LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES
La une
Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
04/07/2023 Med Mohamed Rial
Placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette manifestation sportive est initiée par l'Association marocaine de kitesurf (AMKS), sous l'égide de la Fédération royale marocaine de voile (FRMV), en partenariat avec la wilaya, l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du sud du Royaume (APDS) et la région de Dakhla-Oued Eddahab, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Cet évènement qui s’inscrit dans le cadre des festivités marquant la célébration du 42ème anniversaire de la récupération de la province d’Oued Eddahab, propose à ses participants la plus grande descente au vent en kitesurf d’Afrique.
Outre des participants marocains, cet évènement sportif connaîtra la participation de près de 50 riders, issus de plusieurs pays, dont la France, l'Espagne, la Suisse, la Belgique, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Brésil et l’Argentine, précise la même source, ajoutant que la présence féminine sera marquée par la participation de plusieurs raideuses.
Cette édition, et pour la première fois, va connaitre la participation d’une équipe israélienne et sera suivie et diffusée en quatre langues par la chaîne de télévision d'information en continu internationale israélienne "news i24 Channel", indique le communiqué.
Tout au long de ce périple de 500 km du littoral entre Dakhla et Lagouira, cinq bivouacs seront implantés au long de cette descente au vent au niveau des différents spots.
Cet évènement sportif est réparti sur cinq étapes à savoir la baie de Cintra, la pointe de Rasse El Kassah, la Baie de Bir Gandouz et la pointe de Corvero jusqu’à la baie de Lagouira.
Cette rencontre sportive internationale se déroulera dans le strict respect des normes sanitaires et préventives contre la Covid-19, en plus d’autres mesures telles que l’accompagnement d’une équipe médicale et l’instauration obligatoire du test rapide chaque 48 H à tous les participants, à l’équipe d’organisation et à celle chargée de logistique.
Au cours de cette compétition, l'Association marocaine de kitesurf organisera une opération de nettoyage à la baie de Cintra et la pointe de Rasse El Kassah.
https://www.lopinion.ma/ (Avec MAP)
Outre des participants marocains, cet évènement sportif connaîtra la participation de près de 50 riders, issus de plusieurs pays, dont la France, l'Espagne, la Suisse, la Belgique, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Brésil et l’Argentine, précise la même source, ajoutant que la présence féminine sera marquée par la participation de plusieurs raideuses.
Cette édition, et pour la première fois, va connaitre la participation d’une équipe israélienne et sera suivie et diffusée en quatre langues par la chaîne de télévision d'information en continu internationale israélienne "news i24 Channel", indique le communiqué.
Tout au long de ce périple de 500 km du littoral entre Dakhla et Lagouira, cinq bivouacs seront implantés au long de cette descente au vent au niveau des différents spots.
Cet évènement sportif est réparti sur cinq étapes à savoir la baie de Cintra, la pointe de Rasse El Kassah, la Baie de Bir Gandouz et la pointe de Corvero jusqu’à la baie de Lagouira.
Cette rencontre sportive internationale se déroulera dans le strict respect des normes sanitaires et préventives contre la Covid-19, en plus d’autres mesures telles que l’accompagnement d’une équipe médicale et l’instauration obligatoire du test rapide chaque 48 H à tous les participants, à l’équipe d’organisation et à celle chargée de logistique.
Au cours de cette compétition, l'Association marocaine de kitesurf organisera une opération de nettoyage à la baie de Cintra et la pointe de Rasse El Kassah.
https://www.lopinion.ma/ (Avec MAP)
Dans cet entretien, Najia Ounassar, présidente de l’Association de l’industrie hôtelière revient sur la situation du tourisme à la destination Agadir, notamment l’impact du contexte actuel de la pandémie sur le tourisme, le manque de visibilité, le faible taux d’occupation enregistré et l’appui au secteur.
Au moment où les professionnels s’attendaient à une reprise touristique, le contexte pandémique actuel a chamboulé la situation. Comment qualifiez-vous cette saison d’été ?
