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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES



Par Med Mohamed Rial le Mercredi 27 Juillet 2022


L’étape des tests contractuels marque le début de la formalisation des documents préalablement à la déclaration de l’exploitation commerciale de l’usine. À noter que cette dernière produit déjà, depuis le début de l’année, de l’eau dessalée.


Agadir/Dessalement  : l’espagnol Abengoa accomplit avec succès les tests contractuels
Réceptionnée sur le plan industriel en septembre 2021, l’unité mutualisée de dessalement d’eau de mer, destinée à l’approvisionnement du Grand Agadir en eau potable et à l’irrigation de la plaine de Chtouka a accompli l’ensemble des tests contractuels. Cette station est le fruit d’un Partenariat public-privé (PPP) entre le ministère de l’Agriculture, l’ONEE et deux filiales du groupe espagnol Abengao, à savoir Aman el baraka et la Société d’eau dessalée d’Agadir (SEDA).
    Elle offre une capacité initiale de 275.000 m3/jour, à raison d’un débit de 125.000 m3/jour pour les besoins en eau d’irrigation et de 150.000 m3/jour pour l’eau potable. Pour rappel, l’entreprise espagnole développe des solutions technologiques en matière de développement durable en faveur des secteurs des infrastructures, de l’énergie et de l’eau. Selon ses représentants, «cette étape marque le début de la formalisation des documents qui conduisent à la déclaration de l’exploitation commerciale de l’usine.
   D’ailleurs, celle-ci produit déjà de l’eau dessalée, répondant à tous les standards de qualité et atténuant les effets du stress hydrique dont souffre la plaine du Souss-Massa», depuis le début de l’année. Les installations de l’usine permettront à terme de produire 400.000 m3/jour d’eau dessalée, partagée équitablement entre eau potable et eau d’irrigation. Ce projet, réalisé dans le contexte de la pandémie, a coûté globalement 4,48 MMDH, soit 2,35 MMDH pour l’irrigation et 2,05 MMDH pour l’eau potable.

Agadir/Dessalement  : l’espagnol Abengoa accomplit avec succès les tests contractuels
Le contrat de PPP (Partenariat Public-Privé) pour la conception, la construction, le financement, l’exploitation et la maintenance, qui porte sur une durée de 30 ans (construction incluse), a été attribué à Abengoa en 2017. Son bouclage financier avait été conçu en juin 2019, conformément aux contrats de concessions et de délégation, selon le modèle «DBOT» (Design, BuildOperate, Transfer).
 
L’exploitation assurée par deux filiales d’Abengoa

  Selon Abengoa, l’usine de dessalement d’Agadir est un projet de référence dans le monde, conçu pour l’utilisation combinée de l’eau potable et d’irrigation, avec utilisation de la technologie de l’osmose inverse. Le chantier englobe aussi la construction d’un réseau d’irrigation sur une superficie de 15.000 ha. Il s’agit d’un projet unique en son genre qui a été récompensé par l’Association internationale de dessalement avec le prix du «meilleur Partenariat public-privé» (PPP).
 
Concrètement, la mission d’exploitation est assurée conjointement par deux sociétés distinctes d’Abengoa. Il s’agit d’Aman el baraka, concessionnaire d’eau d’irrigation avec laquelle deux accords ont été conclus. Le premier consiste en un contrat de concession entre cette société et le ministère de l’Agriculture et le second la lie à l’ORMVA Souss-Massa via une convention de gestion déléguée.

  Pour le projet d’Alimentation en eau potable (AEP) du Grand Agadir, la convention de gestion déléguée d’eau potable et le cahier des charges ont été conclus entre l’ONEE et son concessionnaire privé, la Société d’eau dessalée d’Agadir (SEDA), également filiale d’Abengoa. Pour rappel, les deux partenaires avaient initialement envisagé de réaliser une unité de dessalement d’eau de mer au nord d’Agadir (à proximité du Cap Ghir).

