LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES
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Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
04/07/2023 Med Mohamed Rial
Initialement prévue le 19 août 2022, la réunion, qui devrait être tenue en deux phases, allusion faite au conseil d’administration et à l’assemblée générale ordinaire, a été ajournée à la mi-septembre. C’est après ce rendez-vous que la date butoir de l’assemblée élective sera fixée avec l’ouverture de l’appel à candidature conformément au statut du CRT d’Agadir Souss-Massa.
Initialement prévue le 19 août 2022, la réunion, qui devrait être tenue en deux phases, allusion faite au conseil d’administration et à l’assemblée générale ordinaire, a été ajournée à la mi-septembre. C’est après ce rendez-vous que la date butoir de l’assemblée élective sera fixée avec l’ouverture de l’appel à candidature conformément au statut du CRT d’Agadir Souss-Massa.
En attendant la programmation de l’assemblée générale élective du Conseil régional du tourisme (CRT) d’Agadir Souss-Massa, pour convenir du choix du nouveau président à la tête de cet organisme, le Conseil d’administration (CA) et l’Assemblée générale ordinaire (AGO) seront tenus, jeudi 15 septembre 2022, à la Wilaya de la région Souss-Massa. Initialement prévue le 19 août 2022, la réunion qui devrait être tenue en deux phases, allusion faite au Conseil d’administration et à l’Assemblée générale ordinaire, a été ajournée à la mi-septembre en raison d’agenda chargé.
En effet, le commissaire aux comptes, qui devait procéder à la lecture des rapports financiers des exercices 2020 et 2021, sera absent durant cette période des congés. Il va sans dire que la fixation de la date du CA et de l’AGO ainsi que la convocation des membres du conseil d’administration ont été décidées, le 22 juillet 2022, après la tenue d’une réunion sous la présidence d’Ahmed Hajji, wali de la région, en présence des anciens présidents du CRT d’Agadir Souss-Massa.
Sur le plan procédural, le conseil d’administration procèdera à l’approbation du procès-verbal de l’exercice 2019 lors de la réunion du CA, tenue le 10 novembre 2020 en visioconférence; à l’examen des comptes des exercices 2020 et 2021 ainsi qu’à la validation de la convocation de l’assemblée générale et de sa tenue à l’issue de la réunion du Conseil. Il s’agit aussi de la constatation de vacance pour décès, mouvements ou démissions d’un certain nombre d’administrateurs.
La date butoir de l’assemblée élective très attendue
S’agissant de l’ordre du jour de l’assemblée générale, cette dernière donnera quitus au conseil d’administration pour la réunion tardive des assemblées générales relatives aux exercices 2020 et 2021, ainsi que l’approbation du procès-verbal du 10 novembre 2020, en plus de la lecture des rapports du commissaire aux comptes des exercices 2020 et 2021. Après la présentation de la situation financière et l’arrêt des comptes au 30 juin 2022, quitus sera donné aux membres du conseil d’administration avec décharge au commissaire aux comptes pour procéder au renouvellement des membres du conseil d’administration.
C’est à partir de cette étape que la date butoir de l’assemblée élective sera fixée avec l’ouverture de l’appel à candidature et le délai règlementaire en faveur des futurs candidats à la présidence, conformément au statut du CRT d’Agadir Souss-Massa. Aujourd’hui, Rachid Dahmaz, l’ancien président du CRT qui a brigué un premier mandat, en janvier 2019, en tant que candidat unique à la présidence, ne compte pas se présenter pour un second mandat.
De ce fait, les membres adhérents au CRT devront choisir un nouveau président qui assurera cette mission. Il va sans dire que depuis la création de cet organisme à la place du Groupement régional d’intérêt touristique (GRIT) en 1996, cinq présidents ont chapeauté le CRT d’Agadir Souss-Massa, qui est une association professionnelle dotée de la personnalité morale, d’une autonomie financière et d’une gestion commune publique-privée, notamment Saïd Scally (2004-2007), Abderrahim Oummani (2007-2014), Salah Eddine Benhammane ( 2014-2016), Guy Marrache (2016-2019) et Rachid Dahmaz (2019-2022). En effet, les membres du conseil d’administration du CRT pour la période 2019/2022 sont constitués de plusieurs collèges.
