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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Estimé à environ 50 MDH, le Musée du patrimoine amazigh remplacera celui déjà existant à proximité du futur Parc urbain Al Inbiâat et du Grand théâtre d’Agadir. Ce projet sera érigé derrière le Mur du souvenir dans l’aire de sauvegarde principale du centre-ville d’Agadir. Il offrira une nouvelle expérience muséale à côté du Musée de la reconstruction et de la mémoire et celui de Timitar au cœur de la zone touristique.


PDU d’Agadir : le Musée du patrimoine amazigh déménage
Prévu à proximité de la future place du souvenir, la réalisation du nouveau musée amazigh est arrivée au stade du concours architectural. Estimé au maximum à 50 MDH, ce projet culturel, qui sera érigé derrière le Mur du souvenir, sera construit sur une superficie de 3.000 m2, à proximité de l’avenue Moulay Abdellah, sur la façade nord de la place de l’hôtel de ville d’Agadir.

 

Selon les dispositions du plan d’aménagement sectoriel et de sauvegarde du centre urbain et du secteur touristique et balnéaire d’Agadir, le terrain en question est réservé à un équipement socio-collectif, notamment un musée. Il se situe dans l’aire de sauvegarde principale du centre-ville d’Agadir qui est le principal noyau patrimonial initié par le Haut-commissariat de la reconstruction d’Agadir. En attendant le lancement des travaux prévus au cours du second semestre 2022, la Société de développement local Agadir Souss-Massa Aménagement, qui en est le maître d’ouvrage, a déjà lancé le concours architectural pour la construction du musée du patrimoine amazigh à la ville d’Agadir portant à la fois sur les études architecturales, muséographiques et le suivi des travaux de construction de ce projet.

Offrant une nouvelle expérience muséale à côté du Musée de la reconstruction et de la mémoire et celui de Timitar au cœur de la zone touristique, le Musée du patrimoine amazigh d’Agadir sera un équipement culturel dans le cadre du PDU d’Agadir, notamment son cinquième volet afférent à la promotion culturelle et la mise en valeur du patrimoine et des lieux de culte.

L’inventaire des collections déjà réalisé

Lieu chargé d’histoire et surtout de mémoire ancestrale, ce musée permettra de contribuer à la promotion du patrimoine amazigh à travers la création d’un nouvel espace spécifique à la portée du public. Pour rappel, la destination Agadir dispose déjà du Musée municipal du patrimoine amazigh qui est érigé à proximité de la zone abritant le futur Parc urbain Al Inbiâat, mais aussi du Grand théâtre et du Théâtre de verdure en cours de réhabilitation.

Selon le maître d’ouvrage du projet, l’objectif visé est de doter ce musée d’une empreinte écologique où l’utilisation des énergies renouvelables, l’usage rationnel des eaux ainsi que les espaces verts seront pris en considération et respecteront les normes en vigueur.

 Le programme physique prévu de ce projet englobe plusieurs composantes, notamment les activités d’accueil regroupant un espace d’accueil et une boutique, un espace de billetterie, un restaurant amazigh, en plus d’une tonnelle et d’une boutique sous forme d’aire de vente. Pour les activités principales, elles comprennent les expositions temporaires, un auditorium, une «place publique», des ateliers pédagogiques, des espaces de présentations permanentes pour les collections et une bibliothèque à accès libre.

A cela s’ajoutent les activités logistique, administrative et technique, ainsi que des espaces extérieurs. Déjà, l’inventaire des collections a été établi en fonction de plusieurs thèmes du patrimoine amazigh conformément à un parcours muséographique didactique.

Une offre muséale dédiée

Par ailleurs, le projet permettra, à travers l’aménagement de la Place du souvenir, de valoriser le Mur du souvenir où est inscrite la déclaration du Roi Mohammed V au lendemain du séisme qui a frappé Agadir, lundi 29 février 1960 : «Si le Destin a décidé de la destruction d’Agadir, sa reconstruction dépendra de notre foi et de notre volonté…». Cette déclaration, ornée de calligraphie arabe, est présentée sous forme de gravure incrustée dans le mur en béton. Elle est l’œuvre de l’architecte Verdugo en 1968.

Pour rappel, la première pierre du chantier de reconstruction d’Agadir avait été posée par le roi Mohammed V, le 30 juin 1960. Et le suivi de la tâche confié au prince héritier, Moulay Hassan, sous l’égide du Haut-commissariat à la reconstruction d’Agadir (HCRA). Outre l’aménagement de la Place du souvenir et la construction du Musée du patrimoine amazigh, le PDU d’Agadir a prévu d’autres projets culturels dans le cadre de la protection et la valorisation de cet aspect.

