Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
Le CRT Agadir Souss Massa vient de tenir son Assemblée Générale Ordinaire Elective. UN moment attendu depuis qu’un Comité Transitoire, présidé par Said Scally, a pris la charge de préparer des nouveaux statuts, de remettre de l’ordre dans la gestion du CRT et de s’approcher à des jeunes professionnels pour les impliquer à la gestion. C’est désormais chose faite, bien faite même, dans une coordination parfaite entre les trois past président : Salah Eddine Benhammane, Guy Marrache et Said Scally
Lors de cette AGOE, à laquelle avaient assisté de nombreux professionnels, en présence du Wali d‘Agadir et du Président du Conseil Régional, ont été adopté à la fois la liste du Nouveau Conseil d’Administration et la liste du nouveau bureau exécutif, et ce pour la période 2023/2026. Une responsabilité de gestion directe par un duo : M. Benhamane, en tant que président et M. Marrache en tant que président délégué.
La liste du nouveau Bureau Exécutif se présente comme suit :
Salah Eddine BENHAMMANE, président
Président Délégué : Guy MARRACHE
Said Scally Past Président : Conseiller
Brahim OUAKHIR : Conseiller
Vice-Président : Abdelhaq CHAHLI
Mohamed CHERKAOUI : Dg SAPST
Abdelhakim SABRI : Pdg Zolado
Secrétaire Générale : Meryam EL OUAFI / Pdg Chems Ayour
Secrétaire Adjoint : Younes EL OUFI / Dg Paradis Plage
Trésorier Général :Sana ARABAB / Pdg Times Travel
Trésorier Adjoint : Mohamed AQQA / Dg Sofitel Thalassa .
« Monsieur le Wali de la Région Souss Massa Monsieur le Président du Conseil Régional Souss Massa Mesdames et Messieurs
Au terme de ma mission, permettez-moi de réitérer respectueusement mes remerciements à vous Monsieur le Wali, à Monsieur le Président du Conseil Régional, à Monsieur Mustapha BOUDERKA en personne et à travers lui à Monsieur Aziz AKHANNOUCH.
Mes remerciements aussi à Messieurs les Secrétaires Généraux de la Wilaya ainsi qu’aux proches collaborateurs du cabinet de Monsieur le Wali. Merci à eux.
Monsieur le Wali,
J’ai eu l’honneur et le plaisir de connaitre et d’échanger avec les nouveaux Elus qui n’ont ménagé aucun effort d’apporter leur sou en moral et surtout leurs conseils, OH ! combien u les.
Merci à Monsieur Bouderka, merci à Monsieur Boukhenfer et Merci à Monsieur Driss BOUTTI.
Cette mission m’a aussi permis de rencontrer et de connaitre des jeunes professionnels du Tourisme de la Région qui sont présents avec nous ce jour.
Comme vous l’avez constaté sur la liste du Conseil d’Administration proposée par le Binôme composé « des deux grands professionnels du tourisme », Messieurs Salaheddine Benhammane et Guy Marrache, je vous confirme que j’ai ressens un vrai engouement de ces jeunes et une farouche volonté de se joindre à ce e nouvelle dynamique grâce à la confiance créée par la mission du Comité transitoire que j’ai eu l’honneur de présider.
Il est à noter que ces jeunes professionnels ont émis le désir de s’inscrire à la stratégie régionale pro-active et « non réactive », impliquant l’ensemble des par es prenantes pour le développement du tourisme de la Région et la conditionne à prendre en considération tout le travail accompli et qui doit servir comme base de départ du nouveau Bureau Exécutif.
Permettez-moi de rappeler que ce n’est pas avec du consensus et de vouloir ménager sans arrêt les suscepbilités que nous pourrons avancer.
Par contre, la présence physique du Président ou du président Délégué au siège du CRT au minimum quelques heures par semaines est impérative.
Les réunions du Bureau Exécutif ou des rencontres des partenaires et prestataires selon l’agenda des rendez-vous confirmés doivent être tenues au siège du CRT.
Ne pas perdre son temps à avancer des arguments de bonne foi face à des gens de mauvaise foi.