Les chiffres de la pandémie étaient au vert et de réels assouplissements sur les restrictions sanitaires ont été instaurés juste avant la saison estivale avec, entre autres, l’ouverture des frontières, le 15 juin 2021. De plus, une grande campagne de communication a été lancée par l’Office national marocain du tourisme (ONMT) en faveur du tourisme interne, alors que des mesures ont été mises en place pour faciliter le retour des Marocains résidents à l’étranger (MRE).
Parallèlement, et malgré les difficultés financières des hôtels, ils se sont mobilisés pour rouvrir leurs établissements et renforcer les mesures sanitaires à l’intérieur de leurs structures d’hébergement. Certes, on s’attendait à une reprise touristique du moins avec le tourisme interne, loin bien sûr de ce qu’elle était avant la pandémie mais tout de même avec un bon début, mais malheureusement, la reprise tant attendue ne s’est pas déclenchée.
Après l’instauration des récentes mesures sanitaires, est-ce que les professionnels disposent de visibilité par rapport à la situation actuelle ?
L’instauration des récentes mesures sanitaires est compréhensible car le nombre des contaminations a rapidement flambé mettant en danger la santé et la vie des citoyens. Dans ce sens, nous comprenons la mise en place de ses mesures et nous les respectons bien évidemment, car nous avons la responsabilité d’assurer la sécurité de nos clients et nos employés. Actuellement, personne ne dispose réellement d’une visibilité sur ce contexte de pandémie. La seule visibilité dont nous disposons aujourd’hui, c’est que le tourisme ne reprendra pas de sitôt même si au Maroc tout est mis en œuvre pour accélérer la vaccination. Au niveau mondial, on parle d’une reprise totale du tourisme en 2025 voir en 2026, cela donne une idée sur le long chemin à parcourir.
Les chiffres de la pandémie étaient au vert et de réels assouplissements sur les restrictions sanitaires ont été instaurés juste avant la saison estivale avec, entre autres, l’ouverture des frontières, le 15 juin 2021. De plus, une grande campagne de communication a été lancée par l’Office national marocain du tourisme (ONMT) en faveur du tourisme interne, alors que des mesures ont été mises en place pour faciliter le retour des Marocains résidents à l’étranger (MRE).
Parallèlement, et malgré les difficultés financières des hôtels, ils se sont mobilisés pour rouvrir leurs établissements et renforcer les mesures sanitaires à l’intérieur de leurs structures d’hébergement. Certes, on s’attendait à une reprise touristique du moins avec le tourisme interne, loin bien sûr de ce qu’elle était avant la pandémie mais tout de même avec un bon début, mais malheureusement, la reprise tant attendue ne s’est pas déclenchée.
Après l’instauration des récentes mesures sanitaires, est-ce que les professionnels disposent de visibilité par rapport à la situation actuelle ?
L’instauration des récentes mesures sanitaires est compréhensible car le nombre des contaminations a rapidement flambé mettant en danger la santé et la vie des citoyens. Dans ce sens, nous comprenons la mise en place de ses mesures et nous les respectons bien évidemment, car nous avons la responsabilité d’assurer la sécurité de nos clients et nos employés. Actuellement, personne ne dispose réellement d’une visibilité sur ce contexte de pandémie. La seule visibilité dont nous disposons aujourd’hui, c’est que le tourisme ne reprendra pas de sitôt même si au Maroc tout est mis en œuvre pour accélérer la vaccination. Au niveau mondial, on parle d’une reprise totale du tourisme en 2025 voir en 2026, cela donne une idée sur le long chemin à parcourir.
La Covid-19 a ramené le tourisme à Agadir 40 ans en arrière. Pour la seconde année consécutive, quelles sont les retombées de cette situation sur le secteur ?