 Il s’agit de la création du Musée de la reconstruction et de la mémoire de la ville d’Agadir qui permettra aussi de préserver la mémoire collective de la ville. Le choix du lieu abritant ce musée s’est porté sur l’ancien siège de Bank Al-Maghrib, un bâtiment datant de 1950 construit par l’architecte François Louis Lemarié (1902-1996), qui a été épargné lors  du tremblement de terre grâce à des fondations s’apparentant à des structures parasismiques.

Après avoir abrité les services de la Banque centrale dans le passé, il est en cours de réhabilitation selon sa typologie initiale, tout en lui donnant une nouvelle vocation muséale. Le parcours de visite comportera plusieurs sections consacrées au choc du séisme et à la reconstruction de la ville, puisque le musée mettra aussi en valeur le défi relevé de la reconstruction de la ville.

 À noter que les travaux de reconversion et de réhabilitation de l’édifice nécessiteront un investissement global de 41,5 MDH. Parmi les projets muséaux très attendus figure aussi le musée de Timitar, qui signifie «signes» en amazigh.

Cette infrastructure culturelle, avec son architecture distinguée et particulièrement moderne, donnera une nouvelle impulsion à la zone touristique de la destination Agadir et à son offre culturelle.

Yassine Saber / Les Inspirations ÉCO

 

Par Med Mohamed Rial le Dimanche 17 Avril 2022


L’image donnée sur la promenade de la plage, avec des ouvriers ramassant le sable avec des pelles et des brouettes, est vraiment désolante et constitue une honte pour la promotion de la destination. Tous les touristes qui se promènent sur la promenade regardent ce travail fait à la sous-développé pure et dure.


Agadir Plage Le sable sur la promenade, ramassé par des pelles et des brouettes : Chouhaaa
En effet, le conseil communal ferait mieux de faire ce travail de ramassage du sable, qui dérange les visiteurs et qui dénote un laisser aller flagrant en matière de maintenance d’une promenade sollicitée à la fois par les touristes comme par les locaux et autres visiteurs… par des moyens efficaces appropriés.
 
 Voir tous ces ouvriers faire des allers et retours pour ramasser du sable à l’aide des pelles et brouettes, sous le soleil, en plein ramadan, est une image qui  gène les passants, surtout avec une belle chaleur du printemps que connaît Agadir, en voyant tous ces ouvriers travaillant durement. Une fatigue est lisible sur leur visage, reflétant une désolation et une géne certaines.
 
  En effet, le travail aurait été fait de loin beaucoup mieux à l’aide des engins mécaniques spécialisés, et à un moment qui ne dérangent pas les visiteurs. Hélas les dirigeants de la Commune Urbaine, pensent autrement, faute d’une bonne gestion de la corniche qui devrait être un point positif de plus pour la promotion de la destination balnéaire, tout particulièrement après la reprise des arrivées touristiques.

 Nous rappelons à ces messieurs de la gestion communale que la prévention et la gestion des catastrophes est un savoir faire pratique qu’ils doivent apprendre et exercer, avec les moyens appropriés qu’il faut.  La plage avec sa promenade sont les atouts principaux du produit touristique. Malheureusement, depuis la réalisation de cette promenade, aucun conseil communal passé n’avait donné l’importance qu’il fallait à ce lieu, unique en son genre dans le Souss Massa.
 
  L’ensablement du sable dans la plage et sur la promenade va en augmentant avec les années, du fait d’un manque efficace de lutte contre ce phénomène dont principalement la réalisation en mer des brises vagues, comme ceux installés en 1970 en face du Club Med, et qui avaient bien préserver cette partie de la plage. EN réalisant des brises vagues sur trois endroits en mer face à la plage, le phénomène de l’envahissement du sable serait réduit sérieusement. Bien sûr cela coûte de l’argent et il faut un budget conséquent pour ces gros œuvres sen mer. « On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs »… Car si on ne fait rien, la plage finira par être un jour envahie totalement, rendant son utilisation problématique, voire impossible constituant une produit anti promotionnel pour la destination.
 