Composition des collèges du CRT
Le collège des chambres professionnelles et représentations patronales, composé de quatre membres, comprend la Commune urbaine d’Agadir, la Chambre de commerce, d’industrie et de services de la région Souss-Massa, la Chambre régionale de l’artisanat et la CGEM Souss-Massa. Pour ce qui est des représentations provinciales, il s’agit des conseils provinciaux de tourisme (CPT) de Tiznit, Taroudant, Tata et Chtouka-Aït Baha ainsi que trois collèges des personnalités civiles.
S’agissant du collège du secteur des professionnels privés, il est constitué de 36 membres, dont 15 hôteliers représentant l’AIH, d’anciens présidents, six membres de l’Association régionale des agences de voyages d’Agadir Souss-Massa (ARAVAS) et deux membres du RDTR, notamment le président et le vice-président. Outre les deux associations des restaurateurs ainsi que trois représentants des activités culturelles et sportives.
Le collège des membres permanents, quant à lui, est composé de l’Office national marocain du tourisme (ONMT), l’Office national des aéroports (ONDA), la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT), la Société d’aménagement et de promotion de la station de Taghazout (SAPST), la Délégation régionale du tourisme, Royal Air Maroc, Air Arabia Maroc, en plus du CRI Souss-Massa, CIH Bank, Attijariwafa Bank, BMCI, BMCE et la Banque Populaire.
Pour rappel, conformément aux dispositions des statuts de refonte et du règlement intérieur du CRT d’Agadir Souss-Massa, les conditions d’éligibilité aux fonctions de président du CRT et de vice-président doivent répondre à plusieurs conditions, entres autres, la représentation légale d’une entreprise opérant dans le secteur touristique. Il s’agit également d’être à jour pour les cotisations, y compris pour les membres adhérents. Il faudra aussi présenter un plan d’action durant le lancement de l’appel à candidature pour savoir quel est le nouveau président du CRT...
source: Yassine Saber / Les Inspirations ECO
Par Med Mohamed Rial le Mercredi 27 Juillet 2022
L’étape des tests contractuels marque le début de la formalisation des documents préalablement à la déclaration de l’exploitation commerciale de l’usine. À noter que cette dernière produit déjà, depuis le début de l’année, de l’eau dessalée.
Réceptionnée sur le plan industriel en septembre 2021, l’unité mutualisée de dessalement d’eau de mer, destinée à l’approvisionnement du Grand Agadir en eau potable et à l’irrigation de la plaine de Chtouka a accompli l’ensemble des tests contractuels. Cette station est le fruit d’un Partenariat public-privé (PPP) entre le ministère de l’Agriculture, l’ONEE et deux filiales du groupe espagnol Abengao, à savoir Aman el baraka et la Société d’eau dessalée d’Agadir (SEDA).
Elle offre une capacité initiale de 275.000 m3/jour, à raison d’un débit de 125.000 m3/jour pour les besoins en eau d’irrigation et de 150.000 m3/jour pour l’eau potable. Pour rappel, l’entreprise espagnole développe des solutions technologiques en matière de développement durable en faveur des secteurs des infrastructures, de l’énergie et de l’eau. Selon ses représentants, «cette étape marque le début de la formalisation des documents qui conduisent à la déclaration de l’exploitation commerciale de l’usine.
D’ailleurs, celle-ci produit déjà de l’eau dessalée, répondant à tous les standards de qualité et atténuant les effets du stress hydrique dont souffre la plaine du Souss-Massa», depuis le début de l’année. Les installations de l’usine permettront à terme de produire 400.000 m3/jour d’eau dessalée, partagée équitablement entre eau potable et eau d’irrigation. Ce projet, réalisé dans le contexte de la pandémie, a coûté globalement 4,48 MMDH, soit 2,35 MMDH pour l’irrigation et 2,05 MMDH pour l’eau potable.
Elle offre une capacité initiale de 275.000 m3/jour, à raison d’un débit de 125.000 m3/jour pour les besoins en eau d’irrigation et de 150.000 m3/jour pour l’eau potable. Pour rappel, l’entreprise espagnole développe des solutions technologiques en matière de développement durable en faveur des secteurs des infrastructures, de l’énergie et de l’eau. Selon ses représentants, «cette étape marque le début de la formalisation des documents qui conduisent à la déclaration de l’exploitation commerciale de l’usine.
D’ailleurs, celle-ci produit déjà de l’eau dessalée, répondant à tous les standards de qualité et atténuant les effets du stress hydrique dont souffre la plaine du Souss-Massa», depuis le début de l’année. Les installations de l’usine permettront à terme de produire 400.000 m3/jour d’eau dessalée, partagée équitablement entre eau potable et eau d’irrigation. Ce projet, réalisé dans le contexte de la pandémie, a coûté globalement 4,48 MMDH, soit 2,35 MMDH pour l’irrigation et 2,05 MMDH pour l’eau potable.
