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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Conformément à sa stratégie de déploiement et de maillage territorial, le Groupe AKDITAL a inauguré le 02 Septembre deux nouvelles infrastructures de santé de dernière génération à Agadir.

L’Hôpital International Agadir, une infrastructure de santé multidisciplinaire et aux meilleurs standards internationaux,

L’Hôpital International Agadir, établissement de santé multidisciplinaire couvrant un large éventail de spécialités médicales et chirurgicales, est doté d’équipements de haut niveau de dernière génération en vue du traitement de tous types de pathologies.


Santé :Le Groupe AKDITAL inaugure deux nouvelles infrastructures de santé à Agadir : L’         Santé : L'Hôpital International Agadir Et le Centre International d’Oncologie Agadir
Conçu aux normes les plus strictes en matière d’hygiène sanitaire hospitalière internationale et en termes d’optimisation du parcours patient, l’Hôpital International Agadir comprend 220 lits d’hospitalisation et 9 blocs opératoires ultra-modernes équipés d’installations de pointe dont 2 salles d'endoscopie et une salle de réveil de 14 postes.
 
L'Hôpital International Agadir dispose par ailleurs d’un pôle réanimation avec 10 box en réanimation polyvalente, 4 box en réanimation cardiologique et 11 couveuses en réanimation néonatale.
Un pôle de cardiologie comprenant des plateaux techniques modernes est également mis en place. Permettant le traitement des maladies cardio-vasculaires et neurovasculaires, ce pôle est équipé de 2 salles de cathétérisme, 1 salle d’épreuve d’effort et 1 unité de soins intensifs cardiologiques.
 
Enfin, cette infrastructure de dernière génération accueille un service de maternité avec 23 lits, 2 salles d’unité technique d'accouchement et une nurserie.
 
L’Hôpital International d’Agadir comprend par ailleurs un laboratoire d’analyses médicales et un centre complet de radiologie (IRM, scanner, radio standard, panoramique dentaire et mammographie) afin d’optimiser le parcours du patient et d’accélérer les processus de diagnostic et de prise en charge des malades.
 
Un parcours patient optimisé et sécurisé,
 
 
L’Hôpital International d’Agadir a été conçu pour offrir un parcours de soins complet et innovant avec un accompagnement individuel et personnalisé.
 
Il met à la disposition de ses patients 6 salles de consultations générales et spécialisées.
 
La gestion des données médicales des patients est intégralement digitalisée et centralisée avec un accès instantané et sécurisé.
 
L’Hôpital International d’Agadir dispose d’un service d’urgence qui accueille les patients en état critique, 24h/24 et 7j/7 avec la présence continue sur place de médecins réanimateur et urgentiste.
 
Le Centre International dOncologie, une infrastructure complète pour la prise en charge des cancers et comprenant le premier service de médecine nucléaire de la région,
Spécialisé dans la prise en charge diagnostique et thérapeutique des cancers, le Centre International dOncologie Agadir comprend pour sa part 18 fauteuils de chimiothérapie, 20 lits d’hospitalisation et 2 bunkers pour la radiothérapie avec un accélérateur de dernière génération assurant la qualité et la sécurité des soins.
L’établissement dispose également d’un service de médecine nucléaire, premier du genre dans la région, qui est doté d’un service d’irathérapie, de matériel d’imagerie diagnostique telles qu’un Pet scan ainsi que d’un équipement de scintigraphie.

A l’instar des autres unités de soins opérées par le Groupe AKDITAL, cet ensemble, déployé sur près de 15.000 m2 a été conçu aux meilleurs standards internationaux et comptera 250 collaborateurs et une centaine de médecins exerçant dans diverses spécialités y officieront.
Pour rappel, le Groupe AKDITAL est un acteur majeur de la santé privé et ce nouvel ensemble d’infrastructures de santé à Agadir signe ses 10ème  et 11ème réalisation à travers le Royaume.
Le Groupe, inscrit dans un ambitieux programme d’investissements porte l’objectif d’accompagner la dynamique nationale de mise à niveau du secteur de la santé et de la généralisation de l’accès aux soins pour les patients.

source: communiqué officiel
                                      
 Leader de la santé privée au Maroc, le Groupe AKDITAL fait de l’accessibilité aux soins une priorité dans sa mission. Le groupe AKDITAL a pour objectif de développer un réseau d’établissements de santé à travers le Royaume permettant d’offrir des soins de haut niveau et une prise en charge globale aux standards internationaux.


