Menu
LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Une compilation de retour d'expériences «négatives»
Marrakech, le Nord, les plages, l'insécurité routière... Les maillons faibles
Le Canada appelle ses ressortissants à rester prudents!
Ces dernières années, les plateformes électroniques comme Tripadvisor, Routard ou Booking exercent une forte influence, voire conditionnent les choix des destinations des touristes. D’un point de vue marchand, l'on ne peut plus ignorer les commentaires, les expériences et les témoignages, qu’ils soient bons ou mauvais.


TOURISME: Ces témoignages qui accablent la destination Maroc
Une compilation de retour d'expériences «négatives»
Marrakech, le Nord, les plages, l'insécurité routière... Les maillons faibles
Le Canada appelle ses ressortissants à rester prudents!
Ces dernières années, les plateformes électroniques comme Tripadvisor, Routard ou Booking exercent une forte influence, voire conditionnent les choix des destinations des touristes. D’un point de vue marchand, l'on ne peut plus ignorer les commentaires, les expériences et les témoignages, qu’ils soient bons ou mauvais.
«Il est impossible de se balader gentiment dans les rues étroites de la Médina à cause du nombre incalculable de scooters qui circulent sans aucune attention pour les piétons que ce soit des enfants, des personnes âgées ou autres» (Ph. L'Economiste)
Chaque jour, plusieurs millions d'avis et d'expériences sont partagés en ligne, heure par heure et ce, dans les moindres détails. C'est dire l'impact des commentaires en ligne sur l’industrie touristique. De manière générale, l'expérience voyage démontre que le touriste retient surtout les mauvais souvenirs.
D'après les experts, un client mécontent en parle négativement à 12 personnes et un client ayant connu un problème résolu en parle positivement à 20 personnes.  Après, le bouche à oreille et les réseaux sociaux tournent en boucle. Cela devient viral en quelques jours seulement!                                                                                                                          
En cette période de fin de saison estivale, L'Economiste recueille plusieurs commentaires et avis corroborés par des expériences négatives vécues récemment dans la destination Maroc. L'enjeu étant de remonter les points négatifs, afin d'apporter les solutions qui s'imposent et remettre l'expérience client au coeur du processus.   
               Zoom sur une compilation d'avis et de témoignages négatifs relayés par des touristes.
 

■  «Les gens conduisent comme des tarés»
- Sur le retour d'expérience suite à un voyage à Tanger, Kénitra et Rabat en juin dernier, un jeune français témoigne: «Dans le Nord du pays les routes et autoroutes sont bien adaptées. Par contre, les gens conduisent comme des tarés. Je pense que le code de la route a été mis aux poubelles et jeté depuis très longtemps. Les automobilistes  conduisent hyper mal sans oublier les piétons qui traversent les routes n'importe où et n'importe comment. Un accident peut très vite arriver si vous n'êtes pas dynamique... C'est le point négatif que je donne à la suite de ma visite». (Source: Tripadvisor)
■  Marrakech: «C'est la dernière fois que j'y mets les pieds»
- Autre témoignage, autre expérience négative... «Je suis à Marrakech actuellement et je peux vous confirmer que c'est la dernière fois que j'y mets les pieds. Malgré que les gens de notre Riad soient très gentils, dès que nous sortons le bout du nez dans la rue, c'est infernal. On se fait harceler continuellement par les marchands, par des personnes qui prétendent vouloir aider dès que vous cherchez votre chemin et qui vous insultent lorsque vous constatez leur petit jeu et que vous arrêtez de les suivre.... Il est impossible de se balader gentiment dans les rues étroites de la Médina à cause du nombre incalculable de scooters qui circulent sans aucune attention pour les piétons que ce soit des enfants, des personnes âgées ou autres. Ça pue l'essence et c'est dangereux. C'est très bruyant... Donc absolument rien d'agréable.... Si vous voulez visiter le Maroc, je vous conseille de choisir une autre ville que Marrakech», témoigne une femme, originaire du Canada. En réaction à ce témoignage, une femme de Valencienne confirme les désagréments de la ville ocre: «Totalement d'accord avec vous!  Nous avons voyagé, mon ami et moi,  à Agadir, Essaouira... Tout s'est très bien passé sauf à Marrakech. Malgré l'architecture magnifique, nous déconseillons cette ville, où les vendeurs vous harcèlent, les locaux qui tentent de vous pommer... Et pourtant nous avons l'habitude de voyager et de nous aventurer dans les endroits où il y a peu de touristes».
Pour un autre touriste de Carcassonne: Tout cela fait partie de Marrakech. On le sait quand on y va ou en lisant un minimum de documentation. Cela étant dit, c'est pénible d'être harcelé à longueur de journée. Pour le reste, les mobylettes, les odeurs, le monde, la vie à 100 à l'heure, leur façon de conduire... On part pour être dépaysé? Là on est servi... Pour être tout à fait honnête, les seuls dont il faut vraiment se méfier, ce sont les enfants violents avec les touristes (coups volontaires, caillassages, dégradation des voitures, vols...) 

