LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES
La une
Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
04/07/2023 Med Mohamed Rial
« Nous avons le plaisir de vous annoncer le recrutement de CHAIBI DALILA au poste de DIRECTEUR GENERAL ADJOINT au sein de l’hôtel WHITE BEACH et ce, à compter du 17 Juin 2021 », précise un communiqué de l’établissement.
Dalila est titulaire d’un diplôme en commerce international à l’international Business Institute de Casablanca. Elle a débuté sa carrière en 1997 en tant que Chef de département au sein de «IMAGETECH» à New York. En 2000 Dalila a rejoint le Dorint Atlantic Palace en tant que Responsable groupe en 2002 elle à été nommée Senior Sales Manager au sein de la chaîne Millineum.
En 2004 Dalila a rejoint le groupe Accor hôtels en tant que Directrice Commerciale dont elle a assuré l'ouverture du Sofitel Agadir Royal Bay Resort. En 2008, elle a intégré le « Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa » et le « Sofitel Agadir Royal Bay » en tant que Directrice Commerciale et de distribution
En 2013, elle a été nommée Directrice du Site Sofitel Agadir dont elle a assuré l' ouverture du Sofitel Thalassa Sea & Spa. En 2015, elle a été nommée Directrice Commerciale Sud du Maroc. En 2017, elle a été nommée en tant que Directrice d'exploitation du Sofitel Agadir Royal Bay Avant d’intégrer notre établissement, Dalila a rejoint l’hôtel « Sofitel Agadir Royal Bay and Resort» en tant que Directrice d’exploitation.
Au cours des 24 dernières années, Dalila à acquis une très solide expérience opérationnelle dans la Gestion Resorts ainsi qu'une excellente connaissance du Marché Nous souhaitons à Dalila la bienvenue et plein succès, au sein de l’hôtel White Beach Taghazout. Son recrutement est un point positif qui va participer à une gestion professionnelle pour le lancement de cet établissement, récemment ouvert.
L’hôtel White Beach Tahgazout se compose dun total 262 chambres, dont de 2 suites royal, 4 suites prestiges/senior ;106 chambres garden vies, 91 chambres avec vue piscine, 21 chambres sera vies,38 chambres swim up, 3 restaurants …
En 2004 Dalila a rejoint le groupe Accor hôtels en tant que Directrice Commerciale dont elle a assuré l'ouverture du Sofitel Agadir Royal Bay Resort. En 2008, elle a intégré le « Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa » et le « Sofitel Agadir Royal Bay » en tant que Directrice Commerciale et de distribution
En 2013, elle a été nommée Directrice du Site Sofitel Agadir dont elle a assuré l' ouverture du Sofitel Thalassa Sea & Spa. En 2015, elle a été nommée Directrice Commerciale Sud du Maroc. En 2017, elle a été nommée en tant que Directrice d'exploitation du Sofitel Agadir Royal Bay Avant d’intégrer notre établissement, Dalila a rejoint l’hôtel « Sofitel Agadir Royal Bay and Resort» en tant que Directrice d’exploitation.
Au cours des 24 dernières années, Dalila à acquis une très solide expérience opérationnelle dans la Gestion Resorts ainsi qu'une excellente connaissance du Marché Nous souhaitons à Dalila la bienvenue et plein succès, au sein de l’hôtel White Beach Taghazout. Son recrutement est un point positif qui va participer à une gestion professionnelle pour le lancement de cet établissement, récemment ouvert.
