plage», sur 20 ha, le Parc animalier et de loisirs de Drarga, (130 ha), la zone d’Anchor Point (32 ha) et enfin celle d’Aghroud (594 ha). Quant aux zones projetées, elles concernent le tourisme écologique, à Cap Ghir (155 ha), en plus de la zone touristique de Tiguert (14,3 ha) et celle d’Aghroud Imi Ouddar (36,3 ha). À cela, s’ajoutent la zone de Tama Ouanza (140 ha) et la zone d’animation et de loisirs de Lqliâa (99 ha). Pour ce qui est de l’arrière-pays, une zone d’animation et de loisirs est prévue à Imouzzer (4 ha) et une zone touristique à Azazoul Ifraden (5,6 ha), en plus de deux zone touristiques sises, respectivement, à Oulad Dahou (8 ha) et à Temsia (12,3 ha).

  

L’offre touristique  provinciale
Pour la province de Taroudant, trois zones, totalisant 116 ha sont dédiées à l’investissement touristique. Il s’agit de celles de Taroudant, Taliouine et de la palmeraie de Tioute. En ce qui concerne la province de Chtouka Ait Baha, quatre zones ont été identifiées, couvrant une superficie de 1.000 ha dans la zone de tourisme économique du parc national de Souss Massa en plus de la zone touristique d’Ait Baha (2,1 ha), à l’entrée nord de la province, réservée à l’hôtellerie et aux activités touristiques. Citons, également, les zones touristique d’Aït M’Zal et de Tizi N’Takoucht de 0,7 ha chacune. Quatre zones sont répertoriées dans la province de Tiznit. Il s’agit des zones touristiques littorales d’Aglou (343 ha) et d’Arbaa Sahel (486 ha), de la zone d’animation de Mouanou-Aglou (25 ha) et de la zone touristique de Tafraoute (27 ha). Enfin, la province de Tata n’est pas en reste avec quatre zones, en l’occurrence l’Oasis de Tissint (25 ha), la zone touristique de Tata de 37 ha, consacrée aux activités touristiques, hôtelières et de camping caravaning, ainsi que celles de la palmeraie de Tigzmerte (8 ha) de Fam El Hisn (7 ha).

L’offre touristique  provinciale
Pour la province de Taroudant, trois zones, totalisant 116 ha sont dédiées à l’investissement touristique. Il s’agit de celles de Taroudant, Taliouine et de la palmeraie de Tioute. En ce qui concerne la province de Chtouka Ait Baha, quatre zones ont été identifiées, couvrant une superficie de 1.000 ha dans la zone de tourisme économique du parc national de Souss Massa en plus de la zone touristique d’Ait Baha (2,1 ha), à l’entrée nord de la province, réservée à l’hôtellerie et aux activités touristiques. Citons, également, les zones touristique d’Aït M’Zal et de Tizi N’Takoucht de 0,7 ha chacune. Quatre zones sont répertoriées dans la province de Tiznit. Il s’agit des zones touristiques littorales d’Aglou (343 ha) et d’Arbaa Sahel (486 ha), de la zone d’animation de Mouanou-Aglou (25 ha) et de la zone touristique de Tafraoute (27 ha). Enfin, la province de Tata n’est pas en reste avec quatre zones, en l’occurrence l’Oasis de Tissint (25 ha), la zone touristique de Tata de 37 ha, consacrée aux activités touristiques, hôtelières et de camping caravaning, ainsi que celles de la palmeraie de Tigzmerte (8 ha) de Fam El Hisn (7 ha).

  L’offre touristique  provinciale
Pour la province de Taroudant, trois zones, totalisant 116 ha sont dédiées à l’investissement touristique. Il s’agit de celles de Taroudant, Taliouine et de la palmeraie de Tioute. En ce qui concerne la province de Chtouka Ait Baha, quatre zones ont été identifiées, couvrant une superficie de 1.000 ha dans la zone de tourisme économique du parc national de Souss Massa en plus de la zone touristique d’Ait Baha (2,1 ha), à l’entrée nord de la province, réservée à l’hôtellerie et aux activités touristiques. Citons, également, les zones touristique d’Aït M’Zal et de Tizi N’Takoucht de 0,7 ha chacune. Quatre zones sont répertoriées dans la province de Tiznit. Il s’agit des zones touristiques littorales d’Aglou (343 ha) et d’Arbaa Sahel (486 ha), de la zone d’animation de Mouanou-Aglou (25 ha) et de la zone touristique de Tafraoute (27 ha). Enfin, la province de Tata n’est pas en reste avec quatre zones, en l’occurrence l’Oasis de Tissint (25 ha), la zone touristique de Tata de 37 ha, consacrée aux activités touristiques, hôtelières et de camping caravaning, ainsi que celles de la palmeraie de Tigzmerte (8 ha) de Fam El Hisn (7 ha).

Yassine Saber / Les Inspirations ÉCO


Par Med Mohamed Rial le Mercredi 5 Janvier 2022


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