TOURISME: Ces témoignages qui accablent la destination Maroc
Entre les gardiens de voitures, les loueurs de parasols et chaises, quadds, jet ski, les marchands ambulants... les estivants sont harcelés à longueur de journée 
■ Plages avec cocotte-minute, pastèques, couche-culotte...
Cet été, les plages ont été prises d'assaut par les estivants au Nord (Tanger-Tétouan, Mdiq, Martil) comme au sud (Taghazout-Agadir) ou encore au Centre (Rabat-Casablanca, El Jadida, Oualidia et Essaouira...) Entre les gardiens de voitures, les loueurs de parasols  et chaises, quadds, jet ski.... les estivants sont harcelés à longueur de journée. A la plage Sidi Bouzid d'El Jadida, les détritus sont partout amoncelés (épluchures de pastèques, canettes de sodas, bouteilles vides, couches culottes, tessons de bouteilles de bière, mégots de cigarettes ...) Plus encore, les plages «sauvages» sont prises d'assaut , aux environs de Rabat-Salé. Et pour cause, elles sont toutes à portée de mobylette. Le barbecue , le canoun, la cocotte minute, sont utilisés pratiquement partout par les familles marocaines. «Les plages sont désormais sales, l'eau y est souillée par des masses qui y passent la journée. C'est une horreur aux alentours de Témara».
■ Aéroport de Casablanca: «Une honte!»
«Aéroport international de Casablanca. C'est une honte pour une capitale économique!! Vol de mon portefeuille hier, pourtant bien rangé dans mon sac, dérobé un moment entre les contrôles à l'embarquement (un contrôleur me demande si j'ai du cash sur moi et combien, j'ai répondu et je regrette fortement) et l'espace lounge!!! Je ne sais toujours pas au final qui a volé mon portefeuille, mais c'est vraiment un professionnel. Vraiment une honte de laisser des gens pareils travailler dans un aéroport !!!!!!!! Bien sûr, ça m'étonnerait que l'on m'appelle pour me dire que quelqu'un a retrouvé mes papiers... Franchement dégoutée par la fin de mon voyage au Maroc. Une honte pour Casablanca, qui est une ville bruyante, polluée et  peu agréable». (Source: Routard)
                                                            
«Les chiens errants, un fléau au Maroc!»
Selon la chaîne française LCI, les chiens errants sont devenus  un fléau au Maroc. Ce constat a été publié suite à l'attaque d'une française de 44 ans par une meute de chiens errants alors qu’elle s'était éloignée à pied de son hôtel dans la commune d'El Argoub, non loin de la ville de Dakhla. Selon les premiers éléments, la ressortissante française était arrivée mardi 16 mai dans cette station balnéaire connue pour la pratique du kitesurf, au bord de l'Atlantique. Elle est située à 70 km de Dakhla, chef-lieu de la province d'Oued Eddahab. La touriste est décédée suite à cette attaque.
Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie, sous la supervision du parquet, pour élucider les circonstances. La prolifération des chiens errants est un véritable fléau au Maroc. L'Etat marocain a signé une convention en 2019 avec des partenaires «pour stériliser, vacciner et identifier les chiens errants», poursuit la chaîne de télévision française d'information en continu du groupe TF1.

