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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


La décision de l'organisation d’un road show dans les principales villes allemandes du 21 au 23 juin 2022, selon le communiqué de l’ONMT, n’est pas seulement inappropriée mais absurde. Car la date choisie, n’est pas convenable, étant donné que lors du mois de juin, les professionnels du tourisme en Allemagne, sont plus branchés sur leurs propres vacances que celui d’assister à un évènement de promotion d’Agadir


Agadir  Tourisme / Promotion / marché allemand. L ONMT propose un roadshow en juin.  Une Décision inappropriée…
 L’ONMT précise : «  Les thématiques retenues pour ce roadshow seront le balnéaire et culturel avec comme itinéraire Munich (21 Juin), Francfort (22 Juin) et Cologne (23 Juin). » A bon car il n’y a en Allemagne que trois grandes villes importantes pour un grand marché européen. Nous rappelons aux « Décideurs » de l’ONMT que l’Allemagne est, non seulement le premier marché européen émetteur de touristes, mais que l’Allemagne renferme, en matière de tourisrme, les quatre grands TO mondiaux.
 
  Moralité toute décision qui concerne ce marché doit être discutée et acceptée par les professionnels gadiris ( réceptifs, agents de voyages et hôteliers) pour réussir les opérations de la promotion de la destination Agadir, comme il se doit, avec le professionnel qu’ il faut. Hélas ce n’est pas le cas. La « dictature » administrative de l’ONMT, fait loi, avec un délai conclu «Nous devons impérativement recevoir les confirmations au plus tard le 14 avril. » Bref c’est à prendre ou à laisser. Merci pour la concertation. Nous rappelons aux responsables de l’ONMT que nous avons à Agadir des professionnels qui travaillent avec le marché allemand depuis plus de 35 ans. Certains d’eux eux, la grande majorité, participent à l’ITB Berlin ( le plus grande foire touristique mondiale) depuis plus de 35 ans.
 
  Alors messieurs les décideurs de l’ONMT, soyez humbles et prenez l’avis des professionnels chevronnés en évitant des erreurs stratégiques, de promotion en Allemagne, inappropriées, qui ne conduisent qu’à la contre promotion. ET pendant qu’on y est, tous les professionnels marocains qui travaillent avec le marché allemand, sont vraiment intrigués, voire choqués pour la grande majorité d’entre eux, d’avoir appris qu’un nouveau délégué de l’ONMT, a été nommé, en provenance … de Dakar. Waw le grand choix et l’ultime décision. De quoi rendre inquiétants plus d’un professionnel à ce sujet.

   Le nouveau délégué vient de Dakar, donc sans savoir aucune expérience dans le domaine de la gestion et de la collaboration avec des TO allemands. Plus grave encore le nouveau délégué ne parle pas un seul mot d’allemand. Quelle contacte et qu’elle promotion, voire quel partenariat va-t-il conclure. Cela nous rappelle pour l’histoire à un ex-délégué parachuté à Berlin, ne parlant pas une phrase en allemand. Complication avec son caractère spécial en matière de relations humaines, il avait détruit le marché allemand en deux ans.
 
  Ce qui dérange énormément, voire qui rend furieux, c’est d’avoir appris que le nouveau délégué n’a pas le profit convenable pour le poste à Berlin. Pire il remplace un grand professionnel qui a toujours vécu en Allemagne, qui parle parfaitement l’allemand et qui avait fait du beau travail en s’occupant de l’Allemagne mais aussi de l’Autriche et le Suisse Germanique, qui a té nommé à Londres pour coiffer le marché scandinave. IL s’agit bien sur de Karim Harrouchi. Ecouter il y a des limites à l’absurde. ON ne chance, jamais en matière de bonne gestion, une équipe qui gagne. Les méandres administratives de l’ONMT sont floues comme toujours et restent impénétrables vivement dénoncées par les professionnels depuis des années, en vain. Mais à qui le dire ?
 
  On ne peut conclure ce chapitre de promotion de l’ONMT à l’étranger sans soulever l’autre grande aberration de Moscou, avec la fermeture de la délégation et le renvoi de Sami Soussi un grand professionnel qui a toujours vécu à Moscou, parlement couramment le russe et  possédant un bon carnet d’adresses des TO et professionnels russes, car il opérait dans le tourisme avant sa nomination en tant que délégué en Russie et des pays limitrophe. Messieurs les décideurs de l’ONMT, sachez bien que la chaise vide en matière de promotion dans les principaux marchés émetteurs de touristes envers le Maroc, joue en faveur de nos concurrents directs.
 
  A titre d’exemple, la Tunisie déploie toujours 14 personnes à Moscou pour la promotion du marché tunisien. Nos illuminés ferment la représentation de Moscou et renvoient le délégué, qui déjà travaillé avec des moyens limités, mais qui a développé sérieusement le marché ruse à destination du Maroc. Allez-y comprenez quelque chose. Nous sommes en plein hystérie administrative.
 