  En parlant de la plage et de la baignade, il est tout de même malheureux de remarquer que les Conseil Communaux précédents, n’ont jamais compris que la destination Agadir est une destination d’hiver et que la plage revêt un plaisir énorme en hiver, quant les températures en Europe sont basses. Or pendant cette période, aucun maître nageur ne s’occupe de la plage. Or des surveillants spécialisés dans le sauvetage en baignade doivent être bien répartis sur toute la longue de la plage. Le comble de l’absurde est que même si le drapeau noir est hissé les visiteurs se baignent en toute quiétude. C’est vraiment surréaliste.
 
IL est inconcevable de laisser l’atout principal touristique, presque à l’abandon faute d’une gestion défaillante durant des années. La preuve tous ces palmiers décoratifs qui meurent devant tous ; aucun système de nettoyage moderne et efficace, des poubelles qui datent de plusieurs années. UN laisser horrible qui ne doit plus exister avec la nouvelle corniche en vue dans le cadre des travaux d’aménagement du PDU (Plan du Développement Urbain).
 
  La plage et la promenade doivent être assurés par une équipe spécialisée dédiée, toute l’année, avec les moyens appropriés nécessaires ; à l’instar des pays balnéaires touristiques qui accordent la vraie importance à l’atout d’une plage. Allez voir messieurs comment procèdent les responsables élus des plages de Las Palmas ou de Tenerife. Et plus Faites du copier-coller et vous allez rendre un grand service à Agadir, à la destination balnéaire et aux professionnels du tourisme qui ne ménagent aucun effort et aucun moyen possible pour la bonne promotion de la destination.

A bon entendeur, salut.

Med RIAL
 

 

Agadir Plage Le sable sur la promenade, ramassé par des pelles et des brouettes : Chouhaaa

Santa Cruz de Tenerife
Santa Cruz de Tenerife

Par Med Mohamed Rial le Dimanche 17 Avril 2022


L’ONMT et la CNT viennent de signer une convention de partenariat pour mettre en place la dynamique de relance. Les deux institutions mettent ainsi en commun leurs atouts pour dynamiser l’action commerciale et préparent une offensive sur les marchés tout en mettant un plan d’action sur la digitalisation, le tourisme interne, et la compétitivité


Tourisme  Promotion /Jamais l’ONMT et la CNT n’ont été aussi unis !

L’Office National Marocain du Tourisme et la Confédération Nationale du Tourisme ont signé, aujourd’hui, vendredi 15 avril 2022, à Casablanca, une convention, première du genre, portant sur plusieurs volets déterminants pour la relance, qui concernent aussi bien l’attractivité du secteur que le tourisme interne, l’ innovation et .

Pour Adel El Fakir, DG de l’ONMT : « La relance du tourisme passe inéluctablement par une mobilisation générale et harmonisée de toutes les forces vives du secteur. Ce partenariat symbolise  la volonté de l’Office de travailler  main dans la main avec l’ensemble des opérateurs du tourisme pour que nous relevions ce défi ensemble ».

  

Parmi les principales initiatives de cette convention, la création de deux Task Force visant à renforcer la présence de la destination Maroc auprès des prescripteurs de voyage internationaux :
– Une Task Force compétitivité internationale qui aura pour mission d’aller à la rencontre des marchés pour rassurer et retrouver la confiance des opérateurs internationaux.
– Une Task Force Produit dont la vocation sera de mettre en valeur les leviers permettant de hisser le Maroc aux meilleurs rangs des destinations compétitives au niveau international aussi bien pour le Golf, le MICE, les croisières, les sports nautiques, la nature et la randonnée…

Pour Hamid Bentaher, Président de la CNT: « A travers ce nouveau partenariat, nous œuvrons à épauler les acteurs du tourisme afin de renforcer la compétitivité marocaine. Nous posons ainsi les jalons qui permettront de forger une industrie plus résiliente, plus créative, et plus apte à relever les défis de la relance. »

 

Ce partenariat permettra, en outre, aux deux parties d’unifier leurs efforts en vue de former une force de frappe vis-à-vis de la concurrence internationale et d’amorcer les challenges de la relance du secteur touristique au niveau national et international.

L’Office et la Confédération s’engagent également à œuvrer au renforcement du tourisme interne, en mettant en commun leurs expertises pour développer des solutions innovantes et pratiques aux problématiques liées à la distribution.

 Enfin, l’ONMT se donne pour mission d’accompagner la digitalisation du secteur en formant les opérateurs nouvellement digitalisés au marketing digital et en sensibilisant à l’importance du Big Dataet de la présence sur la toile...

Source Tourisme Post


Tourisme  Promotion /Jamais l’ONMT et la CNT n’ont été aussi unis !

Par Med Mohamed Rial le Vendredi 15 Avril 2022


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