L’hôtel White Beach Tahgazout se compose dun total 262 chambres, dont de 2 suites royal, 4 suites prestiges/senior ;106 chambres garden vies, 91 chambres avec vue piscine, 21 chambres sera vies,38 chambres swim up, 3 restaurants …
le Lundi 21 Juin 2021
L’Europe est-elle « incapable » de promouvoir la paix et la prospérité dans son voisinage ? Inutile de revenir sur les causes et les motifs de la crise diplomatique entre le Maroc et l’Espagne. Mais il y a dans cette crise tous les ingrédients d’une Europe en déliquescence qui s’arc-boute sur un pouvoir européen que personne ne prend plus …
L’Europe est-elle « incapable » de promouvoir la paix et la prospérité dans son voisinage ? Inutile de revenir sur les causes et les motifs de la crise diplomatique entre le Maroc et l’Espagne. Mais il y a dans cette crise tous les ingrédients d’une Europe en déliquescence qui s’arc-boute sur un pouvoir européen que personne ne prend plus au sérieux, à commencer par les citoyens européens eux-mêmes. Elle est entraînée par certains intérêts égoïstes pour faire pression sur le Royaume. Elle risque d’y perdre son âme.
L’Europe a-t-elle déjà permis de résoudre une quelconque crise internationale. L’Ukraine, le Moyen-Orient, l’Afrique, le Haut Karabakh, l’Afghanistan,…jusqu’à la crise sanitaire actuelle. Ne parlons pas en sus de la crise migratoire méditerranéenne dont les causes sont pourtant évidentes : les guerres du Moyen-Orient qui auraient pu être évitables, l’Afghanistan dont on a instrumentalisé les conflits internes, la Lybie décapitée et livrée à elle même, la Syrie dont on a encouragé sans vergogne la guerre civile, le Maghreb que les généraux algériens ont mis au « point mort » depuis 40 ans sous des prétextes fallacieux qui ne trompent personne, l’Afrique dont on attend toujours ce fameux “plan soi-disant Marshall” pour la sortir de son marasme économique…
Même la crise sanitaire, qui malgré toute la puissance financière de l’Europe, aura été le dernier parmi les grands pôles mondiaux à vacciner ses populations, incapable de développer une approche commune, et avançant en rangs dispersés avec à la clef une récession économique où chacun de ses membres essaient de s’en relever avec “un sauve qui peut” et du chacun pour soi. Alors que les autres pôles Etats-Unis, Chine, Russie… ont développé leurs propres vaccins et sont bien en avance pour une sortie de crise par le haut. Cela en plus des « retards à l’allumage », en début de pandémie, vis à vis de ses états membres, comme l’Italie qui criait au secours de l’Europe sans être entendue par ses pairs. Les excuses gênées et à postériori de la Présidente de la commission européenne au peuple italien témoignent du désarroi dans laquelle est plongée l’Union Européenne.
En termes de bilan global depuis la création de l’ensemble européen, les résultats sont maigres. A part, la création d’une monnaie unique, dont les bénéfices pour le citoyen européen ne sont toujours pas évidents, ni l’Europe économique, ni l’Europe politique, ni l’Europe sociale ne semblent des projets aboutis. En lieu et place, elle s’indigne du peu de cas que l’on réserve à ses dirigeants de Bruxelles dans le monde. Cela sans évoquer dans le détail « le nombrilisme » (car il faudrait plusieurs articles) qui s’est emparé de certaines classes politiques européennes, exploitant le désarroi des populations, et qui s’enfoncent dans des relents « fascisants ». Le paysage audiovisuel européen est saturé de discours « extrêmes droitiers » qui emplissent, à longueur de journée et de soirées, médias et réseaux sociaux… En outre, Brexit et autres risques « d’Exit » pèsent de plus en plus sur l’ensemble européen.
A défaut de projets structurants et prometteurs pour leurs citoyens, les seules alternatives et réponses offertes aux populations qu’on prive de pouvoir se projeter dans un avenir, digne des épreuves et d’une histoire contemporaine douloureuses, ayant entre autres conduit aux pires pogroms de l’histoire au cœur de l’Europe et à plus de 50 millions de morts ; voilà qu’une nouvelle ” extrême droitisation” des discours politiques s’installent confortablement.