 Dieu nous préserve de ce qui va se décider dans l’avenir proche. Dernier rappel, l’ONMT pompe le budget de son fonctionnement des taxes de taux de séjours qui proviennent des hôtels ; ce qui est une aberration, car cet argent doit revenir, de ce fait, au CRTS pour programmer les actions de promotion qui cadrent avec les différentes destinations touristiques du pas : Agadir, Marrakech, Fès… et les autres, évidement. Et non pour pays les employés de l’ONMT.
 
 Sans rancune aucune. A Bon entendeur, salut.
La vérité blesse, n’empêche que c’est la vérité : que l’on accepte ou non.
 
 
Med RIAL
 

 

Par Med Mohamed Rial le Vendredi 8 Avril 2022


UNE PREMIÈRE DU GENRE ! UNE DÉMARCHE QUI CONSISTE À RÉALISER EN CONCERTATION AVEC LES CITOYENS DES PROJETS DANS LES QUARTIERS SOUS-ÉQUIPÉS. UNE ENVELOPPE DE 15 MILLIONS DE DH PRÉLEVÉE SUR LE SOLDE BUDGÉTAIRE RÉEL 2021 SERA ALLOUÉE À CET EFFET.


Développement : La Commune urbaine d’Agadir met en place un budget citoyen

La Commune urbaine d’Agadir se veut plus à l’écoute des désidératas des habitants de la ville. Dans une démarche de proximité et participative, la collectivité innove en mettant en place un budget citoyen pour la réalisation de projets dans les quartiers sous-équipés, et ce, en concertation avec les habitants de ces quartiers.

Ce sont ainsi quinze millions de DH qui vont être prélevés sur le solde budgétaire réel 2021 pour être affectés à ces futurs chantiers. Auparavant, un sondage auprès de la société civile dans des quartiers concernés sera réalisé pour l’identification des projets. La démarche est novatrice et première du genre au sein d’une collectivité locale. Les années à venir le budget citoyen devrait être plus important, a souligné le président de la Commune urbaine, Aziz Akhannouch, lors d’une réunion du Conseil communal.

En attendant, la collectivité urbaine étudie la programmation du solde budgétaire réel de l’exercice 2021. Les élus continuent aussi à travailler sur le dossier de recours à l’emprunt obligataire. L’appel d’offres pour le choix de la banque d’affaires qui devrait accompagner la collectivité pour la levée de fonds est arrivé à échéance jeudi 30 mars.

 L’établissement bancaire qui sera retenu devra notamment réaliser les opérations de dues diligence, c’est-à-dire les audits et études préalables pour la mise en place de l’emprunt obligataire. Le tout devrait nécessiter environ trois mois pour arriver à la levée de fonds sur le marché, indique un élu. Le montage définitif de l’opération devrait être validé lors d’une prochaine session du Conseil communal.

  Pour rappel, lors de la session de février dernier, les élus ont voté à la quasi-unanimité en faveur de la solution du recours à un emprunt obligataire oscillant entre 800 MDH et 1MMDH. Ce projet est d’importance pour renforcer les ressources financières de la collectivité. Soulignons dans ce contexte, que la collectivité locale dispose d’une enveloppe globale de recettes de fonctionnement de plus de 550 MDH, soit une hausse de 8,51% par rapport à l’exercice précédent.

 Dans ce budget, un montant de 408 millions de DH est alloué aux dépenses de fonctionnement. Le solde budgétaire prévisionnel est ainsi de 142 millions de DH, soit un accroissement de 33% par rapport à 2021. Une partie de cette enveloppe devrait servir à couvrir l’échéance 2022 du prêt FEC, soit une dette de 66 MDH. Soulignons que la Commune aura besoin d’une enveloppe globale de 1,09 milliard de DH pour couvrir les besoins du Programme de développement urbain et ses arriérés 2020 et 2021 ainsi que ses échéances 2022. Précisons à ce sujet que les arriérés 2020 et 2021 du PDU non encore réglés s’élèvent respectivement à 77 millions de DH et 425 millions de DH.

 A l’échéance 2024, la contribution de la Commune urbaine d’Agadir à la concrétisation du PDU est établie à 1,6 milliard de DH, alors que la capacité d’endettement de la Commune urbaine auprès du FEC n’est que de 400 MDH. Ce qui rend nécessaire la mobilisation d’autres sources de financement, tels que l’emprunt obligataire.

 La flexibilité de l’emprunt obligataire, comparativement aux lourdeurs administratives bien connues des démarches relatives aux prêts auprès du FEC, sont un des avantages du recours à cette solution. Il y a aussi le taux d’intérêt de l’emprunt obligataire qui est autour de 3,5%, alors que le taux d’intérêt d’un crédit auprès du FEC est de 5,3%, soit une différence de 2 points.

Source: La VIE écho par Malika Alami


Par Med Mohamed Rial le Lundi 4 Avril 2022


Quatre sont déjà en cours d’aménagement

15 nouvelles zones touristiques sont projetées dans la métropole du Grand Agadir sur une superficie totale de 1.300 ha.
Dans les détails, et d’après le guide des opportunités touristiques dans les territoires de Souss-Massa publié par le Centre régional d’investissement de ladite région, 15 nouvelles zones touristiques sont projetées dans la métropole du Grand Agadir.


