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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Face aux exigences des nouvelles demandes des voyageurs post Covid-19, le secteur touristique est appelé à se transformer par la diversification des produits, le renforcement de l’aérien, par un investissement massif et ciblé. Explications avec Mme Fatim-Zahra Ammor, Ministre du Tourisme, de l’Artisanat de l’Economie Sociale et Solidaire dans cet entretien qu’elle a bien voulu accorder à « L’Opinion ».


Interview avec Fatim-Zahra Ammor : « Nous voulons adapter l’offre touristique à la nouvelle demande »
- Quelles sont les nouvelles demandes et tendances des voyageurs au lendemain de la crise sanitaire ? 

- La crise sanitaire a déclenché des changements majeurs en matière de demande touristique. Tout d’abord, le besoin d’évasion de la part des populations mondiales est plus important à la sortie de la crise. Aussi, vu l’offre touristique importante post Covid-19, un touriste va allouer plus de temps à la phase d’information et sera plus exigeant sur les critères de sélection de sa destination. 

En termes de demande, nous avons constaté l’émergence de plusieurs tendances dont une prise de conscience quant à une consommation touristique durable qui se fait dans le respect de l’environnement, des ressources et des communautés. Ce qui explique un vrai parti pris stratégique d’intégrer l’écotourisme dans les produits touristiques phares des différentes destinations mondiales. Toujours dans ce cadre, les voyageurs post Covid-19 sont plus enclins à voyager à un rythme plus lent, loin des grandes villes. Il s’agit d’un modèle alternatif de voyage qui favorise une connexion avec la nature et les locaux en toute détente. 

Aujourd’hui, les touristes sont à la recherche d’expériences uniques en relation avec la culture, la nature, la gastronomie. Enfin, le touriste d’aujourd’hui est très connecté, ce qui exerce une forte influence sur ses comportements et son processus de décision. L’ensemble de ces tendances nous pousse aujourd’hui à adapter notre portefeuille de produits touristiques à cette nouvelle demande, à accélérer la digitalisation du secteur, notamment en matière de distribution, afin d’être visible et d’être considéré par les touristes dans cette ère digitale. 


- Qu’en est-il des grands défis qui se dressent devant le tourisme national pour rivaliser avec les grandes destinations dans le monde ? 

- La destination Maroc bénéficie d’une forte notoriété et d’un capital marque positif, auprès des touristes internationaux. Notre principal défi est d’augmenter les intentions de visiter notre destination Maroc. Pour ce faire, nous travaillons déjà et de manière agressive sur plusieurs leviers stratégiques et prioritaires. 

D’abord le renforcement de l’aérien, qui est le véritable fer de lance du secteur touristique. Nous travaillons ainsi avec l’ONMT sur le renforcement de notre capacité aérienne et la multiplication des vols point à point pour desservir les différentes destinations.

Interview avec Fatim-Zahra Ammor : « Nous voulons adapter l’offre touristique à la nouvelle demande »
Le deuxième levier consiste en la réorganisation de notre portefeuille de produits touristiques pour s’aligner sur une demande plus exigeante et pour assurer une distribution équitable des bienfaits du tourisme sur les différentes régions, et enfin stimuler l’investissement en priorisant des projets nécessaires au développement du secteur, dont l’animation. Cette stimulation ne pourra se faire sans la création d’un cadre incitatif et d’un dispositif d’accompagnement au profit des futurs investisseurs. 


- Quelle est la place du tourisme local dans la vision globale ? 

- Le tourisme local est tout aussi important que le tourisme international. Les pays les plus résilients pendant la pandémie sont ceux dont le tourisme domestique a été le plus résilient. Le renforcement du tourisme interne est aujourd’hui une priorité car, on s’en rappelle, il a pesé 69% en 2021 et a ainsi pu porter le secteur jusqu’à la reprise des activités. 

