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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Alentour, la plateforme du tourisme de proximité, annonce l’acquisition de la première plateforme numérique française grand public de réservation d’activités de plein air, Manawa.com

L’objectif : continuer à développer la commercialisation en ligne de l’offre touristique du territoire sur une verticale clé, l'« outdoor ». Aux côtés de Timothée de Roux, Président d’Alentour, le co-Fondateur de Manawa, Philippe Bichet, est nommé Directeur Général B2C d’Alentour


Le Louvre
Le Louvre

La plateforme Alentour, lancée en septembre 2021 par la Banque des Territoires, avait annoncé ses ambitions dès sa création : dynamiser les écosystèmes touristiques locaux en encourageant la digitalisation des prestataires d’activités de loisirs pour répondre aux nouvelles attentes et habitudes des voyageurs. En seulement 7 mois, plus de 5700 activités et plus de 1600 hébergements se sont connectés à la plateforme.

 

Aujourd’hui, Alentour poursuit son développement avec l’acquisition du premier site grand public français de réservation d’activités outdoor : la plateforme Manawa.com. Avec cette opération, Alentour se lance sur le terrain du B2C pour la commercialisation des activités touristiques de plein air, un secteur clé pour le marché français, historiquement attaché à ce type d’activités. Berceau du parapente, de la plongée, de l’alpinisme, de la montgolfière ou encore du kitesurf, la France représente, par la richesse de ses paysages, un terrain de jeu propice aux expériences de ce type ! Et les Français ne s’y trompent pas, puisque 77% d’entre eux ont pratiqué une activité de plein air en 2021

  Présent sur les 10 principaux marchés européens des activités de plein air, Manawa propose plus de 5500 activités outdoor à la réservation. En France, ce sont plus de 1840 activités sélectionnées et vérifiées qui sont connectées à la plateforme, à travers 6 univers représentant plus de 50 types d’expériences :

  

  • Air (montgolfière, parachute, parapente…),
  • Neige (randonnée glaciaire, raquettes, plongée sous glace…),
  • Terre (escalade, accrobranche, VTT…),
  • Eau (canyoning, plongée, rafting, excursions en bateau…),
  • Urbain (roller, skate, trottinette…) et
  • Crazy” pour des expériences plus insolites (stages de survie, plongée avec les requins…).

 

Les deux sociétés mettront en commun leurs forces pour continuer à aider les professionnels d’activités de loisirs à augmenter leur visibilité et leurs ventes :

 Sur le site B2C Manawa.com,

Qui s’adresse directement aux voyageurs français et étrangers et qui leur permet de découvrir et de réserver des activités outdoor facilement,

 Sur la plateforme B2B2C d’Alentour

Qui permet à des prescripteurs locaux, tels que les hébergements touristiques (hôtels, auberges, gîtes, campings) ou les institutionnels (Offices de Tourisme, Comités Départementaux de Tourisme, Comités Régionaux de Tourisme), de partager leurs recommandations avec leurs clients par e-mail, ou via des posters intégrant un QR code scannable affichés à la réception, dans les chambres ou dans les bureaux d’accueil.

 Les consommateurs finaux pourront ainsi accéder à un catalogue complet d’activités, s’assurer de leur disponibilité, réserver pour éviter les files d’attente et, également, être inspirés par la découverte de nouvelles offres, hors des sentiers battus.

 La complémentarité entre les canaux des deux plateformes leur permettra d’enrichir mutuellement leurs inventaires respectifs, et de poursuivre le travail de digitalisation des prestataires qui ne sont pas encore équipés techniquement. Pour cela, Alentour accueillera les équipes de Manawa dans ses bureaux à Paris.

 Pour Alentour, la digitalisation du secteur des activités touristiques de plein air est clé

Alors que les consommateurs sont de plus en plus friands de ce type d’expériences - une tendance accélérée par la crise sanitaire - l’offre d’activités de loisirs réservable en ligne reste très urbaine, proposant notamment des visites de sites « incontournables » dans les grandes villes. Avec l’acquisition de Manawa, Alentour poursuit son objectif d’agréger et digitaliser le catalogue le plus large et varié possible d’activités de loisirs, et affirme sa volonté de mettre en avant les offres touristiques de plein air qui sont aujourd’hui peu visibles en ligne. 

