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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


La Confédération Nationale du Tourisme (CNT), en collaboration avec le Cercle des Experts, Dirigeants et Formateurs des Écoles du Tourisme, annonce le lancement de la première édition
de la Travel Careers Celebration Week (TCCW), qui se déroulera du 6 au 15 mai 2024. Cet événement,
soutenu par le Ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l’Économie Sociale et Solidaire ainsi que
l’Office National Marocain du Tourisme, met en exergue et célèbre un secteur d'opportunités, offrant
multiples vocations et carrières et contribuant grandement au développement économique du Maroc.


Tourisme :  Lancement de la Première Édition de la Travel Careers Celebration Week (TCCW) au Maroc
Un Événement National Célébrant les Carrières et les Métiers dans le Tourisme et l'Hospitalité: La TCCW est une célébration nationale des carrières dans le tourisme et l'hospitalité, invitant les professionnels, les institutions de formation et le grand public à découvrir et faire découvrir les nombreuses possibilités offertes par ce secteur. A cette occasion, plusieurs événements labellisés se tiendront partout au Maroc, proposant des conférences, des ateliers et des rencontres qui offriront des plateformes d'échanges, mettant en avant le besoin important en talents et la richesse des débouchés qu'offre le secteur. Événements Clés de la TCCW :

 ● Concours #SiyahaPassion: Cette campagne innovante sur les réseaux sociaux conçue par les jeunes et pour les jeunes, a connu un succès retentissant, touchant près de 7.6 millions de comptes à travers Instagram, TikTok et LinkedIn. Ce concours qui encourage les jeunes à exprimer leur passion pour le tourisme à travers la création de vidéos, a su captiver un public vaste et diversifié représentant les régions du Maroc, de Tanger à Dakhla en passant par Taza, Beni Mellal, Casablanca, Rabat, Marrakech, Agadir ou encore Ifrane. Un jury d’experts annoncera le 10 mai 2024, à l’occasion du « Job Fair & Forum », les gagnants de cette première édition de #SiyahaPassion. ● ● Challenge Attractivité des Métiers du Tourisme: Ce challenge inter-écoles, prévu le 10 mai, est un défi d'innovation où des étudiants de différentes écoles rivaliseront pour concevoir des campagnes visant à promouvoir les carrières et les métiers dans le tourisme marocain. ● ● Forum et Salon de l'Emploi à Marrakech: Les 10 et 11 mai, cet événement qui se tiendra à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Cadi Ayyad offrira une plateforme unique pour des rencontres professionnelles directes entre employeurs et candidats. ● ● Hackathon d'Innovation Touristique: Le 11 mai, ce marathon d'innovation - organisé en collaboration avec le "Centre d'Excellence Tourism & Hospitality Management School" de la Faculté des lettres et des Sciences Humaines de l'Université Cadi Ayyad - encourage l’innovation dans le secteur touristique pour la création d'une banque de projets dédiée Go Siyaha incluant toutes les régions du Maroc. Labellisation et Participation des Événements Partenaires: Nous encourageons toutes les institutions et entreprises actives dans le secteur à organiser et à labelliser leurs événements sous la bannière de la TCCW. En vous inscrivant sur notre plateforme www.tccw.ma, votre événement bénéficiera d'une visibilité accrue, partageant ainsi l'élan de cette semaine exceptionnelle. Engagement pour un Avenir Professionnel Lumineux dans le Tourisme: La Confédération Nationale du Tourisme, avec l'appui de ses partenaires, renouvelle son engagement à promouvoir les carrières dans le tourisme et l'hospitalité, renforçant le secteur en tant que pilier essentiel du développement économique du Maroc. Pourquoi Suivre la TCCW ?: Suivre nos activités sur les réseaux sociaux et visiter nos sites offre une fenêtre sur l’importante dynamique que connaît le secteur du tourisme marocain et permet de rester informé des dernières tendances et innovations du secteur. Pour plus d'informations sur la Travel Careers Celebration Week, et pour découvrir comment vous pouvez contribuer ou participer, consultez notre site web www.cnt.ma. Suivez-nous pour des mises à jour en temps réel sur @yallahmorocco_.