Dans notre vision globale, nous voulons doubler le nombre de touristes à l’horizon 2030 pour augmenter les recettes des voyages en devises et créer plus d’emplois, et nous voulons aussi augmenter la demande interne en adaptant les produits existants aux attentes et pouvoirs d’achat des touristes marocains, mais aussi en créer de nouveaux. 

Un autre indicateur que nous voulons améliorer est la part des Marocains qui voyagent dans des établissements classés qui reste relativement faible. Les chèques voyage sur lesquelles nous travaillons permettront, ainsi, à un grand nombre de Marocains de profiter des potentialités touristiques de notre pays. 


- Le secteur de l’artisanat a été fortement impacté durant ces deux dernières années en raison du Coronavirus. Faut-il penser à une nouvelle orientation ou stratégie à mettre en place ? Si oui, quels devraient être les contours de cette démarche ? 

 - L’artisanat marocain a connu une forte reprise dès la reprise des activités. Le produit artisanal marocain connaît une forte demande à l’international. Preuve en est les exportations qui ont connu une croissance importante de 30% à fin mai. Notre stratégie pour le secteur repose sur deux axes. D’abord sa structuration, puisqu’il s’agit d’un secteur fragile caractérisé par une prédominance de l’informel. Notre objectif a été, dès les premiers mois d’exercice, de l’inscrire très rapidement dans le chantier stratégique de l’AMO impulsé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI. 

Pour ce faire, nous devions passer par une étape préalable importante qui était d’identifier ces artisans, tout en sachant que l’artisanat est un grand employeur. Aujourd’hui, grâce au lancement du Registre National du Commerce et à la mobilisation de tous les acteurs, nous avons pu faire une grande avancée sur ce volet et nous continuons à déployer les efforts pour permettre aux artisans de bénéficier de l’AMO, mais aussi de tous les programmes de soutien lancés par le gouvernement. Le deuxième axe concerne l’augmentation considérable des exportations sur les marchés internationaux. 

Ceci nous pousse à améliorer le produit pour qu’il réponde à des standards de qualité et design internationaux. C’est pourquoi nous allons créer des centres d’excellence permettant d’accompagner les artisans tout au long de la chaîne de valeur en se focalisant sur la partie Marketing. Aussi, notre organisme, sous tutelle Maison de l’Artisan, est présent de manière régulière dans les plus grands Salons internationaux accompagnés d’artisans marocains pour promouvoir le produit artisanal et signer des partenariats. 

Interview avec Fatim-Zahra Ammor : « Nous voulons adapter l’offre touristique à la nouvelle demande »
- Un mot sur les coopératives ?  

- Le Maroc compte aujourd’hui 47.000 coopératives regroupant environ 700.000 coopérants qui oeuvrent dans différents domaines d’activités et couvrent tout le territoire national, y compris les zones les plus reculées. Notre secteur coopératif ne cesse de se développer, non seulement dans les secteurs traditionnels, mais aussi dans de nouvelles niches innovantes, porteuses de valeurs ajoutées, notamment en matière de tourisme, de préscolaire, de e- commerce et de services dans le domaine entrepreneurial. 

Le secteur a connu un réel essor au Maroc, amorcé depuis le lancement par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), le 18 mai 2005. 

Partout dans le monde, le secteur de l’Économie Sociale et Solidaire a montré une grande résilience et nous sommes fermement convaincus que le secteur peut apporter des solutions concrètes aux problématiques liées à la création d’emploi, à la lutte contre la pauvreté, à la création de richesse, à l’inclusion sociale et au développement durable. C’est ce qui a, d’ailleurs, été mis en exergue dans le rapport du Nouveau Modèle de Développement. 

Nous travaillons actuellement sur une nouvelle stratégie pour le secteur qui viendrait augmenter sa contribution au PIB de 2% à 8% et lui permettre de créer plus de 50.000 emplois par an à l’horizon 2030, et ainsi le positionner comme le troisième pilier de développement aux côtés des secteurs public et privé.