 Timothée de Roux, Président d’Alentour, déclare : « L’acquisition de Manawa est un accélérateur pour Alentour, au bénéfice de tout l’écosystème touristique local : nous complétons notre approche B2B2C avec un canal B2C pour être présents à toutes les étapes du parcours des voyageurs. L’idée est de multiplier les points de contact avec les consommateurs, pour que les prestataires d’activités soient le plus visibles possible. Ainsi, notre catalogue d’activités outdoor enrichi pourra être intégré sur des plateformes grand public, comme Manawa, mais aussi sur les sites des hébergements touristiques et des institutionnels du tourisme partenaires - ce que nous faisons déjà avec L’Agence Savoie Mont Blanc, la Côte d’Azur ou l’Office du Tourisme et des Congrès de Paris »

Philippe Bichet, Co-Fondateur de Manawa, nommé Directeur Général B2C d’Alentour, déclare : « Nous sommes ravis de rejoindre l’aventure Alentour, un projet avec lequel nous partageons la même volonté de faire découvrir des activités uniques aux voyageurs du monde entier, et en particulier sur le territoire français. Depuis la création de Manawa, en 2016, nous nous sommes engagés sur trois promesses clés : la simplicité d’utilisation pour nos clients et partenaires, la découverte d’expériences insolites pour les voyageurs, et l’expertise et le conseil pour simplifier leur parcours d’achat. Avec Alentour, nous pourrons aller encore plus loin dans ces engagements, et offrir à nos 2000 partenaires professionnels l’accès au canal B2B2C d’Alentour ». 

Source: Tour Hebdo

 

 

DISTRIBUTION Première plateforme numérique française de distribution d’activités touristique

Par Med Mohamed Rial le Vendredi 12 Août 2022


Comme chaque année, les Marocains sont déçus de l’offre touristique au Maroc, en termes de qualité de services et de loisirs, mais aussi en raison des prix exorbitants proposés par les acteurs touristiques (hôtels, auberges, restaurations, services …). Des prix, qui poussent la plupart des familles à revenu limité, de ne même pas envisager un week-end, surtout pas durant les deux mois de juillet et août. Cette année, la situation est encore plus compliquée en raison de la hausse importante des produits de consommation et du gasoil.


Maroc / Hôtellerie / Prix élevés des hôtels : Une offre touristique faible et une Vision 2020 caduque

 Le problème de l’offre touristique médiocre et de la hausse des prix au Maroc revient à plusieurs facteurs selon Zoubir Bouhouth, expert dans le domaine du tourisme, qui s’est confié à Hespress Fr sur le sujet. Il y a d’abord l’afflux des touristes pendant les mois de juillet-août, en particulier les MRE (Marocains résidents à l’étranger).

En citant comme exemple l’année 2019, et en se basant sur les chiffres officiels communiqués par le ministère du Tourisme, quelque 5.9 millions de MRE sont rentrés au Maroc en 2019, dont 40% (2.4 millions ) durant les mois de juillet-août. « Rien qu’en juillet, quelque 1,4 million de MRE sont rentrés au bercail, ce qui fait qu’il y a une concentration de touristes, si l’on rajoute le tourisme local et international « , ajoute l’expert


D’une part nous avons une forte demande, boostée par les MRE en grande partie, et la demande locale d’autre part. Mais ce qui est grave, c’est que l’offre touristique est trop faible au Maroc. On n’a pas beaucoup d’hôtels comparé à d’autres destinations. Les chiffres officiels du ministère du Tourisme parlent de 276.000 lits au total. En réalité, il faut diviser de chiffre par deux, parce qu’il ne prend pas en considération les hôtels qui ont fermé leurs portes. Ces derniers figurent toujours dans les statistiques. Ce qui fait qu’on a une forte demande et une faible offre touristique, ce qui donne suite automatiquement à une hausse des prix « , explique Zoubir Bouhout.

Nous entendons souvent les Marocains se plaindre des offres alléchantes consacrées au touriste étranger au Maroc et à moindre prix et dont ils ne profitent pas. Sur ce point, l’expert en tourisme explique ce phénomène, qui est plutôt réel, en citant plusieurs points.

« Sur les plateformes digitales, il n’y a pas de distinction entre marocain ou étranger. Par ailleurs, la plupart des étrangers passent par les agences de voyage qui proposent des packs plutôt intéressants, puisqu’il s’agit de tour-opérateurs qui louent des blocs de chambre« , explique l’expert, citant comme exemple une agence de voyages qui loue pour toute une année un hôtel de 300 chambres, et peut donc se permettre de baisser ses prix.

Mais au Maroc, on n’a pas cette culture de recourir aux agences de voyages, déplore Bouhout. « Pour nous c’est un intermédiaire qui va nous surfacturer pour le service, alors que ce n’est pas le cas dans la plupart du temps« , dit-il.


La solution selon Zoubir Bouhout se trouve dans l’offre et dans la politique du ministère et des opérateurs privés pour mettre en place des stations et des unités d’hébergement, à la portée des citoyens et qui prend en considération le pouvoir d’achat des Marocains. Mais il y en a pas malheureusement, se désole-t-il.

 » L’un des objectifs de la Vision 2020 était de construire 8 stations touristiques dans le cadre du Plan Biladi. C’est des centres de vacances qui ressemblent à des hôtels. La seule différence c’est qu’il s’agit plus d’un appartement que d’une chambre parce qu’on a plus de tourisme familial au Maroc, et son prix est réduit. On y trouve des piscines, des parcs de jeu et des attractions pour enfants. Sur les 8 stations qui devaient être construites, seulement deux ont vu le jour, à savoir la station d’Imi Ouddar et Ifrane. Il y a eu donc un problème dans l’exécution de ce projet, d’où le déficit en matière d’offre que nous vivons actuellement », explique l’expert.