Le Groupe compte actuellement un réseau de neuf (9) établissements de santé multidisciplinaires et spécialisés (la Clinique Jerrada Oasis, la Clinique Ain Borja Casablanca, le Centre International d’Oncologie Casablanca, la Clinique Longchamps, l’Hôpital Privé Casablanca Ain Sebaa, la Clinique Da Vinci, la Clinique Atfal, l’Hôpital Privé d’El Jadida et le Centre International d’Oncologie d’El Jadida.
L’Hôpital International Privé d’Agadir et le Centre International Privé d’Oncologie porte désormais à onze (11) le nombre d’infrastructures opérées par le Groupe AKDITAL
Inscrit dans la dynamique de mise à niveau du secteur de la santé et portant l’ambition de pouvoir offrir aux citoyens une infrastructure de qualité à travers le Royaume, le Groupe AKDITAL est engagé dans un ambitieux programme d’investissements avec plusieurs projets de complexes hospitaliers en cours de développement.

Ainsi, d’ici à fin 2022, sept (7) nouvelles infrastructures de santé (Sidi Maarouf, Tanger (2), Safi, Bouskoura, Salé (2)) seront opérationnelles portant le parc d’unités de soins opérées par le Groupe AKDITAL à 18 établissements, l’ensemble totalisant 2.000 lits.
 
Enfin, en phase avec son ambitieuse stratégie de développement et son programme d’investissements volontariste, six (6) nouvelles unités sont en cours de réalisation (Mohammédia, Fès (2), Khouribga, Tétouan et Kénitra) portant ainsi le parc d’infrastructures de santé opérées par le Groupe à travers le Royaume à vingt-quatre (24) établissements de haut niveau à horizon 2023.
 

 

Par Med Mohamed Rial le Vendredi 2 Septembre 2022


C’est parti pour le projet du Parc animalier et de Loisirs d’Agadir porté par la Société du développement régional du tourisme d’Agadir Souss-Massa (SDR) en tant que maître d’ouvrage qui a publié récemment un appel d’offres pour la réalisation des études techniques d’aménagement de ce parc.


Projet du Parc animalier et de loisirs d’Agadir :animations animalières à finalité de loisirs et de divertissement,  la zone de la ferme pédagogique à but éducatif, la zone des sports de l’extrême...

Dans les détails, la destination Agadir Souss-Massa s’efforce de valoriser et promouvoir les nouvelles potentialités de la région ainsi que ses dimensions touristiques pour la clientèle marocaine et étrangère. Dans ce sens un nouveau projet y sera implanté et qui consiste en un Parc animalier et de loisirs qui renforcera les infrastructures touristiques et récréatives de la ville de la Renaissance. 

Réservé aux activités récréatives en plein air, le Parc animalier et de loisirs Drarga, situé à 7 km de la ville d’Agadir, offre aux visiteurs une sortie conviviale et pédagogique en famille ou entre amis. Douze clubs de loisirs et d’animation et un jardin central sont prévus dans ce parc qui doit être conçu sur la base de techniques d’immersion de paysages, de vues séquentielles et de reproduction d’habitats naturels pour les animaux. Le site, d’une superficie de 132 ha, a l’avantage d’être mitoyen de la route nationale N°8 et de la voie de contournement Nord-Est du Grand Agadir.

Pour être en phase avec la vocation générale du parc, les espaces de loisirs prévoient de se doter de constructions légères, d’aires de jeux pour enfants et de points de restauration. La valorisation du patrimoine écologique et paysager de la zone animalière, caractérisé par l’arganier, reste essentielle afin d’offrir aux animaux des conditions de vie et de développement adéquates. D’un concept unique en son genre dans la région Souss-Massa, le Parc animalier et de loisirs Drarga est appelé à devenir un lieu de visite et d’attraction incontournable.

Ce parc sera divisé en quatre zones à vocation différente : la zone des animations animalières à finalité de loisirs et de divertissement,  la zone de la ferme pédagogique à but éducatif, la zone des sports de l’extrême,  ainsi que le Jardin central qui sera un lieu de détente et de promenade.