  Pour plus d'informations, contacter : —- Email : cnt@cnt.ma —-- Téléphone : 05228-80800

Par Med Mohamed Rial le Mardi 7 Mai 2024


L'Office des changes lance une vaste opération d’audit ciblant les transferts financiers internationaux destinés aux bénéficiaires de la location via Airbnb.


Hébergement en tourisme :Location Airbnb: l’Office des changes serre la vis

Alors qu’Airbnb, leader mondial de la location immobilière, est bien installé depuis plusieurs années sur le marché marocain, l’office des changes vient de lancer une vaste opération d’audit. En ligne de mire, les transferts financiers internationaux destinés aux propriétaires et bénéficiaires des locations de biens immobiliers à travers la plateforme.

Avec l’augmentation constante de la demande touristique au Maroc, Airbnb, la plateforme qui met en relation voyageurs et propriétaires de biens immobiliers et d’entreprises hôtelières, génère un business très lucratif qui intéresse logiquement l’Office des changes.

L’on parle donc de montants mensuels dépassant les 100.000 dirhams. Un investissement jugé très attractif dont profitent de nombreuses personnes qui ne payent pas toujours d’impôts. En effet, une grande partie des activités de location échappent aux dispositions du décret n°2.23.441, qui précise certains règlements du code du tourisme n°80.14 relatif aux établissements touristiques et aux autres formes d’hébergement.

 

 

Pour rappel, ce décret impose tout d’abord aux bénéficiaires de déclarer leur activité aux autorités locales pour obtenir les licences nécessaires.

Toutefois, l’Office vient de sonner la fin de la récréation. Désormais, l’activité de location via ladite plateforme est encadrée et supervisée par les autorités compétentes du Royaume. L’objectif ? Aider à remplir les caisses de l’Etat. L’activité génère d’importantes sommes d’argents tant à Casablanca qu’à Marrakech, Essaouira ou encore Tanger. Les audits en question révèlent qu’une partie des exploitants effectuent d’importantes transactions financières à l’étrangers, à l’abri des impôts, et ce bien qu’ils soient de nationalité marocaine.


Contacté par nos soins, l’Office des changes confirme que des contrôles se font régulièrement auprès des assujettis à la réglementation des changes, que ce soit des personnes physiques ou morales. “Ces contrôles peuvent être effectués soit sur pièces, en exploitant les comptes rendus et les déclarations bancaires, soit sur place, en réalisant des enquêtes auprès des opérateurs et des banques ayant exécuté les transferts”, indique la même source.

L’on apprend également que les transferts financiers identifiés par les contrôleurs de l’Office des changes sont effectués à travers divers canaux, incluant des comptes bancaires internationaux, PayPal, des cartes bancaires et des institutions de transfert d’argent. Pour ce faire, l’Office utilise des techniques et des outils qui tracent efficacement les opérations à risque. Il dispose actuellement de bases de données exhaustives pour les opérations qui nécessitent un contrôle et un suivi rigoureux.

Pour ce dernier, cette activité est considérée comme une exportation de services, soit une activité réglementée par l’Office lui-même. Ainsi, “les opérateurs réalisant des opérations d’exportation de services qui désignent, au sens de la réglementation des changes, les prestations rendues au Maroc ou à l’étranger par un résident en faveur d’un non-résident et donnant lieu à une rémunération, sont tenus de procéder au rapatriement du montant intégral des recettes de leurs exportations et ce, dans un délai de 90 jours à compter de la date de réalisation des prestations de services”, nous explique la même source.