Pour résoudre ce problème devenu structurel, il propose de mettre en place une offre à la portée, qui prend en considération le pouvoir d’achat des Marocains et de proximité, vu qu’on ne peut pas continuer à concentrer ces infrastructures dans les mêmes endroits, souligne-t-il.

« La vision du tourisme 2020 est caduque. Aujourd’hui, il y a une nouvelle charte d’investissement, qui va fournir des subventions, etc. Il n’y a pas encore de plafond fixé, mais il faut alors élaborer une vision 2030. Et cette vision doit prendre en considération des mesures incitatives en faveur des investisseurs qui veulent construire des stations pour les Marocains. Mais, ça ne doit pas ressembler à des ghettos juste pour rassembler les Marocains. Il faut qu’elles répondent aux mêmes critères des hôtels« , soutient l’expert.


Pour soutenir les investisseurs qui vont procéder à la construction de ces projets en faveur des Marocains, Zoubir Bouhout préconise de les accompagner en leur proposant des réductions et un cahier de charges. « Au final, le but étant de proposer un appartement au Marocain à un prix qui varie entre 200 et 300 dhs la nuit, puis élargir ce prix au cas où la famille est plus grande, etc« , recommande-t-il.

Autre solution pour remédier à cette situation, c’est les chèques vacances. « La ministre du Tourisme et le gouvernement ont évoqué ces chèques pendant la campagne électorale. En France, ils sont distribués à hauteur d’un million de chèques, ce qui permet aux Français de passer leurs vacances en France et encourage le tourisme local« , dit-il.

Un exemple que le Maroc doit suivre, s’il veut remédier à la crise de l’offre touristique et encourager le tourisme local, estime l’expert.

Et de conclure: « Pour appliquer cela au Maroc, il faut qu’on ait avec des stations d’hébergement dans les 12 régions du Royaume. Il y a des familles qui ne veulent pas quitter leur région. L’avantage des chèques de vacances, c’est que ça incite les Marocains à consommer localement et à moindre coût" .

Source : https://fr.hespress.com/  Par Khadija KHETTOU


Par Med Mohamed Rial le Mardi 9 Août 2022


Le long de la route menant vers la zone touristique Imi Ouaddar , dont Aghroud Beach , qui incite de nombreuses familles marocaines aux vacances balnéaires ; les autorités ont érigé des panneaux de signalisation interdisant l'utilisation des quads et tous les phénomènes et comportements qui présentent un danger pour les vacanciers, rapporte notre confrère www.sabahagadir.com.


Tourisme  /  Imi Ouaddar /  Des pratiques très nuisibles mettent en danger les vacanciers  face au silence des Autorités.
Le long de la route menant vers la zone touristique Imi Ouaddar , dont Aghroud Beach , qui incite de nombreuses familles marocaines aux vacances balnéaires ; les autorités ont érigé des panneaux de signalisation interdisant l'utilisation des quads et tous les phénomènes et comportements qui présentent un danger pour les vacanciers, rapporte notre confrère www.sabahagadir.com. En plus de l'interdiction d'amener des animaux de compagnie.  Aghroud Beach dépend, du point de vue administratif, de la Commune de Tamri, préfecture d’Agadir Ida Outanane.

       Au mépris flagrant de la règlementation en vigueur, les plages de la zone Imi Ouddar sont devenues un terrain fertile pour toutes les violations et exactions qui affectent la saison estivale et perturbent le confort des vacanciers, précise le journal.
 
  Le phénomène étrange le plus important dont souffre Aghroud Beach  reste l'envahissement  de dizaines de «quads» bruyants et irritants qui remplissent l'espace de vacanciers et de visiteurs de plage, car ils constituent une menace sérieuse pour les vacanciers et des enfants. En plus des quads, les plages d’Imi Ouaddar sont également envahis par des  chevaux et des  chameaux. A joutez-y la saleté due aux déchets accumulés.  A signaler également l’anarchie causée par l’envahissement de certaines voitures dans l'espace de la plage ; ce qui trouble sérieusement la quiétude de la population et les empêche de profiter de leur présence sur les plages dans le calme et la sérénité.
 
  En l'absence des décisions des autorités chargées de faire respecter la règlementation dans de tels cas, un certain nombre de vacanciers n'ont pas toléré, ni compris, la clémence des autorités locales et de sécurité face à des phénomènes aussi scandaleux.  Une situation qui oblige les pouvoirs publics, y compris les représentants de la population, ceux représentant  les autorités  locales et et les autorités chargés de la sécurité et maintien de l’ordre  de passer à l’action et remettre les choses dans leur contexte règlementaire ; en cette période d’été et de grandes vacances.
 
Med RIAL

 

Par Med Mohamed Rial le Lundi 8 Août 2022


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