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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Initialement prévue du 30 novembre au 3 décembre 2021 à Marrakech, l’assemblée générale (AG) de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) ne se tiendra pas finalement au Maroc, mais à Madrid en Espagne. A cause de la pandémie qui sévit encore dans le monde, le Royaume a annoncé ne pas pouvoir organiser l'événement dans des conditions garantissant la sécurité sanitaire des participants.


Organisation Mondiale du Tourisme / OMT: La 24e AG se tiendra à Madrid au lieu de Marrakech

Le samedi dernier, le gouvernement marocain, via un courrier destiné aux membres de l'OMT, a informé le secrétariat de l'Organisation que "l'évolution de la situation mondiale actuelle, liée à la pandémie de Covid-19, ne permet pas la tenue de la 24e session de l'AG à Marrakech 2021 aux dates convenues, du 30 novembre au 3 décembre, dans des conditions garantissant les conditions de santé et de sécurité nécessaires aux participants".

Et au Maroc d'expliquer : "En vue de garantir la continuité des activités de l'organisation pour la période 2022-2023 et le bon fonctionnement de ses organes, conformément aux statuts, et après consultation du président du conseil exécutif et du gouvernement espagnol, la 24e session de l'AG et la 43e session plénière des membres affiliés se tiendront au siège de l’organisation à Madrid, aux mêmes dates".
 
Rappelons, par ailleurs, que le Royaume du Maroc a été élu pour abriter à Marrakech en 2021, la 24ème Session de l’Assemblée Générale de l’OMT. L’élection a eu lieu lors de la 23ème Session de ladite Assemblée qui s’est tenue du 09 au 13 septembre 2019 à Saint-Pétersbourg (Fédération de Russie). Deux autres candidats étaient en lice pour abriter l'événement à savoir le Kenya et les Philippines.


Source: Les infos.ma

Par Med Mohamed Rial le Lundi 25 Octobre 2021


Le Président de la Confédération Nationale du Tourisme réuni aujourd’hui l’ensemble des représentants associatifs des différentes associatifs (hôteliers, agents de voyages, transporteurs, guides, restaurateurs) pour faire le point sur la situation. Il revient avec nous sur les derniers évènements qui mettent à mal le secteur.


Tourisme / CNT / Hamid Bentahar monte au créneau
 

Tourisma Post : Pass sanitaire, annulation de l’évènement de l’OMT à Marrakech, arrêt des vols avec l’Allemagne, le Royaume-Uni et les Pays Bas… La situation se complique pour le secteur, n’est-ce pas ?

L’industrie touristique marocaine subie les conséquences désastreuses de la crise sanitaire, et ce depuis plus de 20 mois maintenant. Malheureusement, l’annonce récente du maintien de toutes les restrictions en plus de l’exigibilité du pass sanitaire provoque une incompréhension profonde chez les opérateurs du secteur qui voient en cela un signal peu rassurant sur le calendrier de reprise de nos activités, et ce, malgré une amélioration incontestable de la situation sanitaire dans notre Pays.

De même, la décision de suspension de tous les vols en provenance et à destination de quatre marchés majeures de la destination Maroc (Allemagne, Royaume Uni et Hollande en plus de la Russie fermée depuis plusieurs semaines), réduit nos espoirs de reprise à néant. Ce sont là des bassins émetteurs pour la saison d’hiver qui se ferment, à un moment où nous espérions des décisions légitimement attendues de réouverture et d’accélération de la reprise.

Nous sommes conscients des efforts importants et nécessaires qu’il faut déployer pour préserver nos acquis sanitaires, priorité absolue pour tous les acteurs économiques et tous les citoyens. Nous nous y inscrivons sans réserve. Cependant, en l’absence de mesures d’accompagnement immédiates, à la hauteur de l’aggravation de la situation qui est celle de notre secteur, nous craignons une difficulté grandissante à envisager l’avenir de notre industrie, et in fine, une implosion de son tissu économique.

Tourisma Post : Que préconisez-vous ?

Conformément aux dispositions générales du contrat programme, il devient nécessaire et urgent de tenir un comité de pilotage dans les plus brefs délais, afin d’évaluer la situation à date de notre secteur, et d’élaborer ensemble, pouvoirs publics et secteur privé, les solutions adaptées à la nouvelle réalité de notre industrie, pour la période 2022 – 2024.

