Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
La compagnie aérienne Edelweiss Air va renforcer de multiples routes entre Zurich et l’Afrique, y compris celles à destination d’Agadir et de Marrakech.
« C’est l’été toute l’année en Egypte », rappelle un communiqué d’Edelweiss Air qui « volera à nouveau cet hiver vers les destinations de vacances les plus populaires d’Égypte et proposera une offre encore plus large avec jusqu’à 23 fréquences par semaine ». Par exemple, Edelweiss volera quotidiennement vers Hurghada dans le programme de vols d’hiver 2023/24, et même 2 fois par jour le week-end. Louxor sera desservi deux fois par semaine et Marsa Alam trois fois par semaine. Le nombre de vols vers Sharm El Sheikh sera doublé à 4 par semaine.
Source : Air JOurnao
Le Centre monétique interbancaire (CMI), en partenariat avec Global Blue, acteur mondial de la détaxe touristique et des solutions de paiement, étoffe son service DCC (Dynamic Currency Conversion) à travers l’intégration de six nouvelles devises
Il s’agit notamment du dollar canadien, de la couronne suédoise, du dollar australien, du dinar koweïtien, du rial qatari et du shekel israélien.
Le service DCC, disponible exclusivement sur les terminaux de paiement électroniques (TPE) du CMI, permet aux voyageurs, porteurs des cartes internationales Visa et Mastercard, de régler leurs dépenses directement dans la devise de leur pays, éliminant ainsi les incertitudes liées aux taux de change lors des paiements effectués par carte bancaire étrangère.
D’un point de vue fonctionnel, le TPE identifie la carte du client et sa devise, celui-ci a le choix de payer en dirham ou dans sa devise. Sur le ticket sont indiqués le taux de change appliqué, le montant de la transaction en dirhams et le montant de la transaction dans la devise du client.
Pour les commerçants, le service DCC présente de nombreux avantages, tels qu'une réduction des commissions et une attractivité accrue pour leurs clients utilisant des cartes étrangères, grâce à une expérience client améliorée.
Déjà disponible depuis 2014 pour six devises, à savoir l’euro, le dollar américain, la livre sterling, le franc suisse, le riyal saoudien et le dirham émirati, ce service s’adresse principalement aux hôtels, restaurants, bazars, boutiques de luxe, loueurs de voitures et plus généralement tous les commerces qui accueillent des touristes, des hommes d’affaires étrangers et les marocains du monde.
L’ajout de ces nouvelles devises a pour objectif de contribuer à soutenir le plan de développement national du tourisme au Maroc en facilitant également les paiements électroniques, tout en favorisant le renforcement des relations entre le Maroc et les pays émetteurs de touristes. Le CMI ouvre ainsi de nouvelles opportunités pour renforcer les relations commerciales et touristiques entre le Royaume et ces pays.
Leshôteliers marocains sont sous le choc ! Le géant de la réservation en ligne, Booking.com, vient d’annoncer une décision qui risque de changer la donne pour l’industrie hôtelière du pays. Désormais, les réservations ne pourront plus être effectuées en dirhams.
Le dirham n’est plus accepté, l’euro devient roi
Les clients habitués à réserver leur séjour via la plateforme en ligne Booking.com devront s’adapter à un nouveau mode de paiement. Suite à un changement des exigences de Bank Al-Maghrib, Booking.com a décidé de mettre fin au règlement des factures en dirhams. À partir de maintenant, toutes les transactions devront être effectuées en euros.
Un bouleversement qui pose des défis pour l’industrie hôtelière nationale
Cette décision drastique de Booking.com représente un véritable défi pour les hôteliers marocains. En effet, ces derniers devront faire face à des frais de change supplémentaires et à des fluctuations des taux de change, ce qui pourrait impacter leur rentabilité.
De plus, les hôteliers devront se familiariser avec les exigences spécifiques des transactions en devises étrangères, ce qui pourrait entraîner des délais de paiement plus longs. Cette situation risque d’avoir un impact direct sur leur trésorerie et de mettre leur activité en péril.
À la recherche de solutions alternatives
Face à cette nouvelle donne, les acteurs de l’industrie hôtelière marocaine devront explorer des alternatives pour maintenir leur activité en ligne. Il leur faudra peut-être se tourner vers d’autres plateformes de réservation qui acceptent encore les paiements en dirhams ou envisager des systèmes de paiement en euros plus efficaces.
Il est crucial pour les hôteliers d’obtenir des conseils avisés de leur banque locale afin de comprendre les meilleures pratiques pour gérer les transactions en euros et minimiser les coûts associés.
Une nouvelle ère pour l’industrie hôtelière marocaine
Le paysage de l’industrie hôtelière marocaine est en train de changer, et les acteurs du secteur devront s’adapter pour survivre. Ce bouleversement imposé par Booking.com est un signal fort pour les hôteliers qui doivent réinventer leur façon de travailler.
La recherche de solutions alternatives, la gestion financière prudente et l’adaptation rapide aux nouvelles exigences deviendront les clés du succès pour les hôteliers marocains dans cette nouvelle ère de l’industrie hôtelière.
Source fr.media7