Grand Agadir 15 zones touristiques en projet

15 nouvelles zones touristiques sont projetées dans la métropole du Grand Agadir sur une superficie totale de 1.300 ha.
Dans les détails, et d’après le guide des opportunités touristiques dans les territoires de Souss-Massa publié par le Centre régional d’investissement de ladite région, 15 nouvelles zones touristiques sont projetées dans la métropole du Grand Agadir.
Se situant majoritairement sur le littoral, au vu de la spécificité géographique de la métropole du Grand Agadir qui longe la côte atlantique, les zones dédiées à accueillir les investissements touristiques bénéficient d’emplacements stratégiques adoptant les particularités des sites, de l’activité existante et de l’objectif ultime de son accélération économique. Leurs vocations se déclinent entre villages de surf, gîtes, auberges, clubs, zones de loisirs, écoles de surf, espaces de restauration, zones d’activités liées à la nature et zones animalières, tout en s’adaptant pour accueillir les projets innovants respectant un concept durable et économiquement profitable à l’investisseur, aussi bien qu’à la population résidente autour des zones d’investissement.

Les 15 zones touristiques mettent ainsi à la disposition des futurs investisseurs un foncier dont la vocation touristique est maîtrisée et pour celles, aménagées ou en cours d’aménagement, un foncier clé en main. Parmi ces zones 4 sont actuellement en cours d’aménagement et qui sont :
L’Unité d’aménagement touristique Anchor Point (32 ha)

Cette zone amorce une nouvelle forme de tourisme de niche dans la Région Souss-Massa, authentique et respectueuse de l’environnement, avec la création de 670 lits. L’unité porte le nom d’un spot de surf mondialement connu et se situe au nord d’Agadir et du village de Taghazout, au cœur d’une végétation unique, dominée par l’arganeraie au bord de l’océan Atlantique. Les caractéristiques naturelles du site ont permis d’initier sa candidature au programme international World Surfing Reserve lancé par l’ONG « Save the Waves » pour la protection des zones naturelles où se pratique le surf.

Parc animalier et de loisirs Drarga (130 ha)

Réservé aux activités récréatives en plein air, le Parc animalier et de loisirs Drarga, situé à 7 km de la ville d’Agadir, offre aux visiteurs une sortie conviviale et pédagogique en famille ou entre amis. Douze clubs de loisirs et d’animation et un jardin central sont prévus dans ce parc qui doit être conçu sur la base de techniques d’immersion de paysages, de vues séquentielles et de reproduction d’habitats naturels pour les animaux. Le site, d’une superficie de 130 ha, a l’avantage d’être mitoyen de la route nationale N8 et de la voie de contournement Nord-Est du Grand Agadir. Pour être en phase avec la vocation générale du parc, les espaces de loisirs prévoient de se doter de constructions légères, d’aires de jeux pour enfants et de points de restauration. La valorisation du patrimoine écologique et paysager de la zone animalière, caractérisé par l’arganier, reste essentielle afin d’offrir aux animaux des conditions de vie et de développement adéquates. D’un concept unique en son genre dans la région Souss-Massa, le Parc animalier et de loisirs Drarga est appelé à devenir un lieu de visite et d’attraction incontournable.

L’Unité d’aménagement touristique Imsouane (20 ha)

Située sur la côte nord d’Agadir, l’Unité d’aménagement touristique Imsouane combine les attributs naturels d’un spot de surf exceptionnel sur l’Atlantique et le charisme d’un village de pêche historique bénéficiant d’une mise à niveau dans le cadre d’une valorisation du territoire. Totalisant une offre d’un peu plus de 1.280 lits, l’UAT est prévue pour accueillir des unités d’hébergement touristique de faible capacité, en complément d’une aire d’animation commerciale sous forme de pavillons en structures légères, au milieu d’une végétation formée d’eucalyptus, acacias et tamaris. L’animation touristique est orientée vers un tourisme sportif et d’aventure : surf, trekking, VTT, plongée sous-marine, randonnée, pêche, balade en mer.

La Zone touristique d’Aghroud (594 ha)

D’une superficie de 594 ha au bord de l’océan Atlantique et au pied des premiers contreforts du Haut Atlas, cette zone occupe une place stratégique offrant d’exceptionnelles potentialités d’activités sportives et écotouristiques.
Avec une capacité d’hébergement de 12.000 lits, la Zone Touristique d’Aghroud est idéale pour attirer une clientèle intéressée par l’aventure, les sports, la découverte, l’immersion, les activités ludiques, les loisirs aquatiques et les parcs thématiques. Le front de mer est réservé à une offre hôtelière balnéaire et s’enrichit de parcours spécifiques à la destination à travers le développement d’une animation culturelle et d’activités de niche dans l’arrière-pays.

 Source : Aujourhui le Maroc par Mohamed Laabid


Par Med Mohamed Rial le Lundi 4 Avril 2022


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