La bataille pour la réussite est de ne jamais abandonner avant d’avoir coché toutes les cases des engagements pris par le Président du Comité Transitoire et avoir assez de clairvoyance sans avoir jamais à faire appel au "VAR"
Mesdames et Messieurs
Je quitte aujourd’hui en laissant un CRT avec des statuts votés à l’unanimité.
Une situation financière et un bilan qui nous honorent tous
Aucun fournisseur ou prestataire en a ente de son règlement à fin juillet
Aucun litige avec aucun organisme ou institution
Le plan d’action avec l’ONMT renégocié avec des engagements de part et d’autre, simple, claire, précis mais qui nécessite un suivi rigoureux
Le CRT d’Agadir aujourd’hui est un modèle en son genre sur le plan national par sa trésorerie, sa régularité vis-à-vis des impôts, CNSS et surtout par sa gestion dans la légalité et le respect de toutes les conditions imposées par la Cour des comptes pour les Associations bénéficiant de subventions des deniers publics.
Je reste à la disposition de votre honorable Assemblée, si besoin de mon humble participation, pour le développement du tourisme d’Agadir
Avant de clore mon mot d’Adieu, tous mes vœux de succès à mes successeurs. Et vous remercie pour votre aimable attention. »
Reste à préciser que le CRT, dans sa nouvelle responsabilité, comme le prévoit les nouveaux textes réglementaires, doit prendre sérieusement en compte la dimension Régionale du CRT. C’est un Conseil Régional et non un Conseil touristique de la destination Agadir, exclusivement. D’où une stratégie de gestion touristique régionale qui doit être adoptée, avec des visites de terrain et une collaboration avec les professionnels du secteur et les élus et les autorités, de toutes les provinces de la Région Souss Massa.
Bien conscient de sa responsabilité régionale, Karim Achengli, en tant que Président du Conseil Régional, avait pris la parole pour souligner cette dimension régionale du CRT, qui doit être à la fois effective et dynamique, d’autant plus que toutes les provinces de la Région ont une vocation touristique indiscutable, offrant un arrière pays et des potentialités touristiques rurales et autres qui restent inexploitées., malheureusement marginalisées depuis des années.
C’est la bonne occasion avec la création de ce Nouveau CRT nouvelle formule, de tirer un trait avec le passé et d’engager la dynamique de développement et de promotion touristique nécessaire pour une mise à niveau effective du secteur du tourisme dans toutes les provinces de la Région Souss Massa.
Med RIAL
Un peu partout dans le monde, on tient chaque an un carnaval spécifique aux traditions séculaires de telle ou telle contrée. De Rio de Janeiro au Brésil, de Jakarta en Indonésie, de Lisbonne au Portugal, de Cadix en Espagne, de Tenerife aux Îles Canaries et bien d’autres, les carnavals constituent un moment de liesse et d’allégresse. Dans la province d’Inezgane Aït Melloul, la société civile tient aussi le sien, chaque année dans les artères des villes et places de D’cheira et Inezgane pour pérenniser ce rituel annuel, juste après l’Aïd Al Adha
Mais, à coup sûr, en cette présente occasion, l’imagination s’est résolument manifestée puisque les initiateurs ont donné libre cours à leur substance grise pour enfanter des prestations encore plus hallucinantes aussi bien dans la forme que dans le contenu. C’est ainsi qu’on a mis en marche un défilé grandiose, digne des somptueux carnavals de la planète, avec des marges interminables de plus de quatre mille participants, vêtus en parures burlesques et de tuniques renvoyant aux ancêtres amazighs et aux rites de l’antiquité, en matière d’objets et d’outils à connotation historiques. Après cette chevauchée fantasmagorique, les exhibitionnistes se rendent dans la grande esplanade splendidement pavoisée en la circonstance, en vue d’y tenir des prestances artistiques, sous les ovations délirantes du public.