Entretien réalisé par Wolondouka SIDIBE
 
 

Par Med Mohamed Rial le Jeudi 1 Septembre 2022


Comme attendu, Madame la Ministre, Fatim-Zahra Ammor, a tenu hier mardi 30 août à Rabat sa première réunion de la rentrée avec la CNT sous les couleurs de la relance à laquelle doivent s’atteler les professionnels et son département dès septembre. Pas de répit, donc, ni pour le ministère ni pour la CNT pour réussir l’énorme challenge qui se profile déjà à travers la tenue d’ateliers thématiques avec la participation des représentants des opérateurs privés afin d’affiner les objectifs et les programmes de mise en œuvre pour chaque filière touristique, et pour cibler les leviers et les projets prioritaires à déployer.


Que vaut la nouvelle feuille de route du tourisme ?

Comme attendu, Madame la Ministre, Fatim-Zahra Ammor, a tenu hier mardi 30 août à Rabat sa première réunion de la rentrée avec la CNT sous les couleurs de la relance à laquelle doivent s’atteler les professionnels et son département dès septembre. Pas de répit, donc, ni pour le ministère ni pour la CNT pour réussir l’énorme challenge qui se profile déjà à travers la tenue d’ateliers thématiques avec la participation des représentants des opérateurs privés afin d’affiner les objectifs et les programmes de mise en œuvre pour chaque filière touristique, et pour cibler les leviers et les projets prioritaires à déployer. Reste toutefois à savoir si les professionnels seront vraiment d’attaque et mentalement disponibles pour assurer comme il faut les ateliers de travail durant les 12 prochaines semaines, en s’impliquant efficacement et réelle motivation. A voir!

Pourquoi pas, du moment que Mme la ministre semble déterminée à redynamiser la mécanique, coûtera ce que cela coûtera…

Nouveau cap qui se dessine alors pour la profession et le produit Maroc après la dite réunion annonçant le lancement des travaux d’une nouvelle feuille de route du secteur où les professionnels seront partie prenante, afin de « renforcer cette dynamique afin d’accélérer le rythme de récupération des performances de 2019, rappelant qu’un plan d’attaque a déjà été mis en place pour augmenter à court-terme les capacités de l’aérien vers le Royaume, pour promouvoir la destination auprès des tour-operators et renforcer sa notoriété auprès des touristes internationaux », dira Mme la Ministre.

Belle intention qui porta le président de la CNT, M. Hamid Bentahar et les professionnels présents à manifester leur enthousiasme en se déclarant prêts à redoubler d’efforts pour que cette relance profite équitablement à l’ensemble des Régions du Royaume.

Une mobilisation pour la bonne cause exigeante et de longue haleine, mais à quel prix ? Là encore, Mme la ministre semble bien connaître son affaire en apportant les réponses qu’attend le collectif professionnel. En effet, tel qu’annoncé dans la réunion, la stratégie du secteur reposera sur trois principaux axes à savoir le renforcement de l’aérien à travers l’augmentation de la capacité et la multiplication des vols point à point, l’alignement de l’offre touristique à la demande nationale et internationale, et enfin la stimulation de l’investissement public/privé autour de leviers prioritaires dont l’animation et l’écotourisme. Ceci sera permis par la préparation collégiale de la feuille de route stratégique 2026-2030 du secteur visant à doubler le nombre de touristes à l’horizon 2030 pour atteindre 26 millions de touristes. Peut-être qu’il aurait été plus réaliste que la feuille de route prenne son élan dès 2023 et non 2026 qui semble très lointaine pour enclencher la dynamique escomptée et qui survient à la veille des élections nationales de 2027. Ce qui veut dire que la feuille de route risque de subir des aléas indésirables d’abandon probable par la future administration du tourisme ou son maintien. Le risque plane quand même…

Quoiqu’il en soit, cette rencontre a ainsi permis de présenter une première étape de diagnostic réalisé par le cabinet Naos (Fondé en 2013 par d’anciens consultants  de McKinsey & Co, Naos Partners est un cabinet indépendant, dédié à l’essor du Maghreb et de l’Afrique, à travers sa  principales activité : NAOS Consulting, activité de conseil en Management permettant d’accompagner ses clients de la stratégie à la mise en œuvre...)