Le contrat de PPP (Partenariat Public-Privé) pour la conception, la construction, le financement, l’exploitation et la maintenance, qui porte sur une durée de 30 ans (construction incluse), a été attribué à Abengoa en 2017. Son bouclage financier avait été conçu en juin 2019, conformément aux contrats de concessions et de délégation, selon le modèle «DBOT» (Design, Build, Operate, Transfer).
L’exploitation assurée par deux filiales d’Abengoa
Selon Abengoa, l’usine de dessalement d’Agadir est un projet de référence dans le monde, conçu pour l’utilisation combinée de l’eau potable et d’irrigation, avec utilisation de la technologie de l’osmose inverse. Le chantier englobe aussi la construction d’un réseau d’irrigation sur une superficie de 15.000 ha. Il s’agit d’un projet unique en son genre qui a été récompensé par l’Association internationale de dessalement avec le prix du «meilleur Partenariat public-privé» (PPP).
Concrètement, la mission d’exploitation est assurée conjointement par deux sociétés distinctes d’Abengoa. Il s’agit d’Aman el baraka, concessionnaire d’eau d’irrigation avec laquelle deux accords ont été conclus. Le premier consiste en un contrat de concession entre cette société et le ministère de l’Agriculture et le second la lie à l’ORMVA Souss-Massa via une convention de gestion déléguée.
Pour le projet d’Alimentation en eau potable (AEP) du Grand Agadir, la convention de gestion déléguée d’eau potable et le cahier des charges ont été conclus entre l’ONEE et son concessionnaire privé, la Société d’eau dessalée d’Agadir (SEDA), également filiale d’Abengoa. Pour rappel, les deux partenaires avaient initialement envisagé de réaliser une unité de dessalement d’eau de mer au nord d’Agadir (à proximité du Cap Ghir).
Dans le détail, pour l’AEP d’Agadir, c’est l’ONEE qui est l’acheteur de l’eau dessalée qui sera livrée à la RAMSA (Régie autonome multiservices d’Agadir) alors que dans le cas de l’eau d’irrigation, ce sont les agriculteurs, essentiellement les producteurs exportateurs de primeurs de Chtouka qui sont les acheteurs, à travers des contrats d’abonnement à la fourniture d’eau dessalée.
L’exploitation assurée par deux filiales d’Abengoa
Selon Abengoa, l’usine de dessalement d’Agadir est un projet de référence dans le monde, conçu pour l’utilisation combinée de l’eau potable et d’irrigation, avec utilisation de la technologie de l’osmose inverse. Le chantier englobe aussi la construction d’un réseau d’irrigation sur une superficie de 15.000 ha. Il s’agit d’un projet unique en son genre qui a été récompensé par l’Association internationale de dessalement avec le prix du «meilleur Partenariat public-privé» (PPP).
Concrètement, la mission d’exploitation est assurée conjointement par deux sociétés distinctes d’Abengoa. Il s’agit d’Aman el baraka, concessionnaire d’eau d’irrigation avec laquelle deux accords ont été conclus. Le premier consiste en un contrat de concession entre cette société et le ministère de l’Agriculture et le second la lie à l’ORMVA Souss-Massa via une convention de gestion déléguée.
Pour le projet d’Alimentation en eau potable (AEP) du Grand Agadir, la convention de gestion déléguée d’eau potable et le cahier des charges ont été conclus entre l’ONEE et son concessionnaire privé, la Société d’eau dessalée d’Agadir (SEDA), également filiale d’Abengoa. Pour rappel, les deux partenaires avaient initialement envisagé de réaliser une unité de dessalement d’eau de mer au nord d’Agadir (à proximité du Cap Ghir).
Dans le détail, pour l’AEP d’Agadir, c’est l’ONEE qui est l’acheteur de l’eau dessalée qui sera livrée à la RAMSA (Régie autonome multiservices d’Agadir) alors que dans le cas de l’eau d’irrigation, ce sont les agriculteurs, essentiellement les producteurs exportateurs de primeurs de Chtouka qui sont les acheteurs, à travers des contrats d’abonnement à la fourniture d’eau dessalée.
Non-réalisation du projet : une perte de 9 MMDH
Sur le plan économique, l’usine de dessalement d’Agadir est un projet vital pour sauvegarder les investissements agricoles dans la région. Sa non-réalisation aurait représenté une perte de 9 MMDH de valeur ajoutée pour le secteur des fruits et légumes, de 3 MMDH d’investissement et d’1 million d’emplois journaliers réguliers.
