Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
La région de Casablanca-Settat vient en première position avec 22,4% d’actifs, suivie de Rabat-Salé-Kénitra (13,8%), de Marrakech-Safi (13,3%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (12%) et de Fès-Meknès (11,7%), précise le HCP.
La région de Casablanca-Settat vient en première position avec 22,4% d’actifs, suivie de Rabat-Salé-Kénitra (13,8%), de Marrakech-Safi (13,3%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (12%) et de Fès-Meknès (11,7%), précise le HCP.
La note fait savoir également que quatre régions affichent des taux d’activité plus élevés que la moyenne nationale (44%), en l’occurrence Tanger-Tétouan-Al Hoceima (49,9%), Casablanca-Settat (46,6%), Marrakech-Safi (45,2%) et Rabat-Salé-Kénitra (44,4%).
En revanche, les taux les plus bas sont enregistrés dans les régions de Béni Mellal-Khénifra (40,9%), de Drâa- Tafilalet (38,5%) et de Souss-Massa (37,7%).
Par ailleurs, la note relève que presque sept chômeurs parmi dix (69,4%) sont concentrés dans cinq régions, à savoir Casablanca-Settat (24,6%), suivie de Rabat-Salé-Kénitra (13,6%), de Fès-Meknès (13,4%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (9,3%) et de l’Oriental (8,5%).
Les taux de chômage les plus élevés sont observés dans les régions du Sud (21%) et de l’Oriental (14,6%). Avec moins d’acuité, quatre autres régions dépassent la moyenne nationale (11,4%) à savoir Fès-Meknès (13%), Casablanca-Settat (12,5%), Souss-Massa (11,7%) et Béni Mellal Khénifra (11,6%).
Les régions de Drâa-Tafilalet, de Tanger-Tétouan-Al Hoceima et de Marrakech-Safi enregistrent, en revanche, les taux les plus bas avec respectivement 10%, 8,8%, et 6,9%.
Source : MAPBUSINESS
Quels sont les grands enseignements du forum international A World For Travel ? Rendre le secteur du tourisme plus vertueux exigera des milliards de dollars, d’idées et de travaux de coopération.
5% des émissions mondiales de CO2
Pour Didier Brechemier, responsable mondial Transport, voyages et logistique du cabinet Roland Berger, la coopération doit s’opérer à plusieurs échelons : entre le public et le privé, les entreprises, les Etats. Ce que les compagnies aériennes ont entrepris, sous l’égide notamment de l’Association du transport aérien international (IATA). En octobre 2022, les représentants des 193 Etats réunis pour l’assemblée de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), une agence de l’ONU, ont fixé un objectif très ambitieux : supprimer les émissions de carbone d’ici à 2050. « C’est un très bon début pour l’investissement en vue de la réduction des émissions de CO2. »
Reste à financer, concrètement, ce projet titanesque… La décarbonisation de l’aviation se chiffre en milliers de milliards de dollars. Un montant abyssal que les compagnies, fragilisées par la crise du Covid, auront du mal à réunir, amenant de toute évidence les Etats à contribuer. « C’est une nécessité de voyager en avion, lorsque le train n’est pas une solution, rappelle Didier Brechemier, responsable mondial Transport, voyages et logistique de Roland Berger. Les solutions technologiques, en particulier les carburants “green” / SAF, peuvent être mises en œuvre si elles sont financées. »
Le voyage représente aujourd’hui 5% de l’ensemble des émissions mondiales de CO2, a souligné Roland Berger. Une empreinte qui devrait augmenter de 25% en 2030, versus 2016.
source : L'Echo touristique
L’ÉDITION 2022 DE L’AFRICA HOSPITALITY INVESTMENT FORUM-ARIF 2022 DU 2 AU 4 NOVEMBRE. CE SERA SOUS LE THÈME DE ‘’INSPIRING HOSPITALITY DEVELOPEMENT ACROSS AFRICA’’.
Organisée en étroite collaboration avec la Société Marocaine d’Ingénierie Touristique (SMIT), la rencontre rassemblera plus de 300 éminents acteurs de l’industrie touristique Africaine et internationale. Sont attendus également des investisseurs de renoms et chefs de fils des chaines hôtelières des plus prestigieuses tels que Hilton, Mariott, IHG Hotels & Resorts, Louvre Hotels Group, Radisson Hôtel Group, Tikida Resort, V Holding, et bien d’autres’’, indiquent les organisateurs. Le meeting sera l’occasion pour la SMIT de présenter les opportunités d’affaires touristique au niveau des régions du Sud du Royaume et la diversification de l’offre touristique de la destination Maroc. Et ce, pour susciter l’intérêt des investisseurs et opérateurs touristiques nationaux et étrangers. Il s’agit aussi de positionner le Maroc, et plus particulièrement la Région de Souss Massa au centre de la conversation touristique mondiale, indique les responsables de la SMIT.
Source : la Vie eco par Malika Alami