Notre objectif est de construire avec les pouvoirs publics, des réponses mesurées, à la hauteur des risques systémiques qui menacent notre secteur et les emplois qu’il représente et en adéquation avec les enjeux et les défis qu’il nous faudra ensemble relever, jusqu’à la sortie de cette crise.
Les réflexions déjà menées au niveau de nos corporations professionnelles concernent à très court terme, 3 mesures urgentes pour le soutien des emplois et des entreprises :
– Les Mesures sociales tout d’abord qui comprennent la reprise du dispositif CNSS du CP et son extension au 31 Mars 2022 et la révision des échéanciers pour les paiements des charges sociales reportées et dues sur 2020 et 2021, à partir de Avril 2022 avec étalement sur 24 mois.
– Les Mesures bancaires ensuite. Avec d’abord le reprofilage de l’échéancier bancaire Long Terme avec le GPBM et le renforcement de l’intervention de la CCG. Sans action efficace et volontariste dans ce sens, un risque d’insolvabilité massive des entreprises est à craindre à terme.
Avec ensuite le report des échéanciers des crédits leasing pour les entreprises du secteur, et particulièrement, les entreprises du transport touristique et de location courte durée de véhicule sans chauffeur, dont la flotte de bus et de véhicules est totalement à l’arrêt depuis plus de 18 mois.
Et avec enfin, le report des remboursements des échéances de crédits contractés par les employés du secteur.
– Et enfin les Mesures Fiscales avec la mise en place d’un moratoire fiscal au titre de 2020 et 2021, pour les taxes locales, notamment la taxe professionnelle, au 1er Juin 2022, avec étalement sur 24 mois sans frais ni pénalités.
Voici en substance nos besoins prioritaires.

Tourisma Post : Pensez-vous être entendu par les pouvoirs publics dans votre combat ?

Un contrat programme 2020-2022 avait été élaboré avec le gouvernement et ses différents partenaires pour soutenir les entreprises du secteur et préserver les emplois. Malheureusement, les mesures prévues dans ce contrat programme n’ont pas été toutes déployées, et la situation devient de plus en plus intenable pour nos entreprises.

Nous comptons beaucoup à présent sur le nouveau Gouvernement mené par notre Premier Ministre Aziz Akhannouch et sur notre nouvelle ministre du Tourisme pour nous soutenir et nous accompagner afin de sauver le secteur. L’action est urgente. L’avenir de 500.000 familles directement et de 2,5 millions indirectement en dépend !

 Source : Tourisme post


Par Med Mohamed Rial le Samedi 23 Octobre 2021


La Cour européenne a enfin statué sur l’interdiction de l’obligation vaccinale. Le lien en français est à la fin avec les articles de loi de la Cour européenne.

Toute obligation de vaccination est désormais illégale par défaut Le Conseil de l'Europe
(à ne pas confondre avec l'UE), auquel appartiennent tous les États européens à l'exception du Belarus, du Kosovo et du Vatican qui est le parrain de la Cour européenne des droits de l'homme, a décidé le 27.01.2021 dans sa résolution 2361/2021, entre autres, que personne ne peut être vacciné contre sa volonté, sous la pression.


L’interdiction de "l’obligation vaccinale" a été  adoptée par la Cour Européenne !
Les 47 États membres sont invités à signaler avant la vaccination que la vaccination n'est pas obligatoire et que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination.
 
La discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée. Les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité des vaccins.
 
Avec cette résolution, la plus importante organisation de défense des droits de l'homme en Europe a désormais établi des normes et des obligations, ainsi que créé des lignes directrices en vertu du droit international, qui doivent être appliquées par les 47 États membres, y compris l'UE en tant qu'organisation.
 
Les discriminations, par exemple sur le lieu de travail ou les interdictions de voyager pour les personnes non vaccinées, sont donc légalement exclues.
 
Dans toute procédure judiciaire, contre toute autorité, tout employeur, tout fournisseur de voyages, tout responsable.
 
En Version française :
 *Voir particulièrement les §* 
 *7.3* - *7.4* - et le *7.5.2* :  "d’utiliser les certificats de vaccination uniquement dans le but désigné de surveiller l'efficacité du vaccin, les effets secondaires potentiels et les effets indésirables"
 

Par Med Mohamed Rial le Samedi 23 Octobre 2021 | Commentaires (0)


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