Au niveau d’Agadir nous avons perdu presque 1/3 de notre capacité litière avec 3.000 lits fermés définitivement et près de 6.000 lits qui sont toujours fermés à aujourd’hui et c’est autant en perte d’emplois. Sans oublier les grandes difficultés financières chez les professionnels, toutes filières confondues avec des charges qui s’accumulent depuis 16 mois. Pour vous donner une idée sur le taux d’occupation du mois de juillet, la destination Agadir n’a enregistré que 30%. Bien évidemment, c’est loin d’être suffisant pour amortir le choc de la pandémie sur le secteur.
De surcroît, les dégâts risquent malheureusement de s’amplifier pour cette 2e année de pandémie. C’est pourquoi, nous tenons à tirer la sonnette d’alarme sur l’urgence à sauver les structures et les emplois qui sont actuellement à l’agonie, toutes filières confondues, bien que nous croyions toujours à la reprise du tourisme. Toutefois, l’activité reprendra petit à petit, peut-être à partir du 2e semestre 2022, mais le secteur devra impérativement être accompagné et soutenu par le gouvernement pour tenir jusque-là.
Au niveau d’Agadir nous avons perdu presque 1/3 de notre capacité litière avec 3.000 lits fermés définitivement et près de 6.000 lits qui sont toujours fermés à aujourd’hui et c’est autant en perte d’emplois. Sans oublier les grandes difficultés financières chez les professionnels, toutes filières confondues avec des charges qui s’accumulent depuis 16 mois. Pour vous donner une idée sur le taux d’occupation du mois de juillet, la destination Agadir n’a enregistré que 30%. Bien évidemment, c’est loin d’être suffisant pour amortir le choc de la pandémie sur le secteur.
De surcroît, les dégâts risquent malheureusement de s’amplifier pour cette 2e année de pandémie. C’est pourquoi, nous tenons à tirer la sonnette d’alarme sur l’urgence à sauver les structures et les emplois qui sont actuellement à l’agonie, toutes filières confondues, bien que nous croyions toujours à la reprise du tourisme. Toutefois, l’activité reprendra petit à petit, peut-être à partir du 2e semestre 2022, mais le secteur devra impérativement être accompagné et soutenu par le gouvernement pour tenir jusque-là.
À votre avis, quelles sont les mesures qu’il faut apporter à la chaîne de valeurs qui est actuellement sinistrée ?
L’urgence est la reconduction de l’indemnité forfaitaire de la CNSS de 2.000 DH, pour sauver les emplois. Pour sauver les structures et les accompagner pour se préparer à la reprise, il faut prévoir des moratoires pour les taxes locales et notamment la taxe professionnelle, le rééchelonnement de la dette bancaire ainsi que celui des charges sociales. Ce sont des mesures urgentes à mettre en place car il en va de la survie du secteur.
Qu’en est-il de la situation des flux internationaux surtout avec la programmation de la base aérienne de Ryanair ?
Les flux internationaux n’échappent pas aux aléas de la pandémie, fermeture et ouverture des frontières, restrictions de voyage, mesures sanitaires avec des confinements à l’arrivée… Nous fondons beaucoup d’espoir sur cette base aérienne pour le tourisme de notre région et son lancement a été fait dans le cadre de la reprise cet été. Nous espérons une amélioration de la situation sanitaire rapidement au niveau mondial pour que Ryanair continue à opérationnaliser sa programmation.
Yassine Saber / Les Inspirations ÉCO
L’urgence est la reconduction de l’indemnité forfaitaire de la CNSS de 2.000 DH, pour sauver les emplois. Pour sauver les structures et les accompagner pour se préparer à la reprise, il faut prévoir des moratoires pour les taxes locales et notamment la taxe professionnelle, le rééchelonnement de la dette bancaire ainsi que celui des charges sociales. Ce sont des mesures urgentes à mettre en place car il en va de la survie du secteur.
Qu’en est-il de la situation des flux internationaux surtout avec la programmation de la base aérienne de Ryanair ?