Ouvert à tous les visiteurs et doté de composantes paysagères dont des végétaux pourvoyeurs d’ombre, le jardin occupe une surface de 7,5 ha. Ses composantes architecturales telles que kiosques d’information, restaurants-cafés et boutiques de produits de terroir, font de lui un espace vivant et attrayant pour les usagers du parc. Il s’agrémente d’un espace de plantes, d’un amphithéâtre en plein air, d’un bassin, de chemins piétons et de placettes, des lieux qui contribuent à l’attractivité de l’ensemble du parc.

Pour rappel, la ville d’Agadir sera également dotée d’un lion parc  d’une superficie totale de 20 ha. Le Safari Parc qui devrait, selon les premières prévisions, ouvrir ses portes durant la fin de l’année 2022, va accueillir trois espèces de lions: le lion africain, le berbère et le blanc.

 Source: aujourdhui.ma

Par Med Mohamed Rial le Jeudi 1 Septembre 2022


Face aux exigences des nouvelles demandes des voyageurs post Covid-19, le secteur touristique est appelé à se transformer par la diversification des produits, le renforcement de l’aérien, par un investissement massif et ciblé. Explications avec Mme Fatim-Zahra Ammor, Ministre du Tourisme, de l’Artisanat de l’Economie Sociale et Solidaire dans cet entretien qu’elle a bien voulu accorder à « L’Opinion ».


Interview avec Fatim-Zahra Ammor : « Nous voulons adapter l’offre touristique à la nouvelle demande »
- Quelles sont les nouvelles demandes et tendances des voyageurs au lendemain de la crise sanitaire ? 

- La crise sanitaire a déclenché des changements majeurs en matière de demande touristique. Tout d’abord, le besoin d’évasion de la part des populations mondiales est plus important à la sortie de la crise. Aussi, vu l’offre touristique importante post Covid-19, un touriste va allouer plus de temps à la phase d’information et sera plus exigeant sur les critères de sélection de sa destination. 

En termes de demande, nous avons constaté l’émergence de plusieurs tendances dont une prise de conscience quant à une consommation touristique durable qui se fait dans le respect de l’environnement, des ressources et des communautés. Ce qui explique un vrai parti pris stratégique d’intégrer l’écotourisme dans les produits touristiques phares des différentes destinations mondiales. Toujours dans ce cadre, les voyageurs post Covid-19 sont plus enclins à voyager à un rythme plus lent, loin des grandes villes. Il s’agit d’un modèle alternatif de voyage qui favorise une connexion avec la nature et les locaux en toute détente. 

Aujourd’hui, les touristes sont à la recherche d’expériences uniques en relation avec la culture, la nature, la gastronomie. Enfin, le touriste d’aujourd’hui est très connecté, ce qui exerce une forte influence sur ses comportements et son processus de décision. L’ensemble de ces tendances nous pousse aujourd’hui à adapter notre portefeuille de produits touristiques à cette nouvelle demande, à accélérer la digitalisation du secteur, notamment en matière de distribution, afin d’être visible et d’être considéré par les touristes dans cette ère digitale. 


- Qu’en est-il des grands défis qui se dressent devant le tourisme national pour rivaliser avec les grandes destinations dans le monde ? 

- La destination Maroc bénéficie d’une forte notoriété et d’un capital marque positif, auprès des touristes internationaux. Notre principal défi est d’augmenter les intentions de visiter notre destination Maroc. Pour ce faire, nous travaillons déjà et de manière agressive sur plusieurs leviers stratégiques et prioritaires. 

D’abord le renforcement de l’aérien, qui est le véritable fer de lance du secteur touristique. Nous travaillons ainsi avec l’ONMT sur le renforcement de notre capacité aérienne et la multiplication des vols point à point pour desservir les différentes destinations.

Interview avec Fatim-Zahra Ammor : « Nous voulons adapter l’offre touristique à la nouvelle demande »
Le deuxième levier consiste en la réorganisation de notre portefeuille de produits touristiques pour s’aligner sur une demande plus exigeante et pour assurer une distribution équitable des bienfaits du tourisme sur les différentes régions, et enfin stimuler l’investissement en priorisant des projets nécessaires au développement du secteur, dont l’animation. Cette stimulation ne pourra se faire sans la création d’un cadre incitatif et d’un dispositif d’accompagnement au profit des futurs investisseurs. 


- Quelle est la place du tourisme local dans la vision globale ? 