L’objectif recherché, à travers le recours au dessalement d’eau de mer, est également d’accompagner le développement socio-économique des populations par le renforcement et la sécurisation de l’alimentation en eau potable du Grand Agadir et des localités voisines, au profit d’une population d’environ 1,6 million d’habitants. Il est question aussi d’assurer le développement des activités économiques telles que le tourisme, l’industrie et la conservation de la nappe phréatique de la zone qui a fait l’objet de surexploitation.
Sur ce dernier point, la plaine de Chtouka a été couverte par le décret de sauvegarde de la nappe qui a instauré un régime de limitation quantitative des prélèvements sur la nappe conformément aux dispositions de la loi n° 36-15 sur l’eau. Selon la société espagnole, la conception du projet a pris en compte l’efficacité énergétique du procédé.
Pour réduire le coût, il a été procédé aussi au couplage entre les énergies renouvelables et le dessalement d’eau mer. D’importants travaux de collecte et de rejets des effluents ont été entrepris avec l’implémentation d’un prétraitement par ultrafiltration qui s’adapte aux conditions variables de l’eau brute avec l’installation d’une turbine pour le captage de l’énergie.
Par ailleurs, Abengoa a dévoilé que les travaux de mise en service ont nécessité plus de 2,4 millions d’heures de travail. Ils ont été réalisés sans accident entraînant un arrêt de travail, atteignant les niveaux de prévention des risques professionnels les plus élevés, et respectant les objectifs de santé et de sécurité en vigueur.
Selon l’entreprise espagnole, qui dispose actuellement de cinq usines en construction et d’une capacité totale installée de 2,3 millions de m 3 /jour, une attention particulière a été accordée aux Objectifs de développement durable (ODD), notamment sur le plan de la disponibilité de l’eau et de sa bonne gestion, avec l’adoption de mesures d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques et de préservation de la vie des écosystèmes terrestres. Au total, la capacité de l’entreprise est répartie sur plus de 30 usines de dessalement dans 13 pays.
par Yassine Saber – leseco.ma
Sur le plan économique, l’usine de dessalement d’Agadir est un projet vital pour sauvegarder les investissements agricoles dans la région. Sa non-réalisation aurait représenté une perte de 9 MMDH de valeur ajoutée pour le secteur des fruits et légumes, de 3 MMDH d’investissement et d’1 million d’emplois journaliers réguliers.
L’objectif recherché, à travers le recours au dessalement d’eau de mer, est également d’accompagner le développement socio-économique des populations par le renforcement et la sécurisation de l’alimentation en eau potable du Grand Agadir et des localités voisines, au profit d’une population d’environ 1,6 million d’habitants. Il est question aussi d’assurer le développement des activités économiques telles que le tourisme, l’industrie et la conservation de la nappe phréatique de la zone qui a fait l’objet de surexploitation.
Sur ce dernier point, la plaine de Chtouka a été couverte par le décret de sauvegarde de la nappe qui a instauré un régime de limitation quantitative des prélèvements sur la nappe conformément aux dispositions de la loi n° 36-15 sur l’eau. Selon la société espagnole, la conception du projet a pris en compte l’efficacité énergétique du procédé.
Pour réduire le coût, il a été procédé aussi au couplage entre les énergies renouvelables et le dessalement d’eau mer. D’importants travaux de collecte et de rejets des effluents ont été entrepris avec l’implémentation d’un prétraitement par ultrafiltration qui s’adapte aux conditions variables de l’eau brute avec l’installation d’une turbine pour le captage de l’énergie.
Par ailleurs, Abengoa a dévoilé que les travaux de mise en service ont nécessité plus de 2,4 millions d’heures de travail. Ils ont été réalisés sans accident entraînant un arrêt de travail, atteignant les niveaux de prévention des risques professionnels les plus élevés, et respectant les objectifs de santé et de sécurité en vigueur.
Selon l’entreprise espagnole, qui dispose actuellement de cinq usines en construction et d’une capacité totale installée de 2,3 millions de m 3 /jour, une attention particulière a été accordée aux Objectifs de développement durable (ODD), notamment sur le plan de la disponibilité de l’eau et de sa bonne gestion, avec l’adoption de mesures d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques et de préservation de la vie des écosystèmes terrestres. Au total, la capacité de l’entreprise est répartie sur plus de 30 usines de dessalement dans 13 pays.
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