Les flux internationaux n’échappent pas aux aléas de la pandémie, fermeture et ouverture des frontières, restrictions de voyage, mesures sanitaires avec des confinements à l’arrivée… Nous fondons beaucoup d’espoir sur cette base aérienne pour le tourisme de notre région et son lancement a été fait dans le cadre de la reprise cet été. Nous espérons une amélioration de la situation sanitaire rapidement au niveau mondial pour que Ryanair continue à opérationnaliser sa programmation.
Yassine Saber / Les Inspirations ÉCO
L’arrivée au Maroc de Yair Lapid, ministre israélien des Affaires Etrangères a été l’occasion de conclure des accords de partenariat diplomatiques et économiques entre les deux pays, notamment en matière de tourisme et transport aérien. Dans ce cadre, la ministre du Tourisme Mme Nadia Fettah, a tenu une séance de travail, hier 11 août, avec le ministre israélien des Affaires étrangères polarisée autour du développement bilatéral des relations de coopération en tourisme.
L’arrivée au Maroc de Yair Lapid, ministre israélien des Affaires Etrangères a été l’occasion de conclure des accords de partenariat diplomatiques et économiques entre les deux pays, notamment en matière de tourisme et transport aérien. Dans ce cadre, la ministre du Tourisme Mme Nadia Fettah, a tenu une séance de travail, hier 11 août, avec le ministre israélien des Affaires étrangères polarisée autour du développement bilatéral des relations de coopération en tourisme.
Cette rencontre a été l’occasion pour échanger des points de vue et mener des réflexions sur les nouveaux mécanismes visant à promouvoir “la destination Maroc” au profit des touristes israéliens, ainsi que la promotion des investissements touristiques israéliens au Maroc, indique un communiqué du ministère.
Les deux parties ont également mis en exergue l’importance des secteurs du tourisme et du transport aérien en tant que facteurs de rapprochement et de développement économique et social, tout en réitérant leur volonté de dynamiser davantage la coopération dans ces domaines.
Cette rencontre a été l’occasion pour échanger des points de vue et mener des réflexions sur les nouveaux mécanismes visant à promouvoir “la destination Maroc” au profit des touristes israéliens, ainsi que la promotion des investissements touristiques israéliens au Maroc, indique un communiqué du ministère.
Les deux parties ont également mis en exergue l’importance des secteurs du tourisme et du transport aérien en tant que facteurs de rapprochement et de développement économique et social, tout en réitérant leur volonté de dynamiser davantage la coopération dans ces domaines.
Agadir : 9ᵉ édition des Assises Nationales de la Santé à Agadir
22/11/2024
- Med Mohamed Rial
Les hôtels peuvent être moins chers sur leur site web que sur Booking.com
19/11/2024
- Med Mohamed Rial
Agadir : le marché anglais propulse la saison 2024
15/11/2024
- Med Mohamed Rial
Mise en place d’une Banque de Projets Tourisme pour l’investissement touristique au Maroc
09/11/2024
- Med Mohamed Rial
Entretien. Salaheddine Benhammane : “Pour le marché britannique, l’aérien demeure le nerf de la guerre”
09/11/2024
- Med Mohamed Rial
Partager ce site
Tags
#statistiquesaouttourismemaroc
#ObservatoireduTourisme
107 MDH pour l'administration centrale
119 000 visas Schengen refusés aux Marocains
18 è festival CInéma & Migration Arabie Saoudite Invité d'honneur
5 è Université DéfiMed
6 000 emplois directs
67 è congrès Clefs d'Or Marrakech
9 È ÉDITION
A G de la CNT à Marrakech
Abdelaziz Houays : Le Monsieur loisirs et distraction d’Agadi
Accor cède 33% à Risma
Adil Douiri
Agadir
Agadir L’hôtel Agador en vente judiciaire
AGADIR :
SMART TOURISM DAY
AMETOP Rabat 24 ème édition
AMKS
ARAV
ARIH Agadir et Marrakech comuniqué
ARIH Marrakech
CNT
Essaouira tourisme
Fès
Hamid Bentahar
hôtellerie
Marrakech
Marrakech tourisme
RTDR
tourisme
tourisme Maroc