   Dans le détail, pour l’AEP d’Agadir, c’est l’ONEE qui est l’acheteur de l’eau dessalée qui sera livrée à la RAMSA (Régie autonome multiservices d’Agadir) alors que dans le cas de l’eau d’irrigation, ce sont les agriculteurs, essentiellement les producteurs exportateurs de primeurs de Chtouka qui sont les acheteurs, à travers des contrats d’abonnement à la fourniture d’eau dessalée.

Agadir/Dessalement  : l’espagnol Abengoa accomplit avec succès les tests contractuels
   Non-réalisation du projet : une perte de 9 MMDH

  Sur le plan économique, l’usine de dessalement d’Agadir est un projet vital pour sauvegarder les investissements agricoles dans la région. Sa non-réalisation aurait représenté une perte de 9 MMDH de valeur ajoutée pour le secteur des fruits et légumes, de 3 MMDH d’investissement et d’1 million d’emplois journaliers réguliers.
 
  L’objectif recherché, à travers le recours au dessalement d’eau de mer, est également d’accompagner le développement socio-économique des populations par le renforcement et la sécurisation de l’alimentation en eau potable du Grand Agadir et des localités voisines, au profit d’une population d’environ 1,6 million d’habitants. Il est question aussi d’assurer le développement des activités économiques telles que le tourisme, l’industrie et la conservation de la nappe phréatique de la zone qui a fait l’objet de surexploitation.

 Sur ce dernier point, la plaine de Chtouka a été couverte par le décret de sauvegarde de la nappe qui a instauré un régime de limitation quantitative des prélèvements sur la nappe conformément aux dispositions de la loi n° 36-15 sur l’eau. Selon la société espagnole, la conception du projet a pris en compte l’efficacité énergétique du procédé.

 Pour réduire le coût, il a été procédé aussi au couplage entre les énergies renouvelables et le dessalement d’eau mer. D’importants travaux de collecte et de rejets des effluents ont été entrepris avec l’implémentation d’un prétraitement par ultrafiltration qui s’adapte aux conditions variables de l’eau brute avec l’installation d’une turbine pour le captage de l’énergie.

 Par ailleurs, Abengoa a dévoilé que les travaux de mise en service ont nécessité plus de 2,4 millions d’heures de travail. Ils ont été réalisés sans accident entraînant un arrêt de travail, atteignant les niveaux de prévention des risques professionnels les plus élevés, et respectant les objectifs de santé et de sécurité en vigueur.

  Selon l’entreprise espagnole, qui dispose actuellement de cinq usines en construction et d’une capacité totale installée de 2,3 millions de m 3 /jour, une attention particulière a été accordée aux Objectifs de développement durable (ODD), notamment sur le plan de la disponibilité de l’eau et de sa bonne gestion, avec l’adoption de mesures d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques et de préservation de la vie des écosystèmes terrestres. Au total, la capacité de l’entreprise est répartie sur plus de 30 usines de dessalement dans 13 pays.
 
par Yassine Saber – leseco.ma 
 

Par Med Mohamed Rial le Mardi 26 Juillet 2022


Nous reprenons ici, certains extraits pertinents d’une réflexion pertinente sur le All IN, à travers un dossier bien garni, parus dans la Journal Téoros. « Le point de départ de notre réflexion, explique l’auteur, est sans contredit les reproches formulés de part et d’autre à l’endroit du tout inclus. Le tout inclus est un sujet de débats passionnés : on aime ou on n’aime pas. Pourtant, ce tourisme qualifié de « Playa del anywhere » [Playa de n’importe où] que l’on dénigre, individuellement ou en chœur, se vend pourtant… « en masse ». Des destinations (les Caraïbes, la Méditerranée et plusieurs régions d’Asie) en vivent. À Hong Kong (7 millions d’habitants), pas moins de 1 323 agences de voyages vivent principalement de la vente de produits de voyage de type tout inclus. » lit-on.
Dossier consultable sur :https://journals.openedition.org/teoros/2317