, dont les principaux enseignements montrent des mutations importantes au niveau de la demande nécessitant un réel ajustement de l’offre. Constat communément partagé par la Cnt et l’Onmt au lendemain de la crise. Justement, la réunion a aussi été l’occasion de revenir sur les propositions à court et moyen terme de la CNT pour la relance du secteur touristique. Un travail expert de fond apporté par les fédérations de métiers membres et âprement défendu par la Confédération.

Point important de la réunion à compter au crédit de Mme la ministre, quand elle a appelé « la nécessité de changer le paradigme de la gouvernance du secteur, en intégrant un partenariat public-privé fort et des relais au niveau territorial ». Déclaration espérée depuis longtemps par les forces vives associatives des professionnels, largement répercutée à travers le fameux et très scientifique « rapport du Comité des experts », demeuré lettre morte depuis sa réalisation malgré la pertinence de son contenu peut-être dérangeant mais réaliste.

Autrement, la réunion aura permis aux présidents des fédérations de métiers (Excepté le MTMC et la FLASCAM) et CRTs présents (sauf  Fez-Meknès, Tanger-Tétouan Al-Hoceima, Agadir Souss-Massa, Oriental, Ouarzazate, Dakhla et Guelmim Oued Noun, d’assurer des interventions de qualité en parfaite synergie avec les objectifs de la CNT,

Soyons quand même optimistes, à la mesure de l’optimisme affiché par les professionnels après le déroulé de la réunion. Pourvu que le cabinet mandaté Naos pour la rédaction finale de la feuille de route soit pleinement doté d’expertise pour ne pas faire de déçus. Car il s’agira d’un programme à suivre en toute sérénité, une sorte de vision 2030 nuancée, après les déboires des visions 2010 et 2020 qui manquaient de visibilité réaliste…

 

Par Med Mohamed Rial le Jeudi 1 Septembre 2022


Une opération nationale de stérilisation des chiens errants débute ce jeudi 25
août à Oujda pour ensuite concerner Marrakech, Casablanca, Rabat, Agadir et
Tanger. L'objectif est de lutter contre la prolifération des chiens errants
conformément à la convention quadripartite signée en 2019.


Chiens errants : démarrage d’une opération de stérilisation dans six grandes villes
 Jeudi 25 août à Oujda, une opération de vaccination contre la rage et de stérilisation des chiens errants a été lancée. Il s’agit d’une opération nationale portée par le Conseil national de l’Ordre des vétérinaires (OVM) conjointement avec la Commune, le Conseil de la ville d’Oujda et l’ONSSA.

 L’opération menée à Oujda sera la première étape d’une vaste opération de vaccination et de stérilisation prévue à moyen termes sur l’ensemble du territoire national et à court termes dans cinq villes : Marrakech, Casablanca, Rabat, Agadir et Tanger. Il s’agit de l’application de la convention cadre signée en février 2019 entre “le ministère de l’Intérieur, le ministère de la Santé, l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) et le Conseil national de l’Ordre des vétérinaires du Maroc (OVM)” indique à Médias24, le Dr. Badre Tnacheri Ouazzani, président de l’OVM. Une convention dont l’application a été retardé par la pandémie de Covid-19 et des contraintes budgétaires, nous explique notre source. L’opération se base sur la stérilisation car elle « met fin à la reproduction” insiste le président de l’OVM dans une déclaration à Médias24

  « 2.000 vétérinaires privés et agents de l’ONSSA participeront à cette campagne qui couvrira également plusieurs zones rurales » précise un communiqué du Conseil national de l’ordre des vétérinaires publié ce jeudi 25 août. “Par manque de refuge, l’opération sera réalisée dans les cabinets privés des vétérinaires” nous détaille affirme M. Tnacheri Ouazzani. « La commune s’occupera de la capture des chiens avant de les amener aux cabinets. Certes, c’est contraignant pour les vétérinaires mais c’est une action nécessaire », nous explique-t-il.

