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L’édition 2021 du Global Destination Sustainability Index vient de paraître. En dépit de la pandémie, le Global Destination Sustainibility Movement constate “un raz-de-marée de nouvelles stratégies de destinations durables et d’actions positives”.
Décidément indétrônable, Gotebörg occupe la première place du classement pour la cinquième année consécutive. Pour autant, il serait faux de dire que rien n’évolue dans ce classement, référence. Ca bouge plutôt pas mal même, preuve que le sujet du développement durable occupe de plus en plus de destinations. Et c’est tout l’enjeu du Global Destinations Sustainability Index, programme d’amélioration des performances visant à rendre le secteur du tourisme d’affaires et de loisirs plus durable. Plusieurs critères sont passés au crible : la stratégie et l’infrastructure environnementale de la ville, sa performance en matière de durabilité sociale, le soutien des fournisseurs du secteurs, ainsi que la stratégie et les initiatives de gestion durable de la destination. Fait notable, 24 destinations supplémentaires se sont portées candidates pour être benchmarkées par rapport à 2019. Et en dépit de cette afflux de nouvelles destinations, les scores sont restés constants avec une moyenne de 61,74 en 2019 et 61,69 en 2021.
2021, une année charnière
« La pandémie de Covid-19 et l’intérêt croissant du public et des politiques pour l’égalité, la diversité et le changement climatique ont eu un impact positif massif sur les destinations en 2021, souligne Guy Bigwood, directeur du GDS-Index. Cette année, dans le GDS-Index, nous constatons un raz-de-marée de nouvelles stratégies de destinations durables et d’actions positives. Les DMO se mobilisent pour mieux engager et écouter leurs résidents, co-créer de nouvelles visions avec leurs parties prenantes, éduquer à la fois la chaîne d’approvisionnement et leurs clients, soutenir financièrement les programmes de certification et mesurer les résultats. 2021 sera reconnue comme une année charnière, non seulement pour l’intensification des actions en matière de durabilité, mais aussi comme l’année où la pensée régénératrice a commencé à être plus largement intégrée dans les plans de gestion et d’intendance des destinations. C’est l’année où la gestion des destinations a vraiment pris le pas sur le marketing des destinations. »
Deux villes françaises dans le top 10
« Malgré une année difficile en 2020 et 2021, de nombreux DMO ont profité de la période de baisse du nombre de touristes pour intégrer des pratiques plus durables, observe le GDS. Si l’on regarde la situation dans son ensemble, nous avons assisté à une augmentation du score moyen de 21% depuis les années 2016. Pour le Top 10, cette augmentation est encore plus importante avec 36%. » En 5 ans, le nombre de destinations qui se sont engagées à intégrer des pratiques plus durables est passé de 23 à 73.
Et l’Hexagone s’illustre dans le classement, avec deux destinations dans le Top 10, Lyon et Bordeaux. Avec une note de 80/100, Lyon a en outre été récompensée du trophée de la meilleure progression dans le classement en 2021 « Most improved Award 2021 ».
Le classement 2021
- Göteborg (Suède) : 89%
- Copenhague (Danemark) : 85.1%
- Aarhus (Danemark) : 82.5%
- Glasgow (Ecosse) : 82.4%
- Reykjavic (Islande) : 80.3%
- Tyrol (Autriche) : 80.2%
- Lyon (France) : 79.5%
- Zurich (Suisse) : 78.6%
- Bordeaux (France) : 78.4%
- Aalborg (Danemark) : 76.7%
- Melbourne (Australie) : 76.5%
- Umea (Suède) : 75.1%
- Kerry (Irlande) : 74%
- Bruxelles (Belgique) : 73.6 %
- Sidney (Australie) : 72.8%
- Helsinki (Finlande) : 72.6%
- Gand (Belgique) : 71.4%
- Cork (Irlande) : 70.8%
- Belfast (Royaume-Uni) : 70.7%
- Middelfart (Danemark) : 70.7%
Source : L Echo touristique par Emilie VIgnon
Bel exemple d’interaction impliquée public-privé nouvelle ère que celui fourni grandeur nature par les professionnels de Marrakech avec la nouvelle mairesse Mme Mansouri, chez qui la présence aux côtés des opérateurs locaux ne date d’ailleurs pas d’aujourd’hui.
Bel exemple d’interaction impliquée public-privé nouvelle ère que celui fourni grandeur nature par les professionnels de Marrakech avec la nouvelle mairesse Mme Mansouri, chez qui la présence aux côtés des opérateurs locaux ne date d’ailleurs pas d’aujourd’hui.
Une première du genre dans la nouvelle configuration politique régionale qui devrait porter à réfléchir ailleurs, surtout dans les destinations à économie touristique dépendante en grande partie de la bonne santé du secteur.
La rencontre eut lieu dans l’après-midi du vendredi 29 octobre au Sofitel Marrakech, à l’occasion de la réunion du Comité Exécutif du CRT-Marrakech-Safi où étaient également présents, en plus de Mme la mairesse, le Président de la Région, le Président de la Commune Mechouar-Kasbah, l’ONMT, le CRI, l’ONDA et le Président du CRT.
Au menu, un exposé sur la situation touristique régionale ainsi que le bilan des activités réalisées. Une situation ayant porté le CRT Marrakech-Safi à adopter une série d’actions à mener durant 2021-2022 mises en exergue pendant cette rencontre (Compte-rendu dans un prochain article).
Au-delà de son caractère formel, la rencontre des opérateurs de Marrakech avec leur maire renseigne sur la dimension responsable des élus de l’acte public en faveur du développement économique local, particulièrement l’écosystème touristique.
Une première qu’on n’espère pas orpheline pour se répercuter au niveau de régions également à vocation touristique comme le Souss, Fez-Meknès, Casa-Settat, etc.
Qui dit mieux ?
UNE DÉLÉGATION COMPOSÉE DU PRÉSIDENT DE LA COMMUNE D’AGADIR, AZIZ AKHANNOUCH, AINSI QUE DU WALI DE LA RÉGION SOUSS-MASSA, GOUVERNEUR DE LA PRÉFECTURE D’AGADIR-IDA OUTANANE AHMED HAJJI, S’EST RENDUE AU CHANTIER DU TERRAIN DE PROXIMITÉ DE HAY ANZA, DONT L’OUVERTURE EST PRÉVUE TRÈS PROCHAINEMENT.
Le terrain rassemble plusieurs espaces dédiés au football, au basket-ball et au skateboard, ainsi qu’une cour pour enfants.
De même, le Conseil prévoit l’ouverture de deux terrains de proximité chaque mois, durant les 4 mois prochains à partir de novembre. Ces projets visent à améliorer l’activité sportive, notamment, chez les jeunes de la ville et leur doter de lieux de divertissement.
Par lavieeco