Tourisme / Réflexion/ All Inclusive.  ON aime ou on n’aime pas. Pourtant il est vendu en masse
Le tout inclus est l’un des produits offerts dans la famille des forfaits des voyages organisés. Un forfait comprend une combinaison d’au moins deux des éléments suivants : le transport, l’hébergement, la restauration, l’accès aux attraits à la destination, les assurances et d’autres services
 
 
La formule du tout inclus répond à plusieurs types de besoins :
         faciliter l’organisation logistique du voyage ;
         encadrer les composantes du séjour à destination (repas, loisirs, visites) ;
         contrôler le choc du dépaysement (besoin d’accompagnement pour gérer la découverte de l’espace et de la culture hôte) ;
         et restreindre les dépenses.
 
  Cette sécurité est d’abord dans l’organisation logistique du voyage. Elle permet d’éviter les tracas de l’organisation puisqu’elle est prise en charge par des professionnels du voyage. Cette option est particulièrement bonne pour les voyageurs peut expérimentés, ne maîtrisant pas de langue étrangère ou ayant des réticences pour la nourriture étrangère…
 
   Le concept de tout inclus émerge donc en opposition au tourisme « à la carte » où le visiteur doit débourser à la pièce pour chaque service, forçant d’aucuns à être aux aguets quant à la gestion du budget. Le modèle repose donc sur une approche économique (budgétaire) du
voyage, et aux besoins de sécurité socio-culturelle que procure l’enclavement en terrain étranger.

Tourisme / Réflexion/ All Inclusive.  ON aime ou on n’aime pas. Pourtant il est vendu en masse
 Le tout inclus tire ses origines de centres de villégiature (des sortes de villages vacances) établis en Angleterre entre 1936 et 1966 par le Sud-Africain Billy Butlin, qui souhaitait offrir à ses compatriotes anglais moins fortunés l’occasion de vacances à bas prix où tous les services seraient « inclus ». Concentrés au Royaume-Uni, ces centres de villégiature, appelés Butlins (aussi « Butlin’s »), ont néanmoins traversé les mers pour s’établir aux Bahamas, en Espagne et même en France (dans une moindre mesure). La formule fut ensuite reprise et remaniée par le Belge Gérard Blitz avec le premier Club Méditerranée, établi à Mallorca, en Espagne, en 1950. Ici encore, l’objectif était d’offrir des vacances à peu de frais, mais en déplaçant le produit vers la destination soleil, à l’étranger.
 
 
  L’évolution du tout inclus passe par différentes phases, elles-mêmes liées à des contextes très particuliers que les critiques ont tendance à oublier. Il prend d’abord racine dans les Caraïbes, plus spécifiquement en Jamaïque. La première est associée aux décennies des années 1950 et 1960. Le développement touristique, alors perçu comme générateur d’emplois, est bien reçu dans les régions du sud où il devient un moyen de lutter contre la pauvreté.
 
  Le tout inclus devient parallèlement, durant cette troisième étape, le modèle de vacances soleil prédominant. En effet, ces touristes étrangers, s’ils sont encore plus nombreux, sont aussi moins nantis et commencent à regarder de plus près les coûts associés à leurs vacances. Flairant ce changement de courant, certains hôteliers commencent à opter, à la fin des années 1970, pour une formule inclusive, jouant la carte du compromis entre la variété et la qualité. La formule, économiquement accessible à un plus large public, gagnera rapidement en popularité. En revanche, elle enclavera les touristes dont les sorties du complexe hôtelier diminuent inévitablement, notamment pour les besoins de restauration dorénavant comblés à meilleur prix à l’hôtel.
 
 
  Par sa prise en charge du client, le tout inclus offre la tranquillité d’esprit. Celle-ci résulte de l’absence de risque financier et du sentiment de sécurité que procurent l’enclavement plus ou moins hermétique du vacancier (selon le modèle choisi). Cependant, cet enclavement a un prix : celui de la déconnexion du véritable milieu hôte, et un risque relativement élevé de vivre son séjour dans sa propre bulle culturelle. Ainsi, les vacanciers qui voulaient oublier la maison y sont rappelés constamment par la présence de compatriotes qui partagent les mêmes références culturelles. La répulsion des uns constituera la sécurité des autres. Le tout inclus n’est pas à une contradiction près.
 

