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Pour les voyageurs en quête de soleil en hiver, d’adresses intimistes pour leurs séjours, de parcours inédits de visite ou qui souhaitent partir à l’assaut des mers du monde entier… le Salon des Grands Voyages ouvrira ses portes, les 18 et 19 novembre 2022. Pour sa seconde édition, le rendez-vous du voyage exclusif a choisi le Palais Brongniart comme nouvel écrin d’une offre de voyages sur mesure et de séjours haut de gamme, à l’étranger et en France .
L’exception comme leitmotiv
Réunis sur 1900 m² d’exposition, les 80 exposants (agences de voyages, offices de tourisme français ou étrangers, croisiéristes, hébergements…) accompagneront les 4 000 visiteurs attendus dans l’élaboration de séjours haut de gamme et de voyages sur mesure.
Ces derniers n’auront que l’embarras du choix pour trouver un voyage de noces, un tour du monde, une grande traversée, un circuit entièrement personnalisé et privé ou une évasion hors des sentiers battus… avec l’assurance de bénéficier des conseils et de l’accompagnement des meilleurs experts.
En complément de l’espace d’exposition, le salon proposera des conférences aux thématiques inédites : destinations à découvrir sous un angle insolite et privilégié, séjours d’exception ou sur-mesure, voyages à faire au moins une fois dans sa vie…
Les attentes exposants (édition 2019)1
En participant à la première édition, les exposants souhaitaient développer leur notoriété auprès d’un public exigeant en quête de séjours hors du commun (97 %) et conquérir une nouvelle clientèle (79 %). Avec un taux de satisfaction de 76 %, ils avaient particulièrement apprécié le positionnement de l’événement et le choix d’une clientèle qualifiée. 50 % d’entre eux avaient d’ailleurs fait part de leur souhait de participer à la seconde édition.
Profil visiteurs (édition 2019)2
En 2019, le salon avait comptabilisé 3 042 visites. D’un âge moyen de 61 ans, les visiteurs du Salon des Grands Voyages étaient actifs à 36 % et retraités à 55 %. 91 % étaient franciliens. Possédant un panier moyen de 5 080 euros, dont 42 % supérieur à 5 000 euros, 85 % d’entre eux venaient avec un projet de voyage et 16 % avaient réservé leur séjour sur place ou prévoyaient de le confirmer dans les 15 jours.
Informations pratiques
Vendredi 18 au samedi 19 novembre 2022
Palais Brongniart
Horaires : de 10h à 19h - nocturne vendredi soir jusqu'à 20h
Entrée : 8€ uniquement en pré vente
www.grands-voyages.com
Par Stéphane BARTHELEMI
Ils sont nombreux à figurer sur les sites internet, les façades des hébergeurs ou même les plages. Depuis maintenant 30 ans, les labels se développent dans le tourisme, pour guider les voyageurs vers des destinations plus respectueuses de l'environnement. D'après GlobalData, les écolabels vont gagner en importance dans le secteur du tourisme, surtout que le secteur devra de plus en plus montrer patte blanche quant à son impact sur l'environnement.
Apparues dans les années 90, ces certifications ne cessent de se développer.
"La conscience sociale devient de plus en plus importante sur ces thèmes. Je pense que les questions environnementales dans le tourisme vont arriver bien plus vite que nous l'avions imaginé," nous expliquait Paul Arseneault, le vice-président du MT Lab.
S'il ne faut pas tomber dans le greenwashing, ces mises en avant et leurs développements mettant surtout en avant une chose : le consommateur souhaite une offre toujours plus durable.
D'après GlobalData, les écolabels vont gagner en importance dans le secteur du tourisme.
"L'adoption de badges, démontrant des performances plus ou moins élevées concernant les repères environnementaux, fait que les affirmations de durabilité des entreprises semblent plus dignes de confiance.
Cela augmentera la demande pour leurs produits et services," commente Ralph Hollister, analyste des voyages et du tourisme chez GlobalData.
Et c'est aussi tout l'enjeu de ces certifications : apporter de la transparence pour aider le voyageur dans ses choix.
Surtout que d'après le cabinet d'analyse près 75 % des consommateurs mondiaux étaient d'accord pour rendre obligatoire l'introduction de labels de durabilité sur les produits.
Dans un secteur aussi marketé qu'est le tourisme, avec des firmes multinationales, les écolabels doivent aussi apporter une information sûre.
Un peu à l'image de l'électroménager, le voyage pourrait bien voir ses fiches produits notées en fonction de leur impact sur l'environnement et sur sa durablité (dimension sociale).
"Que ce soit par la création d'écobadges indépendants ou par l'adoption de labels décernés par des fournisseurs d'accréditation externes, les entreprises de voyage et de tourisme doivent s'efforcer d'obtenir ces labels de qualité qui renforcent la transparence, augmentent les revenus et favorisent la durabilité," poursuit l'analyste.
A noter que l’Écolabel européen créé en 1992 est sans doute l'une des valeurs les plus sures du secteur. Il est d'ailleurs le label écologique officiel européen utilisable dans tous les pays membres de l’Union Européenne.
Délivré en France par l'AFNOR, le label officiel de la Commission européenne distinguant les hébergements touristiques respectueux de l’environnement repose sur différents critères étudiés à la loupe.
Rédigé par Romain POMMIER
L'enquête sur le tourisme durable de Booking.com a été réalisée auprès de plus de 30 000 voyageurs dans 32 pays différentsBooking.com, le spécialiste de la réservation de voyages en ligne, a publié l'édition 2022 de son enquête sur le tourisme durable. Celle-ci révèle une augmentation générale de la conscience environnementale des voyageurs français par rapport à l'année précédente.
En effet, 72 % des voyageurs français confirment l’importance pour eux de voyager de manière durable, tandis que 43 % déclarent que les actualités liées au changement climatique les ont inspirés dans leur choix de voyages plus durables ; des pourcentages en augmentation en comparaison aux données collectées par Booking.com en 2021.
Fait encore plus encourageant, 27 % des voyageurs affirment avoir séjourné dans un hébergement durable au cours de l’année écoulée.
Concernant ce sujet, il reste des efforts à fournir pour faciliter la recherche de séjours plus durables.
Par ailleurs, b 25 % des Français révèlent qu’ils ont préféré voyager en basse saison pour éviter le tourisme de masse]b. Selon l’étude de Booking.com, près d’un 1/3 des français sont même prêts à ne plus partir qu’en basse saison ou à changer de destination pour éviter les foules.
Toutefois, 42 % des personnes interrogées déclarent avoir du mal à trouver des destinations qui soient à la fois attractives et moins fréquentées.
Enfin, les transports sont pris en compte par les voyageurs dans l’équation durable de leur expérience de vacances. Près d'un quart (24 %) des touristes expliquent qu’ils ont choisi une destination plus proche de leur domicile pour réduire leur empreinte carbone au cours des 12 derniers mois.
Autre information : plus de 100 000 établissements dans le monde sont désormais reconnus pour leurs pratiques durables et marqués d’un badge Établissement Voyage Durable sur Booking.com.
L’entreprise a également continué à augmenter le nombre de certificats et de labels délivrés par des organismes tiers : Green Tourism, Green Hospitality, Fair Trade Tourisme…
Rédigé par Tom Villeneuve