En plus des obligations, l’Instruction Générale des Opérations de Changes 2024 accorde également des avantages à cette catégorie d’exportateurs dont notamment la possibilité d’ouvrir des comptes bancaires en devises ou en dirhams convertibles à condition qu’ils soient inscrits au Registre de Commerce. “Ces comptes en devises permettent non seulement de gérer les revenus d’exportation mais aussi de financer les dépenses professionnelles en devises jusqu’à 70% des recettes rapatriées”.

Parallèlement, l’Office se dit résolument ouvert et à l’écoute de ces investisseurs dans le but de garantir des réponses efficaces aux besoins et attentes des citoyens et des opérateurs économiques. “Il (l’Office des changes, NDLR) s’engage dans le cadre de son Plan d’Actions Stratégiques 2022-2026, à apporter son plein concours à l’amélioration du climat des affaires. C’est dans cette ligne directrice que s’inscrivent les chantiers arrêtés par l’Office des Changes pour mettre en place une réglementation des changes adaptée aux exigences du monde des affaires”.

Ainsi, l’Office promet “d’orienter son travail de régulation sur les besoins des entreprises et des personnes physiques par la mise en place d’un cadre réglementaire plus souple, simple et transparent tout en s’engageant à en améliorer la clarté et la lisibilité”. La fin d’une ère et le début d’une autre.

 

 


Par Med Mohamed Rial le Dimanche 5 Mai 2024


Les autorités d'Agadir ont fermement empêché la tenue de ce qu'on appelle la réunion consultative du Comité marocain de solidarité avec le peuple kabyle, qui devait se tenir aujourd'hui, jeudi, dans la capitale du Souss.
Cette interdiction s'inscrit dans le cadre des positions sages et pondérées de la politique étrangère de l'État marocain.
Une déclaration annonçant la tenue d'une réunion consultative à Agadir ce jeudi 2 mai, pour annoncer la création du "Groupe de travail marocain pour la solidarité avec le peuple kabyle", a suscité de nombreuses questions et objections quant à cette réunion et à son conflit avec la politique étrangère de l'État marocain.


Les autorités d'Agadir ont fermement empêché la tenue de ce qu'on appelle la réunion consultative du Comité marocain de solidarité avec le peuple kabyle
En particulier, depuis que le Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie a déclaré l'indépendance de la région vis-à-vis de l'Algérie le 20 avril dernier, et l'émergence d'un "sixième État" dans la région en attente de reconnaissance internationale ; il semble que Rabat ne soit pas enthousiaste à l'idée, malgré la crise croissante avec l'Algérie ; qui soutient les séparatistes du Polisario par tous les moyens.
Certains observateurs estiment que "le Maroc ne peut pas ouvrir la voie à des contradictions politiques ; il combat la séparation quel qu'en soit le type, et respecte le droit international et la souveraineté des États".
Des sources indiquent que le Royaume défend historiquement la cohésion dans le monde et non la division, et a une idéologie de stabilité mondiale, et que "Rabat ne traite pas l'Algérie, qui soutient le Polisario, de la même manière, mais avec des principes solides et des valeurs sages.
Dans ce contexte, les sources indiquent que la réunion d'aujourd'hui à Agadir organisée par ce qu'on appelle le Comité préparatoire du Groupe de travail marocain pour la solidarité avec le peuple kabyle, semble être en totale contradiction avec les positions sages et pondérées de la politique étrangère de l'État marocain sur instructions du roi Mohammed VI, comme en témoignent plusieurs étapes internationales, la dernière en date étant la position du ministère des Affaires étrangères et de la coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, lors de la crise russo-ukrainienne, le Maroc avait alors affirmé que le Royaume du Maroc suivait avec inquiétude l'évolution de la situation entre la Fédération de Russie et l'Ukraine. Confirmant dans un communiqué officiel que "le Royaume du Maroc renouvelle son soutien à l'unité territoriale et nationale de tous les États membres des Nations unies".
 
Source journal Agadir
 


Par Med Mohamed Rial le Vendredi 3 Mai 2024


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