es Canadiens appelés à faire preuve de «grande prudence»
Sur la Rubrique «Conseil aux voyageurs pour le Maroc», le site officiel du Gouvernement du Canada appelle ses ressortissants à «faire preuve d'une grande prudence» lors de leur voyage avec des avertissements selon les régions et territoires à visiter. Dans sa dernière mise à jour datant du 20 août dernier, le site gouvernemental canadien préconise «une grande prudence au Maroc» en raison (tenez-vous bien!)  de... «la menace terroriste».
«Il existe une menace terroriste, et des étrangers ont déjà été la cible d’attentats. En décembre 2018, 2 touristes scandinaves ont été retrouvés mortes dans une zone montagneuse du sud du Maroc à 10 km d’Imlil, un village du Haut Atlas. Les autorités marocaines ont attribué ces meurtres à des terroristes. Des attentats peuvent se produire à tout moment». Par ailleurs, le même site alerte sur les risques d'enlèvements: «Les Occidentaux s’exposent à un risque d’enlèvement dans les régions reculées du Maroc et dans les régions qui longent la frontière de l’Algérie et celle de la Mauritanie. Exercez une grande vigilance en tout temps, surtout lorsque vous voyagez dans les régions frontalières et dans le sud du Maroc. Ne partez pas seul en randonnée pédestre dans des régions montagneuses éloignées». Sur un tout autre registre, le gouvernement canadien insiste sur la criminalité. Il fait surtout allusion aux «crimes mineurs»: Il se commet des crimes mineurs (vols à la tire, vols de sacs à l’arrachée parfois commis par des motocyclistes, escroquerie et autres vols), surtout dans les médinas, les marchés et les parcs ainsi que sur les plages. De tels crimes peuvent aussi se produire dans tous les quartiers... Pour réduire les risques, le site canadien conseille aux ressortissants en voyage au Maroc de n'emprunter «que les grandes voies de circulation, surtout dans les médinas». Il invite les voyageurs à «faire constamment preuve de prudence; rangez toujours en lieu sûr les effets personnels; ne pas faire étalage de richesse, en particulier lors des promenades après la tombée de la nuit... Ou encore éviter de circuler avec un sac à main». Les touristes en provenance du Canada ont aussi des consignes strictes. «Ils ne doivent en aucun cas accepter des aliments ou des boissons ni d'invitations de la part d'inconnus... encore moins changer d'itinéraire à la demande de ces derniers». Plus encore, les touristes canadiens sont appelés à faire preuve de prudence dans les régions montagneuses, notamment dans le Rif et sur la côte Nord du Maroc. «Il s’agit d’une zone de production de stupéfiants, et des touristes ont parfois été amenés, par la ruse, à commettre des infractions en matière de stupéfiants».
Le gouvernement canadien alerte également sur le phénomène de vols à main armée. «Il arrive que des vols à l’arme blanche fassent des blessés et même des morts. Si des voleurs s’en prennent à vous, ne leur opposez pas de résistance». Les ressortissants sont également appelés à faire preuve de vigilance lors du retrait d'argent dans les guichets automatiques (GAB). «Des vols sont commis aux abords des guichets automatiques bancaires». Autres sources de risques, «les fraudes liées aux cartes de crédit sont fréquentes», alerte le même site.
Bien que la population marocaine soit en général très amicale et accueillante, faites preuve de bon sens et de prudence en tout temps, nuance le portail. Mais en même temps, il recommande à ses ressortissants d'éviter les achats forcés: «Il est déjà arrivé que des touristes soient conduits de force dans des boutiques et contraints, par des manœuvres d’intimidation, à y faire des achats».
Sur la sécurité des femmes, les consignes sont inquiétantes. «Les femmes qui voyagent seules peuvent subir certaines formes de harcèlement et de violence verbale». Enfin, la sécurité routière est un autre sujet de préoccupation:
«L’état des routes et la sécurité routière varient grandement selon l’endroit où l’on se trouve dans le pays... Les automobilistes ne respectent pas tous le Code de la route. La présence de piétons, de scooters et d’animaux sur la chaussée est aussi une source de danger». Le portail insiste sur le fait que les accidents mortels sont fréquents au Maroc. «En cas d’accident n’ayant causé que des dommages matériels, la police n’intervient généralement pas», relève la même source officielle.