On prépare l’opinion publique à accepter un nouveau populisme inquiétant. La victime n’est plus “le juif” qui a su s’intégrer au prix d’incommensurables souffrances subies et de cruautés gratuites. Mais aujourd’hui, la cible est toute désignée. L’Autre, l’Intrus, c’est le pauvre « immigré » de banlieue, de surcroît “musulman” et “sous développé” qui importerait, selon les discours en vogue, dans sa chair au sein de la paisible Europe « les conflits et les valeurs insupportables d’ailleurs ». Il est accusé de tous les maux dont souffrirait l’Europe : chômage, terrorisme, séparatisme, trafic de drogue, insécurité, etc. En plus, toujours à l’écoute des nombreux médias, cet immigré s’accrocherait fanatiquement à sa religion. Quoi de plus normal, en fin de compte, d’avoir comme seule « boussole et bouée de secours » que la religion, dans un environnement hostile culturellement et marginalisant socialement. Il est évident que pour « l’immigré », l’Europe et l’Occident, après les avoir pratiqués, souvent en raison d’un exil économique obligé, ne lui offrent plus pour seule horizon que de sinistres barres d’immeubles et les cieux maussades des banlieues européennes. L’Europe brillante et prospère des « 30 glorieuses » s’est éteinte et ne le fait plus rêver, ni lui, ni les autres, ni ses concitoyens de souche, comme il est d’usage de les nommer dans le vocabulaire ambiant.
L’Europe a-t-elle déjà permis de résoudre une quelconque crise internationale. L’Ukraine, le Moyen-Orient, l’Afrique, le Haut Karabakh, l’Afghanistan,…jusqu’à la crise sanitaire actuelle. Ne parlons pas en sus de la crise migratoire méditerranéenne dont les causes sont pourtant évidentes : les guerres du Moyen-Orient qui auraient pu être évitables, l’Afghanistan dont on a instrumentalisé les conflits internes, la Lybie décapitée et livrée à elle même, la Syrie dont on a encouragé sans vergogne la guerre civile, le Maghreb que les généraux algériens ont mis au « point mort » depuis 40 ans sous des prétextes fallacieux qui ne trompent personne, l’Afrique dont on attend toujours ce fameux “plan soi-disant Marshall” pour la sortir de son marasme économique…
Même la crise sanitaire, qui malgré toute la puissance financière de l’Europe, aura été le dernier parmi les grands pôles mondiaux à vacciner ses populations, incapable de développer une approche commune, et avançant en rangs dispersés avec à la clef une récession économique où chacun de ses membres essaient de s’en relever avec “un sauve qui peut” et du chacun pour soi. Alors que les autres pôles Etats-Unis, Chine, Russie… ont développé leurs propres vaccins et sont bien en avance pour une sortie de crise par le haut. Cela en plus des « retards à l’allumage », en début de pandémie, vis à vis de ses états membres, comme l’Italie qui criait au secours de l’Europe sans être entendue par ses pairs. Les excuses gênées et à postériori de la Présidente de la commission européenne au peuple italien témoignent du désarroi dans laquelle est plongée l’Union Européenne.
En termes de bilan global depuis la création de l’ensemble européen, les résultats sont maigres. A part, la création d’une monnaie unique, dont les bénéfices pour le citoyen européen ne sont toujours pas évidents, ni l’Europe économique, ni l’Europe politique, ni l’Europe sociale ne semblent des projets aboutis. En lieu et place, elle s’indigne du peu de cas que l’on réserve à ses dirigeants de Bruxelles dans le monde. Cela sans évoquer dans le détail « le nombrilisme » (car il faudrait plusieurs articles) qui s’est emparé de certaines classes politiques européennes, exploitant le désarroi des populations, et qui s’enfoncent dans des relents « fascisants ». Le paysage audiovisuel européen est saturé de discours « extrêmes droitiers » qui emplissent, à longueur de journée et de soirées, médias et réseaux sociaux… En outre, Brexit et autres risques « d’Exit » pèsent de plus en plus sur l’ensemble européen.
