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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Jusqu’ici, le Moroccan Travel Market Club (MTMC) avait fait profil bas bien qu’il soit dans les premiers rangs des secteurs d’activité les plus impactés par la crise pandémique. Jusqu’ici, il a su faire preuve de patience et d’optimisme convaincu que la résilience du produit Maroc l’emporterait et que le Gouvernement allait faire les choix raisonnables pour sauver le secteur des voyagistes du réceptif de l’implosion.


Tourisme : Le MTM Club sort de ses gongs
Mais rien ! Devant l’incapacité d’introduire le secteur dans la sphère des économies sinistrées et d’agir en conséquence, le Gouvernement semble ajouter de l’huile sur le feu en adoptant des mesures restrictives contraires à ce qui devait se faire.
   Il y a beaucoup de business qui se perd, des accords qui partent en fumée et une confiance avec les partenaires marchés qui s’effrite. Les 18 mois de disette ont dangereusement affaibli le fonds de commerce et la trésorerie des entreprises du secteur, même les plus grandes, s’assèche de plus en plus. Pour ces dernières, pas question de subir au risque de disparaître.
   En effet, Az-Eddine Skalli, Président du MTMC, vient d’adresser simultanément un courrier en ce sens aux présidents de la CGEM et de la CNT, où il leur fait part de la situation d’impasse où se trouvent les DMC marocaines et, partant, toute une activité qui pèse lourd dans les indicateurs de l’industrie touristique par rapport aux marchés émetteurs. Les DMC du Club se sont, dans ce contexte, réunies en session extraordinaire afin d’opérer des choix stratégiques et opérationnels pour entrevoir les différentes pistes afin de « sauver nos entreprises, mais aussi pour anticiper comme on peut le proche avenir. 18 mois après, nous ne savons plus à quel saint nous vouer et les choses vont en empirant car nous ne pouvons plus faire face aux différentes échéances fiscales, salariales et aux dépenses de gestion quotidienne », précise t-il.
   Et d’ajouter : « A date d’aujourd’hui, nous ne sommes plus en mesure de le faire par manque de liquidités et sachant que les ventes sont à leur plus simple expression voir presque inexistantes. A cela s’ajoute le manque de visibilité dans un contexte conjoncturelle et structurelle très spécifique et un écosystème qui traverse sa plus grave crise. Nous pouvons sans aucun doute confirmer que nous sommes arrivés à nos limites et au point de non-retour et à ce rythme, nous allons directement vers la faillite (avec tout ce que cela suppose comme conséquences désastreuses sur nos structures et nos collaborateurs)».
   Cri de cœur doublé d’un cri de colère, l’appel du MTMC, à l’instar des fédérations de métiers qui   en comptent pas se taire non plus, survient à un moment où le Club ne peut plus résister et ne peut prévoir, selon son Président, les conséquences futures de la crise extrême traversée par les entreprises membres qui seront dues, en grande parte, au silence des responsables administratifs et gouvernementaux face aux demandes urgentes exprimées. « Nous ne cautionnons pas ce qui peut en découler », avertit Az-Eddine Skalli…
 
http://premiumtravelnews.com/ par Mustapha Amal

Par Med Mohamed Rial le Lundi 16 Août 2021


C’EST OFFICIEL, AZIZ AKHANNOUCH, PRÉSIDENT DU RASSEMBLEMENT NATIONAL DES INDÉPENDANTS (RNI) EST CANDIDAT À LA MAIRIE D’AGADIR.


Agadir Commune Urbaine / Election Le RNI dévoile sa liste et sa vision pour Agadir
Aziz Akhannouch a déposé la liste qu’il conduit, auprès des autorités locales, ce matin.  C’est ce qui a été annoncé lors d’une rencontre avec la presse pour présenter les candidats qui compose cette liste  et les ambitions du parti pour Agadir. Le parti est ainsi le premier dans la capitale du Souss à déposer sa liste et à la dévoiler.
   Une moyenne d’âge de 40 ans, un niveau d’instruction élevé avec plus de 70% des candidats dotés de diplômes universitaires et de solides expériences professionnelles, 21 femmes et quarante hommes, tous enfants de la ville… telles sont les caractéristiques de la liste du RNI pour la commune d’Agadir.
   Une ville pour laquelle le RNI de fortes ambitions. Une métropole attractive tant sur le plan économique que culturel à l’échelle nationale et international. Pour cela le RNI se veut agir avec une vision globale nouvelle pour les dix prochaines années pour faire de la localité une cité développée et équilibrée  avec une égalité des chances pour toutes ses composantes.
   Au niveau de l’emploi, les perspectives de création de 100.000 emplois directs et indirects dans la métropole sont déjà avancées. Il est question également de renforcer les infrastructures et équipement de base de la ville tout en créant des cœurs de vie dans chaque quartier et localité pour une amélioration du cadre de vie des habitants. Le renforcement des équipements scolaires et établissements de formation ainsi que l’offre en lits dans les établissements publics de la Santé. A ce niveau, il est visé d’atteindre un nombre de 25 unités de proximité avec un nombre de 12 structures du genre.
   Sur le plan social, sept nouveaux centres sont au programme pour accueillir notamment les enfants et les femmes en situation précaire.
Renforcement du transport urbain, des espaces verts, de la propreté de la métropole et plus d’équipements sportifs et culturels sont quelques uns des grands axes du programme du parti à Agadir.
  Il y aura fort faire pour mieux positionner la ville qui a enregistré un grand retard dans son développement ces dernières années. Pour atteindre les objectifs escomptés, Aziz Akhannouch et les candidats de sa liste s’engagent à une action concrète, effective et permanente sur le terrain dans une démarche participative avec les habitants de la ville. Le tout pour faire d’Agadir la ville du futur.