Tourisme / Réflexion/ All Inclusive.  ON aime ou on n’aime pas. Pourtant il est vendu en masse
Les solutions aux impacts négatifs du tout inclus ne sont pas simples. Il s’agit ici de la gestion de la part principale du milliard de touristes qui parcourent le monde chaque année à des fins récréatives (OMT, 2013). Si l’on progresse vers la conscientisation des résidents de cette planète quant à leurs impacts, on ne peut compter seulement sur le bon vouloir des citoyens consommateurs pour renverser la vapeur. La lutte à la pauvreté nous pousse parfois à des décisions rapides, irréfléchies : la construction démesurée d’hôtels sous les cocotiers, au nom de la lutte à la pauvreté, comme la tentative de détourner ces touristes de plage vers les parcs, au nom de la soi-disant conservation de la nature. Le tout inclus n’est pas appelé à disparaître. Au contraire, il doit contribuer davantage à la lutte contre la pauvreté ainsi qu’à l’enrichissement des destinations et de leurs communautés.
 
 
 C’est donc qu’il y en a passablement, parmi nous, qui choisissent le tout inclus et qui l’aiment. Aimer une forme de voyage ne veut pas nécessairement dire qu’elle soit bonne. Cependant, si elle répond aux besoins des masses, elle mérite de s’y attarder, d’autant que cette forme de voyage suscite critiques et controverses. Si l’on souhaite en corriger les aspects déficients, encore faut-il préalablement comprendre le phénomène et l’expérience qu’il propose. Or, malgré ses millions d’adeptes de par le monde, la recherche sur le tout inclus, comme phénomène de masse, est plutôt rare, notamment sur les considérations des voyageurs dans le choix du produit
 
 

Tourisme / Réflexion/ All Inclusive.  ON aime ou on n’aime pas. Pourtant il est vendu en masse
On reproche à ce tourisme de masse de se laisser bercer dans l’abondance de son resort, de sa déshumanisation et de son indifférence à l’égard de l’hôte et de sa réalité (pauvreté, chômage, etc.). On lui attribue la détérioration des sites naturels, notamment en milieux côtiers, et la surenchère des titres immobiliers. On déplore les conditions de travail difficiles de la main-d’œuvre (longues heures, salaires minimum, bénéfices sociaux minimes, voire inexistants) et la fuite des capitaux des grandes chaînes hôtelières dont les sièges sociaux et les actionnaires se trouvent souvent bien loin des destinations et des communautés hôtes.
 
   On reproche aussi à l’usager du tout inclus les abus et le gaspillage. Il est vrai que la formule engendre, chez certains vacanciers, une fausse impression d’abondance. Ainsi, le gavage alimentaire et à l’alcool et les familiarités sur le plan du civisme dans ses rapports avec les employés constituent quelques-uns des revers du tout inclus.
 
   Situés en bordure de la mer, souvent au prix de la délocalisation des populations locales, les hôtels de type tout inclus concentrent tous les services de villégiature sur un site donné, et fermé (dans certains pays d’Amérique latine, sous protection armée).
 
 Le All IN avait fait son entrée à Agadir, à l’hôtel Carabbean Village Agador EN PARTENARIAT AVEC LE GROUPE ALLEGRO, en 1998 dirigé par Jacques Ohayon.  Tous les TO, à l'époque avaient commercialisé le produit All IN ( panorama, neckermann, look voyages...)Le nouveau produit s’est développée d’année en année jusqu’à envahir toute la destination Et ce n'est qu'en 2002 que les autres hotels ont suivi ( Iberostar, Riu...). Au départ la formule était réservée aux établissements en front de mer mais avec l’exigence des TO, et la demande grandissante, on a vu le All IN vendu dans les hôtels de 2 ème et 3 ème zone. ET avec des prix fracassants, lors des crises de tourisme. 