A défaut de projets structurants et prometteurs pour leurs citoyens, les seules alternatives et réponses offertes aux populations qu’on prive de pouvoir se projeter dans un avenir, digne des épreuves et d’une histoire contemporaine douloureuses, ayant entre autres conduit aux pires pogroms de l’histoire au cœur de l’Europe et à plus de 50 millions de morts ; voilà qu’une nouvelle ” extrême droitisation” des discours politiques s’installent confortablement.
On prépare l’opinion publique à accepter un nouveau populisme inquiétant. La victime n’est plus “le juif” qui a su s’intégrer au prix d’incommensurables souffrances subies et de cruautés gratuites. Mais aujourd’hui, la cible est toute désignée. L’Autre, l’Intrus, c’est le pauvre « immigré » de banlieue, de surcroît “musulman” et “sous développé” qui importerait, selon les discours en vogue, dans sa chair au sein de la paisible Europe « les conflits et les valeurs insupportables d’ailleurs ». Il est accusé de tous les maux dont souffrirait l’Europe : chômage, terrorisme, séparatisme, trafic de drogue, insécurité, etc. En plus, toujours à l’écoute des nombreux médias, cet immigré s’accrocherait fanatiquement à sa religion. Quoi de plus normal, en fin de compte, d’avoir comme seule « boussole et bouée de secours » que la religion, dans un environnement hostile culturellement et marginalisant socialement. Il est évident que pour « l’immigré », l’Europe et l’Occident, après les avoir pratiqués, souvent en raison d’un exil économique obligé, ne lui offrent plus pour seule horizon que de sinistres barres d’immeubles et les cieux maussades des banlieues européennes. L’Europe brillante et prospère des « 30 glorieuses » s’est éteinte et ne le fait plus rêver, ni lui, ni les autres, ni ses concitoyens de souche, comme il est d’usage de les nommer dans le vocabulaire ambiant.
Le Maroc se doit de défendre son intégrité territoriale contre « vents et marées » :
Que reproche-t-on au Maroc ? De défendre son intégrité territoriale que ces mêmes européens ont dépecé dans un passé colonial peu glorieux.
Ce Maroc qui dans le passé n’a pas livré ses citoyens, sujets égaux de sa Majesté à la Guestapo, n’a pas collaboré avec les nazis, n’a pas conquis des territoires par le canon et les croisades, a pourtant accueilli les réfugiés espagnols chassés d’une Europe médiévale sans état d’âme, n’a même pas, grâce à la sagesse de ses monarques éclairés et d’une population animée par un Islam apaisé, non plus nourri de ressentiment amer, vis à vis de ces mêmes puissances coloniales.
Ce Maroc qui a abrité les premiers résistants algériens du FLN. Il leur a offert, gîte, couvert, soutien moral et politique. Ils sont mêmes désignés par les historiens de « clan d’Oujda », nom de la ville marocaine où ils évoluaient et trouvé refuge et solidarité. Ce Maroc qui a abrité, à Casablanca en 1961, le premier groupe de dirigeants africains qui soutenaient le FLN contre la France et qui allait conduire, avec le Groupe de Monrovia (plutôt favorable à la France), à la création en 1963 de l’Organisation de l’Unité Africaine, devenue l’Union Africaine. Ce Maroc, qui continue encore dans sa lancée, fidèle à ses traditions hospitalières, à accueillir les migrants subsahariens, syriens, lybiens… développant, malgré de grandes difficultés subies, des visions stratégiques de partenariat et de coopération-sud-sud intelligentes, fraternelles et bienveillantes dans le continent.
Le Royaume, malgré ses faibles moyens et ressources, défend ses intérêts territoriaux, avec respect, courtoisie et dignité quoiqu’en disent certains médias européens qui se sont acharnés pour ternir son image. Les magouilles récentes « algéro-espagnoles », faites sur le dos de la diplomatie marocaine et de la bienséance qu’imposent un bon voisinage ne sont pas acceptables. Le Maroc a montré qu’il pouvait rendre « coup pour coup » s’il le fallait quand on touche à ses lignes rouges que sont sa souveraineté, son intégrité territoriale et la dignité de ses symboles sacrés. Oui, le Marocain conserve encore le sens du sacré ; celui qui élève l’âme et non celui qui le rabaisse.