https://www.lavieeco.com/politique/communales-le-rni-devoile-sa-liste-et-sa-vision-pour-agadir/   Par Malika Alami

Agadir Commune Urbaine / Election Le RNI dévoile sa liste et sa vision pour Agadir

Par Med Mohamed Rial le Lundi 16 Août 2021


Le GIEC a révélé le premier volume de son 6ème rapport dédié aux aspects physiques du changement climatique. La publication décrit les contours d’un cataclysme climatique en cours. Très attendu, le premier volume du 6ème rapport d’évaluation du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) relatif aux aspects physiques du changement climatique a été publié le lundi 9 août.


Environnement Changement climatique / GIEC : Une nouvelle « Alerte rouge pour l’humanité »
Ce travail est le résultat de plusieurs années d’un labeur mené par 234 experts (issus de 66 pays) qui ont méthodiquement analysé la littérature scientifique (14.000 études), afin de livrer la mise à jour la plus exhaustive possible des connaissances sur le climat, à l’issue d’un strict processus de validation impliquant les 195 Etats-membres du GIEC.

  Si les précédents rapports du GIEC ont toujours mis en exergue le danger des impacts du changement climatique et la nécessité d’une action mondiale coordonnée, le premier volume de ce 6ème rapport est, selon le Secrétaire Général de l’ONU, une « alerte rouge pour l’humanité ».

 En plus d’asseoir définitivement le rapport de cause à effet entre activités humaines et changements climatiques, le GIEC démontre que le réchauffement de la planète affecte toutes les régions du globe, souvent d’une manière irréversible.

Vers un lendemain incertain ?

  Le rapport du GIEC indique que depuis la seconde moitié du XIXème siècle, les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines ont provoqué une augmentation moyenne de la température mondiale de 1,1 ºC. Cette tendance devrait se poursuivre au cours des 20 prochaines années, entraînant une augmentation totale d’au moins 1,5 ºC depuis l’ère préindustrielle.

  Selon les auteurs, l’augmentation de 1,5 ºC pourrait même être atteinte dans 9 ans, ce qui entraînerait plusieurs conséquences irréversibles parmi lesquelles la disparition de 70% des coraux du Pacifique. «A moins qu’il n’y ait des réductions immédiates, rapides et à grande échelle des émissions de gaz à effet de serre, la limitation du réchauffement à près de 1,5°C ou même 2°C seront hors de portée.

  Pour 1,5°C de réchauffement climatique, il y aura des vagues de chaleur croissantes, des saisons chaudes, plus longues et des saisons froides, plus courtes. À 2°C de réchauffement climatique, les chaleurs extrêmes atteindraient plus souvent des seuils de tolérance critiques pour l’agriculture et la santé», souligne le rapport.

Recrudescence des phénomènes extrêmes

  À l’image des catastrophes naturelles qui se font déjà plus intenses et plus récurrentes, d’autres phénomènes dramatiques pour l’environnement et pour l’Homme ne manqueront pas de s’accentuer. Les océans connaîtront ainsi une augmentation des vagues de chaleur marines, ainsi que l’acidification et la réduction des niveaux d’oxygène qui y sont associées, tandis que les zones côtières de faible altitude seront soumises à davantage d’inondations et d’érosion.


  Le rapport indique que « les évènements extrêmes liés au niveau de la mer, qui se produisaient auparavant une fois tous les 100 ans, pourraient intervenir chaque année d’ici la fin du siècle ». Si les températures vont augmenter sur l’ensemble de la planète, le changement sera plus prononcé dans les zones émergées, notamment l’Arctique, où la hausse de la température moyenne devrait être plus de deux fois supérieure à la moyenne mondiale.

Selon les prévisions, les précipitations vont augmenter aux latitudes élevées, provoquant des inondations, des coulées de boue et d’autres catastrophes naturelles, tandis que certaines régions connaîtront des sècheresses plus sévères.

La priorité de l’élimination du CO2

  Malgré le diagnostic catastrophique établi, les auteurs du GIEC ne se permettent cependant pas de perdre tout espoir. Selon eux, si les émissions de dioxyde de carbone, et d’autres gaz à effet de serre, causées par l’Homme sont réduites de manière drastique, l’effet sur la qualité de l’air devrait être rapidement visible.

  Le GIEC place notamment son espoir dans «l’élimination anthropique du CO2», un processus dans lequel le CO2 est censé être retiré de l’atmosphère et séquestré pendant de longues périodes. On parle aussi de «compensation carbone».
 
   Cela dit, même si des mesures importantes sont prises dès maintenant, il faudra peut-être encore 20 à 30 ans pour que les températures mondiales se stabilisent, et des centaines, voire des milliers d’années pour que le niveau des mers cesse de monter. En février 2022, sera publié le second volet du rapport du GIEC dédié aux impacts du changement climatique, l’adaptation et la vulnérabilité. En mars 2022, un troisième volet évaluera l’atténuation du changement climatique. Les trois volets de ce 6ème rapport du GIEC seront alors synthétisés en un seul document global.
 
 
https://www.lopinion.ma/Changement-climatique-GIEC-Une-nouvelle-Alerte-rouge-pour-l-humanite_a17614.html    par  Oussama ABAOUSS
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Par Med Mohamed Rial le Dimanche 15 Août 2021


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