Tourisme / Réflexion/ All Inclusive.  ON aime ou on n’aime pas. Pourtant il est vendu en masse
Certains établissements aux enseignes internationales dont le Club Med  (à l’époque avant sa fermeture définitive) et les les établissements Tikida, avaient bien résisté à la baisse des prix, du fait des prestations de qualités offerts aux clients. Avec la fermeture du Club Med Agadir donc, les établissements Riu TIkida restent les mieux côtés et le plus demandés avec le  Riu Tikida Dunas, le Riu Tikida Beach, le Riu Tikida Palace et le  Riu Tikida Taghazout mais également le Robinson Club…, entre autres. Marrakech a été rattrapé par le All Inclusive, en est un cas vraiment qui sort de l’ordinaire. La capitale nationale du tourisme culturel du pays, rattrapée par le All In, pourtant c’est un tourisme culturel et urbain qui est pratiqué, donc pas balnéaire du tout. Cela a rendu heureux , avec cette combinaison, non seulement les TO mais les clients. La capitale nationale du tourisme ; s’en sort bien, dans la mesure que cette formule non seulement marche bien mais complète la série des hôtels de luxes, dans une diversités hôtelière unique au Maroc.
 
 Ceci dit, à Agadir tout particulièrement, on ne peut nier le coup fatal porté à des activités touristiques parallèles à l’hôtellerie, dont celle des bazars, des restaurants et des commerces divers ; avec la généralisation du All IN ; à tel point que pour faire échos au problème que vivent certains professionnels à Agadir  ; hors hôtellerie, on avait mentionné dans un article, «  All Inclusive « m’a tuer ».
   Le principe fondateur était de faciliter la vie à des touristes en leur offrant tout ce dont ils ont besoin dans des zones sans lieu de vie et des villages excentrées où il est difficile de trouver des restaurants. Dans cette formule, il y a tout de même un gagnant, bien sûr, ce sont les Tour  Operateurs, qui imposent leur loi commerciale. Le phénomène du regroupement des TO, donnant comme résultat la naissance des géants du tourisme (TUI, Thomas Cook, respectivement premier et deuxième opérateurs européens et mondiaux),  qui a révolutionné la donne en matière du tourisme. Les TO regroupés (cinq grands européens) maitrisent le tourisme dans ses différents composantes (production de voyage, hôtellerie, excursions, aérien, croisières…) transport .

Tourisme / Réflexion/ All Inclusive.  ON aime ou on n’aime pas. Pourtant il est vendu en masse
  Le phénomène All Inclusive a tellement pris des proportions grandioses en matière d’hôtellerie, qu’il est impossible de lutter contre . La preuve toutes les grandes destinations touristiques balnéaires : Antalya, Les Canaries, Egypte, pour ne citer que ceux là, s’y mettent à fond. Avec une formule All Inclusive de luxe, où le client de trouve comblé, gavé, animations tout genre rendu heureux, avec des prestations qui n’en finissant pas de jour comme de nuit. Tel est le cas en Turquie, principalement dans la station balnéaire ANtaly, qui enregistre une demande de plus en plus forte.
 
  En résumé cette formule ALL Inclusive, a encore de beaux jours devant telle, du fait de la demande grandissante, du nombre de TO qui la commercialisent , du nombre de prestations de plus en plus de qualité, afin de satisfaire le client et le rendre heureux dans son séjour intramuros, dans des établissements en bordure de mer, principalement…. Pour la réflexion et des analyses à ce sujet, on n’aime ou on n’aime , le fait est là. Le ALL Inclusive marche et se développement dans toutes les destinations touristiques de renommée internationales. ET se vend en masse.
 
Med RIAL
 
 Source : https://journals.openedition.org/teoros/2317  
 
Par Alain A. Grenier
 

Par Med Mohamed Rial le Dimanche 24 Juillet 2022


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