Les sacrifices du peuple marocain pour recouvrer cette intégrité territoriale qui a dû se réaliser en plusieurs étapes, sont mises à mal depuis plusieurs générations par un voisinage qui instrumentalise quelques dizaines de milliers de sahraouis séquestrés dans « des camps de la honte » dans le désert algérien. Environ 100. 000 sahraouis-un peu plus, un peu moins, personne ne le sait car les dirigeants algériens refusent de les recenser pour agir comme bon leur semble de l’aide alimentaire octroyée par les organisations internationales- sont pris en otages dans des camps moyen-âgeux en plein désert algérien. Ils sont de manière scandaleuse et indigne offerts au regard d’observateurs étrangers qui viennent constater une misère savamment entretenue. Ils sont parqués dans des habitations de fortune, victimes de leurs dirigeants et des « généraux algériens » en perte de vitesse qui revendiquent la création d’un Etat indépendant au Sud du Royaume de plus de 220 000 km2 (plus vaste de 2 fois et demi le Portugal, plus de 4 fois la Belgique, et plus des deux tiers du territoire français). Ce serait comme livré la moitié du Royaume du Maroc à une population qu’on peut installer dans un simple quartier de Rabat, de Madrid, de Bruxelles et/ou de Madrid.
Que reproche-t-on au Maroc ? De défendre son intégrité territoriale que ces mêmes européens ont dépecé dans un passé colonial peu glorieux.
Ce Maroc qui dans le passé n’a pas livré ses citoyens, sujets égaux de sa Majesté à la Guestapo, n’a pas collaboré avec les nazis, n’a pas conquis des territoires par le canon et les croisades, a pourtant accueilli les réfugiés espagnols chassés d’une Europe médiévale sans état d’âme, n’a même pas, grâce à la sagesse de ses monarques éclairés et d’une population animée par un Islam apaisé, non plus nourri de ressentiment amer, vis à vis de ces mêmes puissances coloniales.
Ce Maroc qui a abrité les premiers résistants algériens du FLN. Il leur a offert, gîte, couvert, soutien moral et politique. Ils sont mêmes désignés par les historiens de « clan d’Oujda », nom de la ville marocaine où ils évoluaient et trouvé refuge et solidarité. Ce Maroc qui a abrité, à Casablanca en 1961, le premier groupe de dirigeants africains qui soutenaient le FLN contre la France et qui allait conduire, avec le Groupe de Monrovia (plutôt favorable à la France), à la création en 1963 de l’Organisation de l’Unité Africaine, devenue l’Union Africaine. Ce Maroc, qui continue encore dans sa lancée, fidèle à ses traditions hospitalières, à accueillir les migrants subsahariens, syriens, lybiens… développant, malgré de grandes difficultés subies, des visions stratégiques de partenariat et de coopération-sud-sud intelligentes, fraternelles et bienveillantes dans le continent.
Le Royaume, malgré ses faibles moyens et ressources, défend ses intérêts territoriaux, avec respect, courtoisie et dignité quoiqu’en disent certains médias européens qui se sont acharnés pour ternir son image. Les magouilles récentes « algéro-espagnoles », faites sur le dos de la diplomatie marocaine et de la bienséance qu’imposent un bon voisinage ne sont pas acceptables. Le Maroc a montré qu’il pouvait rendre « coup pour coup » s’il le fallait quand on touche à ses lignes rouges que sont sa souveraineté, son intégrité territoriale et la dignité de ses symboles sacrés. Oui, le Marocain conserve encore le sens du sacré ; celui qui élève l’âme et non celui qui le rabaisse.