- Le tourisme local est tout aussi important que le tourisme international. Les pays les plus résilients pendant la pandémie sont ceux dont le tourisme domestique a été le plus résilient. Le renforcement du tourisme interne est aujourd’hui une priorité car, on s’en rappelle, il a pesé 69% en 2021 et a ainsi pu porter le secteur jusqu’à la reprise des activités. 

Dans notre vision globale, nous voulons doubler le nombre de touristes à l’horizon 2030 pour augmenter les recettes des voyages en devises et créer plus d’emplois, et nous voulons aussi augmenter la demande interne en adaptant les produits existants aux attentes et pouvoirs d’achat des touristes marocains, mais aussi en créer de nouveaux. 

Un autre indicateur que nous voulons améliorer est la part des Marocains qui voyagent dans des établissements classés qui reste relativement faible. Les chèques voyage sur lesquelles nous travaillons permettront, ainsi, à un grand nombre de Marocains de profiter des potentialités touristiques de notre pays. 


- Le secteur de l’artisanat a été fortement impacté durant ces deux dernières années en raison du Coronavirus. Faut-il penser à une nouvelle orientation ou stratégie à mettre en place ? Si oui, quels devraient être les contours de cette démarche ? 

 - L’artisanat marocain a connu une forte reprise dès la reprise des activités. Le produit artisanal marocain connaît une forte demande à l’international. Preuve en est les exportations qui ont connu une croissance importante de 30% à fin mai. Notre stratégie pour le secteur repose sur deux axes. D’abord sa structuration, puisqu’il s’agit d’un secteur fragile caractérisé par une prédominance de l’informel. Notre objectif a été, dès les premiers mois d’exercice, de l’inscrire très rapidement dans le chantier stratégique de l’AMO impulsé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI. 

Pour ce faire, nous devions passer par une étape préalable importante qui était d’identifier ces artisans, tout en sachant que l’artisanat est un grand employeur. Aujourd’hui, grâce au lancement du Registre National du Commerce et à la mobilisation de tous les acteurs, nous avons pu faire une grande avancée sur ce volet et nous continuons à déployer les efforts pour permettre aux artisans de bénéficier de l’AMO, mais aussi de tous les programmes de soutien lancés par le gouvernement. Le deuxième axe concerne l’augmentation considérable des exportations sur les marchés internationaux. 

Ceci nous pousse à améliorer le produit pour qu’il réponde à des standards de qualité et design internationaux. C’est pourquoi nous allons créer des centres d’excellence permettant d’accompagner les artisans tout au long de la chaîne de valeur en se focalisant sur la partie Marketing. Aussi, notre organisme, sous tutelle Maison de l’Artisan, est présent de manière régulière dans les plus grands Salons internationaux accompagnés d’artisans marocains pour promouvoir le produit artisanal et signer des partenariats. 

Interview avec Fatim-Zahra Ammor : « Nous voulons adapter l’offre touristique à la nouvelle demande »
- Un mot sur les coopératives ?  

- Le Maroc compte aujourd’hui 47.000 coopératives regroupant environ 700.000 coopérants qui oeuvrent dans différents domaines d’activités et couvrent tout le territoire national, y compris les zones les plus reculées. Notre secteur coopératif ne cesse de se développer, non seulement dans les secteurs traditionnels, mais aussi dans de nouvelles niches innovantes, porteuses de valeurs ajoutées, notamment en matière de tourisme, de préscolaire, de e- commerce et de services dans le domaine entrepreneurial. 

Le secteur a connu un réel essor au Maroc, amorcé depuis le lancement par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), le 18 mai 2005. 

Partout dans le monde, le secteur de l’Économie Sociale et Solidaire a montré une grande résilience et nous sommes fermement convaincus que le secteur peut apporter des solutions concrètes aux problématiques liées à la création d’emploi, à la lutte contre la pauvreté, à la création de richesse, à l’inclusion sociale et au développement durable. C’est ce qui a, d’ailleurs, été mis en exergue dans le rapport du Nouveau Modèle de Développement. 

Nous travaillons actuellement sur une nouvelle stratégie pour le secteur qui viendrait augmenter sa contribution au PIB de 2% à 8% et lui permettre de créer plus de 50.000 emplois par an à l’horizon 2030, et ainsi le positionner comme le troisième pilier de développement aux côtés des secteurs public et privé.




Entretien réalisé par Wolondouka SIDIBE
 
 

Par Med Mohamed Rial le Jeudi 1 Septembre 2022


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