 
 Source: l'economiste par Amin RBOUB

Par Med Mohamed Rial le Jeudi 25 Août 2022


Fatim-Zahra Ammor est au cœur d’une polémique. Ses vacances privées qu’elle passe en famille en Tanzanie déplaisent à bon nombre d’internautes marocains. Ces derniers ont du mal à comprendre que celle qui vante les atouts touristiques du royaume, ait préféré passer ses vacances à plus de 7 000 km du Maroc. Les critiques fusent sur les réseaux sociaux. Sur la toile, la ministre essuie de nombreuses critiques.


Les vacances de la ministre du Tourisme Fatim-Zahra Ammor en Tanzanie passent très mal auprès des Marocains.

Une photo publiée sur les réseaux sociaux a suffi pour créer une vive polémique autour des vacances privées de la ministre du Tourisme, Fatim-Zahra Ammor, qu’elle a passées… en Tanzanie.

La ministre du Tourisme est la cible de plusieurs commentaires haineux depuis la fuite de photos où on l’aperçoit passer ses vacances en Tanzanie, où elle s’est rendue en famille. Certains internautes voient d’un très mauvais œil le fait que la ministre, qui ne cesse de vanter les atouts touristiques du royaume, ait choisi une destination située à plus de 7.000 kilomètres du Maroc pour passer ses vacances.
Des réactions sur la toile à ce sujet


Par Med Mohamed Rial le Jeudi 25 Août 2022


La préparation du lancement du PDC, par la Commune Urbaine d’Agadir, prévu de 2022 à 2028, vient de débuter avec des consultations citoyennes, à grandes échelles, afin que les citoyens s’approprient ce plan de développement, y adhèrent fortement et le soutiennent par des actions de terrain. Des représentants de la Presse d’Agadir étaient invités, dans une réunion de travail, à donner leurs avis, leurs suggestions sur la relation optimale des journalistes, via le créneau communication avec les dirigeants de la Commune.


Agadir / Commune Urbaine : Plan de Développement Communal (PDC), en vue.   Des consultations citoyennes sont lancées. Honneur aux journalistes.
La préparation du lancement du PDC, par la Commune Urbaine d’Agadir, prévu de 2022 à 2028, vient de débuter avec des consultations citoyennes, à grandes échelles, afin que les citoyens s’approprient ce plan de développement, y adhèrent fortement et le soutiennent par des actions de terrain. Des représentants de la Presse d’Agadir étaient invités, dans une réunion de travail, à donner leurs avis, leurs suggestions sur la relation optimale des journalistes, via le créneau communication  avec les dirigeants de la Commune.
 
   Une grande innovation en la matière qui honore la nouvelle équipe de la CUA. En effet la rencontre avec les journalistes a duré toute de même plus de quatre heures. Chaque participant s’est exprimé librement, défendant son point de vue, de la manière avec la quelle la CUA doit agir pour réussir une bonne communication avec les différents médias, mais également avec les citoyens. Ces deux composantes sont essentielles , voire déterminantes pour le réussite de ce Plan de Développement Communal en vue.
 