Les sacrifices du peuple marocain pour recouvrer cette intégrité territoriale qui a dû se réaliser en plusieurs étapes, sont mises à mal depuis plusieurs générations par un voisinage qui instrumentalise quelques dizaines de milliers de sahraouis séquestrés dans « des camps de la honte » dans le désert algérien. Environ 100. 000 sahraouis-un peu plus, un peu moins, personne ne le sait car les dirigeants algériens refusent de les recenser pour agir comme bon leur semble de l’aide alimentaire octroyée par les organisations internationales- sont pris en otages dans des camps moyen-âgeux en plein désert algérien. Ils sont de manière scandaleuse et indigne offerts au regard d’observateurs étrangers qui viennent constater une misère savamment entretenue. Ils sont parqués dans des habitations de fortune, victimes de leurs dirigeants et des « généraux algériens » en perte de vitesse qui revendiquent la création d’un Etat indépendant au Sud du Royaume de plus de 220 000 km2 (plus vaste de 2 fois et demi le Portugal, plus de 4 fois la Belgique, et plus des deux tiers du territoire français). Ce serait comme livré la moitié du Royaume du Maroc à une population qu’on peut installer dans un simple quartier de Rabat, de Madrid, de Bruxelles et/ou de Madrid.
Les provinces du Sud ne seront jamais le terrain de jeu des « généraux algériens » et de ses affidés du Polisario : non à une « enclave algérienne » au Sahara marocain
Le Maroc, fort de son droit (accords de Madrid, décision de la Cour de Justice de la Haye et résolutions du Conseil de sécurité), ainsi que de sa légitimité historique, des liens séculiers tissés entre les tribus sahraouies et les monarques marocains, fort également de la continuité géographique de son territoire, a choisi comme approche de règlement de la question, la voie de la coexistence pacifique (avec ses voisins malgré l’adversité), du partenariat coresponsable, d’une diplomatie discrète et réservée.
C’est le Maroc qui, pour éviter un conflit violent, a proposé un référendum du temps de Feu Hassan II, malgré qu’il administre le territoire et qu’il n’a pas fait prévaloir le fait accompli. Ensuite, face aux manœuvres du Polisario qui ne voulaient faire voter que les sahraouis endoctrinés, séquestrés et acquis à sa cause, le Maroc par la voix de sa diplomatie a demandé l’abandon de cette option avec l’agrément des Nations-Unies. Ensuite, c’est toujours à l’initiative du Maroc qu’a été proposée une nouvelle solution pacifique à savoir une large autonomie de son Sahara dans le cadre de la souveraineté du Royaume. Elle a été validée comme une option sérieuse et crédible par les membres du Conseil de Sécurité des Nations-Unies. Car l’autonomie n’est-elle pas une forme avancée d’autodétermination ?
Plusieurs familles sahraouis et hauts responsables du Polisario rejoignent régulièrement le Maroc qui les accueille avec bienveillance
Elle reste la seule option réaliste et permet aux sahraouis sincères et aux populations des provinces du Sud de disposer de larges prérogatives en matière d’éducation, de santé, de culture, etc…dans le cadre de la souveraineté d’un Etat marocain organisé et sûr ainsi que dans le cadre d’une solidarité agissante de la population marocaine dans le reste du pays, mobilisée pour venir en aide aux réfugiés sahraouis s’il le fallait et s’ils venaient à réintégrer leur patrie. Plusieurs milliers de sahraouis, parfois de hauts responsables du Polisario, continuent de rejoindre en cachette de leurs dirigeants et de l’armée algérienne, le Royaume. D’ailleurs, une régionalisation avancée est en cours dans tout le Royaume pour faciliter au mieux cette option. Comme est attendu prochainement le lancement d’un nouveau modèle de développement qui sera un levier supplémentaire d’aller de l’avant vers le progrès économique et social au sein du Royaume.
Un « état indépendant » au Sahara, une option irréaliste et dangereuse : qui aurait intérêt à ne pas vouloir un Maghreb réunifié et en paix ?