   En amont aux opérations de vaccination et de stérilisation, la convention prévoit la construction de refuges “selon des normes qui respectent le bien-être animal. Ces structures doivent également être en capacité d’accueillir de la chirurgie vétérinaire.” décrit notre interlocuteur. Et de poursuivre : “la construction et la gestion des refuges sont confiés aux collectivités territoriales.
L’Ordre national y organise des permanences vétérinaires et forme les agents pour la capture des chiens ». La construction des refuges a également pris du retard 31/08/2022 13:22 Chiens errants : démarrage d'une opération de stérilisation dans six grandes villes - Médias24 

Les communes responsables de la lutte contre les chiens errants

 Pour l’heure, seul un refuge est sorti de terre, à Rabat. Leur importance réside dans l’acte chirurgical de la stérilisation, la vaccination contre la rage, mais aussi la convalescence des animaux. “On ne pourra relâcher les chiens qu’après 4 ou 5 jours, car ils seront très vulnérables” explique le Dr. Badre Tnacheri Ouazzani. “Il faudra également faire attention à les relâcher à l’endroit où ils ont été capturés, c’est-à-dire leur territoire, afin qu’ils ne perdent pas leurs repères. Les chiens traités seront reconnaissables grâce à une boucle d’oreille numérotée, afin de rassurer la population sur leur santé », précise-t-il.

Vaccination contre la rage, mais aussi la convalescence des animaux. “ La réactivation de cette convention-cadre fait écho au récent drame survenu il y a quelques jours à Dakhla avec le décès d’une touriste française des suites de blessures causées par une attaque d’une meute de chiens errants. Ce dramatique fait divers rappelle que la rage contractée suite à la morsure d’un chien a tué en moyenne 23 personnes par an lors des dix dernières années, selon les chiffres communiqués par l’OVM. Il y a quelques jours, le ministre de l’intérieur a adressé une circulaire aux walis et gouverneurs pour les appeler à soutenir les efforts et assister les actions des communes pour gérer ce dossier épineux.

Car à Dakhla comme dans d’autres régions du Maroc, la prolifération des meutes de chiens errants est alarmante. Et la lutte contre ce phénomène relève de la responsabilité des conseils communaux. L’article 50 de la charte communale dispose que « le président du conseil communal exerce les pouvoirs de police administrative, par voie d’ arrêtés réglementaires et de mesures individuelles, portant autorisation, injonction ou interdiction, dans les domaines de l’ hygiène, la salubrité et la tranquillité publiques et la sûreté des passages ». Parmi la longue liste d’attributions nous pouvons lire : « il prend les dispositions nécessaires pour empêcher la divagation des animaux malfaisants et nuisibles, contrôle les animaux domestiques et procède aux opérations de ramassage et de contrôle des chiens errants et lutte contre la rage et toute autre maladie menaçant les animaux domestiques, conformément aux lois et règlements en vigueur ». Il est donc à la charge de chaque commune de gérer ce dossier en s’appuyant sur les partenaires concernés notamment l’ONSSA, le ministère de l’intérieur,… Autre loi qui concerne les chiens, c’est la loi 56-12 relative à la prévention et à la protection des personnes contre les dangers de chiens. Elle interdit la vente de six races de chiens dangereux : Staffordshire bull terrier, Pitbull, Mastiff, Boerbull, Tosa et l’American Staffordshire bull terrier.

 Source: Medias24
 

 

Par Med Mohamed Rial le Mercredi 31 Août 2022


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