  Etaient présents , lors de cette rencontre Mostafa Bouderka, premier vice président de la Commune Urbaine, Abdellah Boulghmair, vice président,   Kaidi Khalid , secrétaire de la CUA, enbon animateur de débats, le vice :président chargé des finances, Bachir  Benhmad, ex dirigeant de la Banque Populaire qui exécute à merveilles ses responsabilités, et Lhabib Aghriss , chargée de la Communication au sein de la Commune. Du côté presse, étaient présents des vétérans du journalisme local : Lamalki, Malika Alami, Ibrahimi, Chbani, Harmess, Moutawakil, Jalil Belabbes, Zahidi, Bakrim, Taouhiq Smida,… et bien d’autres confrères ( qui font tous la fierté des médias qu’ils représentent, grâce à leurs efforts constants de réussir à merveilles leur mission). 

Agadir / Commune Urbaine : Plan de Développement Communal (PDC), en vue.   Des consultations citoyennes sont lancées. Honneur aux journalistes.
Les journalistes présents se sont tous exprimés dans une clarté et dans une responsabilité qui les honorent, concernant la gestion de la Communication au sein de la CUA, mais également au sujet de la gestion des certaines problèmes et problématiques accumulés depuis des années, lors des précédents mandats des différents bureaux communaux. En voulant mette fin à cela, honore la nouvelle équipe communale, qui trouvera dans la responsabilité des journaliste, le soutien nécessaire, pour corriger, dénoncer, contribuer, mettre en valeur, la gestion communale dans toues ses dimensions : investissements, tourisme, culture, sports, etc…
 
 Le souci des représentants des médias locaux, comme fut le cas des membres du bureau de la CUA , présents à la réunion, était de tracer le bon chemin, pour arriver à une assurer une communication professionnelle, permanente et concrète, devant accompagner les élus de bien s’acquitter de leur responsabilités quotidiennes, face à tous les évènements relatifs à la gestion communale, mais surtout devant faciliter le contact avec les citoyen, à travers une concertation permanente de proximité, garante d’une coopération de terrain oh combien nécessaire, dans tous les domaines. Bref, réussir, à travers cela, un acte communal de portée civique, qui reflète des pratiques de démocratie citoyennes , de terrain…
 

Agadir / Commune Urbaine : Plan de Développement Communal (PDC), en vue.   Des consultations citoyennes sont lancées. Honneur aux journalistes.
   Cette initiative de rencontrer des représentants de la presse locale que nous  saluons fortement, est très louable, à la fois pour la CUA, à travers son équipe dirigeante, louable aussi pour les journalistes qui sont à l’afflux de tout ce qui se passe en matière de gestion communale, au quotidien, à court ou moyen terme, louable pour les citoyens qui seront informés des tenants et aboutissants des actions et actes, exécutés, ou prévus, lors de la mise à exécution du Plan  de Développement Communal, prévu.  IL est certain que toute gestion communale qui se veut pérenne et bien réussie ne pourra se faire qu’avec une consultation permanente les citoyens, à travers des comités de quartiers sont font le lien entre les uns et les autres, dans un but commune de gestion de proximité , pratique et porteur.

 Ainsi il est judicieux, voire nécessaire, au point de vue pure communication pratique et intelligente, avec les représentants des médias locaux d’organiser une fois par trimestre, une réunion élargie avec les journalistes, pour leur donner les informations nécessaires dans leur exercice au quotidien. La CUA devant mettre le point sur ce qui a été fait, ou qui va se faire, dans un esprit  d’information et de communication qui anime tout journaliste militant de terrain qui  cherche toujours des réponses claires, à travers des questions : qui ? quoi ? où ?, par qui ?, comment ?, par quel moyen ? dans quel cadre ? avec quel partenaire ? dans quel objectif, avec quel budget etc…
 
  A bon entendeur. Salut
 
Med RIAL
 

Par Med Mohamed Rial le Mercredi 24 Août 2022


1 ... « 90 91 92 93 94 95 96 » ... 198




Partager ce site