L’option de créer un nouvel Etat entre la Mauritanie et le Maroc, vaste et désertique (plus de 220 000 km2, encore faudrait-il le répéter), pour une population de quelques dizaines de milliers de sahraouis séparatistes, qui dans la plus certaine des réalités deviendra une « enclave algérienne », est non seulement irréaliste, irresponsable mais dangereuse pour toute la Région du Maghreb et du Sahel dont les défis économiques et sociaux sont immenses. Que la communauté internationale puisse permettre cela serait aussi criminel que les catastrophes récentes qui ont conduit à la déstabilisation de la Méditerranée-Sud dont la jeunesse se sent obligée de se jeter à le mer happés par l’espoir de vivre mieux et en paix dans les pays du Nord déjà eux-mêmes saturés par les multiples crises dans lesquels s’enfoncent l’Europe.
L’histoire a montré qu’encourager la sécession de nations plurielles et multiséculaires n’amènent pas nécessairement « paix et prospérité » mais plutôt l’inverse à savoir des conflits larvés n’en finissent pas comme certains exemples historiques en Asie et en Afrique en sont la preuve.
Alors que plusieurs dizaines de milliers de sahraouis continuent d’être pris en otage dans les « camps de la honte », les tribus sahraouies vivant dans les provinces du Sud ont vu leur statut depuis des décennies promu socialement et économiquement grâce à des programmes de développement structurants pour cette région. Le Sahara marocain est en pleine expansion économique doté d’infrastructures de classe mondiale (futur port de Dakhla) et le territoire du Sahara marocain est appelé à devenir un carrefour euro-africain prospère.
Les Etats-Unis l’ont compris et ont désormais entériné l’option de la « proposition d’autonomie de ce territoire dans le cadre de la souveraineté marocaine ». Plusieurs pays africains, ainsi que des pays du Golfe, ouvrent des consulats dans les capitales des provinces sahariennes du Maroc (Lâyoune et Dakhla) souscrivant également à la souveraineté du Maroc sur son Sahara, comme gage de paix, de sécurité et de dignité supplémentaires pour l’Afrique. L’Europe en sera-t-elle capable ou poursuivra-t-elle l’attitude du « mi figue-mi raisin » qui ne rend service à aucune des parties, et certainement pas aux sahraouis des « camps de la honte séquestrés » qui n’attendent que de rentrer chez eux vivre dans la dignité et non plus rester des « otages apatrides » à la merci de dirigeants autrefois « marxisants » qui fantasment sur un futur Etat indépendant.
Cette attitude européenne laisserait penser en outre, que le conflit « algéro-marocain », serait entretenu et téléguidé par de ténébreux intérêts de puissances étrangères non favorables à un Maghreb réunifié. Cela a été énoncé et documenté. Mais on préfère ne pas vouloir le croire, si l’Europe était capable de démontrer le contraire.
Le Maroc, fort de son droit (accords de Madrid, décision de la Cour de Justice de la Haye et résolutions du Conseil de sécurité), ainsi que de sa légitimité historique, des liens séculiers tissés entre les tribus sahraouies et les monarques marocains, fort également de la continuité géographique de son territoire, a choisi comme approche de règlement de la question, la voie de la coexistence pacifique (avec ses voisins malgré l’adversité), du partenariat coresponsable, d’une diplomatie discrète et réservée.
C’est le Maroc qui, pour éviter un conflit violent, a proposé un référendum du temps de Feu Hassan II, malgré qu’il administre le territoire et qu’il n’a pas fait prévaloir le fait accompli. Ensuite, face aux manœuvres du Polisario qui ne voulaient faire voter que les sahraouis endoctrinés, séquestrés et acquis à sa cause, le Maroc par la voix de sa diplomatie a demandé l’abandon de cette option avec l’agrément des Nations-Unies. Ensuite, c’est toujours à l’initiative du Maroc qu’a été proposée une nouvelle solution pacifique à savoir une large autonomie de son Sahara dans le cadre de la souveraineté du Royaume. Elle a été validée comme une option sérieuse et crédible par les membres du Conseil de Sécurité des Nations-Unies. Car l’autonomie n’est-elle pas une forme avancée d’autodétermination ?