Il convient de souligner que ce carnaval auquel les autorités, les forces sécuritaires, les composantes de la province prêtent assistance, se déroule dans l’ordre total et la sécurité parfaite, dans le moindre incident qui puisse perturber son déroulement, en dépit de réticences émises par certaines réactions contestataires. Il n’en demeure pas moins évident que le carnaval Boujloud qu’on appelle également Bilmaoun Bidmaoun, aura représenté, cette année plus particulièrement une force créative hors pair, à travers des trouvailles de haute facture et de ce fait, répond à toutes les réserves des détracteurs. Il va sans dire pareillement que cet esprit inventif dont a fait preuve une flopée de jeunes créateurs, a bien imprimé à cette fiesta tout le rayonnement requis, puisque les grandes foules qui ont suivi de bout en bout, le cortège chatoyant de couleurs et d’expressions, se sont montrées hilarantes tout au long de ces festivités. Face a l’ampleur spontanée que revêt ce cérémonial ancestral, il est judicieux d’en receler les origines, les natures et les raisons qui ont incité à la commémoration de ce symbole de manière discontinue et progressive, au fil des ans. Les historiens ou encore les sociologues et les anthropologues sont appelés à dénicher le secret de ce rassemblement qui, au début, se limitait à se vêtir des peaux d’ovins au lendemain de la fête du sacrifice et s’exhiber dans les rues des quartiers pour effrayer les petits enfants.
Mais, à présent, le carnaval s’approprie de dimensions beaucoup plus porteuses d’interprétations historiques, à travers l’émergence géante des personnalités amazighes. A ce rythme, le carnaval aura sans nul doute, des retombées positives sur le tourisme régionale, tel que celui Cologne en Allemagne, de Londres de la Grande Bretagne, du Québec au Canada ou de la Barbade aux Caraïbes…
Par Lamalki Saoudi
Le site spécialisé dans les actualités et les statistiques des visas de la zone Schengen, « Visa Schengen« , a récemment publié sa liste finale des pays dont les demandes de visa ont été les plus souvent refusées l’année dernière. Parmi ces pays, le Royaume du Maroc se distingue en enregistrant plus de 119.000 demandes refusées, avec un taux de refus dépassant les 15 %.
En tête de cette liste qui inclut cinq pays arabes, l’Algérie occupe la première place avec plus de 179.000 demandes de visa Schengen refusées en 2022. Le taux global de refus des demandes algériennes atteint 45,8 %.
Outre l’Algérie, la liste comprend également la Tunisie, qui a vu plus de 48.000 demandes refusées, soit un taux de refus d’environ 29 %. Les Émirats arabes unis ont également été mentionnés, avec plus de 42.000 demandes refusées, ainsi que l’Égypte, avec plus de 31.000 demandes refusées pour l’obtention de visas Schengen.
Parmi les pays non membres de l’Union européenne, la Turquie a enregistré un taux de refus de 15,2 %, ce qui équivaut à plus de 120.000 demandes refusées. La Russie suit avec environ 69.000 demandes refusées, soit un taux de refus de 28,2 %.
En ce qui concerne les pays asiatiques, l’Inde se classe en tête des pays dont les demandes de visa ont été refusées, avec environ 121.000 demandes indiennes rejetées, soit un taux de refus de 18 %. Elle est suivie par la République islamique d’Iran, où environ 33.700 demandes ont été refusées l’année dernière.
Le Nigeria est le seul pays d’Afrique de l’Ouest figurant sur la liste établie par le site « Visa Schengen« . Les autorités européennes ont refusé plus de 39.000 demandes en provenance de ce pays pour l’espace Schengen, avec un taux de refus d’environ 46 %.
La même source indique une augmentation des taux de refus des visas Schengen par rapport à l’année précédente. Par exemple, le taux de refus des visas pour les Algériens était de 32 % en 2021, contre 45,8 % en 2022.
Dans le même contexte, le site a enregistré que les dix pays présents sur la liste ont dépensé environ 64 millions d’euros l’année dernière pour plus de 804.000 visas refusés, comparé à l’année 2021. Les dépenses liées aux visas refusés ont dépassé les 273.000, atteignant environ 19 millions d’euros, conclu la même source.
Source: HESPRESS