Plusieurs familles sahraouis et hauts responsables du Polisario rejoignent régulièrement le Maroc qui les accueille avec bienveillance
Elle reste la seule option réaliste et permet aux sahraouis sincères et aux populations des provinces du Sud de disposer de larges prérogatives en matière d’éducation, de santé, de culture, etc…dans le cadre de la souveraineté d’un Etat marocain organisé et sûr ainsi que dans le cadre d’une solidarité agissante de la population marocaine dans le reste du pays, mobilisée pour venir en aide aux réfugiés sahraouis s’il le fallait et s’ils venaient à réintégrer leur patrie. Plusieurs milliers de sahraouis, parfois de hauts responsables du Polisario, continuent de rejoindre en cachette de leurs dirigeants et de l’armée algérienne, le Royaume. D’ailleurs, une régionalisation avancée est en cours dans tout le Royaume pour faciliter au mieux cette option. Comme est attendu prochainement le lancement d’un nouveau modèle de développement qui sera un levier supplémentaire d’aller de l’avant vers le progrès économique et social au sein du Royaume.
Un « état indépendant » au Sahara, une option irréaliste et dangereuse : qui aurait intérêt à ne pas vouloir un Maghreb réunifié et en paix ?
L’option de créer un nouvel Etat entre la Mauritanie et le Maroc, vaste et désertique (plus de 220 000 km2, encore faudrait-il le répéter), pour une population de quelques dizaines de milliers de sahraouis séparatistes, qui dans la plus certaine des réalités deviendra une « enclave algérienne », est non seulement irréaliste, irresponsable mais dangereuse pour toute la Région du Maghreb et du Sahel dont les défis économiques et sociaux sont immenses. Que la communauté internationale puisse permettre cela serait aussi criminel que les catastrophes récentes qui ont conduit à la déstabilisation de la Méditerranée-Sud dont la jeunesse se sent obligée de se jeter à le mer happés par l’espoir de vivre mieux et en paix dans les pays du Nord déjà eux-mêmes saturés par les multiples crises dans lesquels s’enfoncent l’Europe.
L’histoire a montré qu’encourager la sécession de nations plurielles et multiséculaires n’amènent pas nécessairement « paix et prospérité » mais plutôt l’inverse à savoir des conflits larvés n’en finissent pas comme certains exemples historiques en Asie et en Afrique en sont la preuve.
Alors que plusieurs dizaines de milliers de sahraouis continuent d’être pris en otage dans les « camps de la honte », les tribus sahraouies vivant dans les provinces du Sud ont vu leur statut depuis des décennies promu socialement et économiquement grâce à des programmes de développement structurants pour cette région. Le Sahara marocain est en pleine expansion économique doté d’infrastructures de classe mondiale (futur port de Dakhla) et le territoire du Sahara marocain est appelé à devenir un carrefour euro-africain prospère.
Les Etats-Unis l’ont compris et ont désormais entériné l’option de la « proposition d’autonomie de ce territoire dans le cadre de la souveraineté marocaine ». Plusieurs pays africains, ainsi que des pays du Golfe, ouvrent des consulats dans les capitales des provinces sahariennes du Maroc (Lâyoune et Dakhla) souscrivant également à la souveraineté du Maroc sur son Sahara, comme gage de paix, de sécurité et de dignité supplémentaires pour l’Afrique. L’Europe en sera-t-elle capable ou poursuivra-t-elle l’attitude du « mi figue-mi raisin » qui ne rend service à aucune des parties, et certainement pas aux sahraouis des « camps de la honte séquestrés » qui n’attendent que de rentrer chez eux vivre dans la dignité et non plus rester des « otages apatrides » à la merci de dirigeants autrefois « marxisants » qui fantasment sur un futur Etat indépendant.
Cette attitude européenne laisserait penser en outre, que le conflit « algéro-marocain », serait entretenu et téléguidé par de ténébreux intérêts de puissances étrangères non favorables à un Maghreb réunifié. Cela a été énoncé et documenté. Mais on préfère ne pas vouloir le croire, si l’Europe était capable de démontrer le contraire.
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