Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
Opération du CRT Agadir SM à la fois bien organisé et bien apprécié par les invités. Pour l’histoire, L’origine des relations entre le Maroc et la Russie, remonte à 1777, lorsque le Sultan Mohammed III Ben Abdallah proposa à l’impératrice de Russie Catherine II d’établir des contacts et d’entamer des échanges commerciaux entre les deux empires et qui furent effectives.
Ce qui fut apprécié par l’Impératrice.
Et c’est en novembre 1897 qu’un consulat général de Russie fut ouvert à Tanger alors que les relations diplomatiques entre l’Union soviétique et le Maroc ont été établies le 1er septembre 1958. De nos jours les relations entre la Russie et le Maroc sont de haut niveau et dans divers de domaines de coopération.
L’idée de l’organisation du Fam Trip russe est une initiative de la délégation de la RAM Moscou, soutenu comme il se doit par le CRT Agadir et bien entretenu par Abdellatif Abid Consul Général Honoraire de Russie, à Agadir Souss Massa. Il est à noter que 90% des touristes russes qui visitent le Maroc choisissent Agadir, comme destination balnéaire d’hiver, pour son climat exception, en grande différence avec les températures à Moscou et ailleurs au dessous de zéro, alors qu’Agadir, il a fait 28° durant le séjour, au grand bonheur des membres russes du Fam Trip.
Ils étaient 20 participants invités par la RAM et par le CRT Agadir, coiffé par S. Benhamane, A. Abid avec une excellente coordination avec Monsieur le Wali qui avait suivi toutes les étapes de ce Fam Trip russe. La délégation russe se composait de représentants des TO et agences de voyages de Moscou et Saint Pétersbourg, de 5 journalistes et 5 bloggeurs célèbres.
Trois points essentiels à retenir soulevés par les russes, lors de cette rencontre. D’abord la longue attente à l’aéroport de Casablanca, suite au vol Moscou/Casa mais qui ne continue pas vers Agadir. D’où une attente de 11H30 à 16H30 pour enfin arriver à Agadir à 17H30. Long attente difficilement insupportable pour un début de séjour au Maroc. Deux solutions envisages, une continuation du vol vers Agadir. Sinon , mieux encore un vol Moscou/ Agadir, ce qui va merveilleusement développer et encourager la vente de séjour à Agadir et dans la région…
Le dernier point soulevé est la formation en matière de langue russe, pour le personnel des hôtels( réceptionnistes, femmes de chambres, employés de restauration etc … L ‘expérience avait été une grande réussite en 2012, déjà, menée par Abdelatif Abid, en tant que Consul Général Honoraire de Russie, bon partenariat avec les hôteliers au sein de l’Association Hôtelière. Opération menée par des enseignantes russes vivant à Agadir.
La réception magistrale en présence de certains professionnels du tourisme à Agadir, avait été bien émotionnelle au sein des visiteurs, dont certains membres, étaient en larmes. Ils avaient vécu, avec des lettres de noblesse, l’hospitalité marocaine légendaire et le climat bien ensoleillé à Agadir ; un accueil magistral à tout point de vue. Une mission parfaitement réussie.
Un bon point pour la commercialisation du produit touristique d’Agadir, en Russie.
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9ᵉ édition des Assises Nationales de la Santé à Agadir
La parité tarifaire n’est plus. Suite au DMA, les hôtels sont libres de proposer de meilleurs prix sur leurs canaux directs, et donc d’apparaître plus chers sur la plateforme Booking.com.
À compter d’aujourd’hui, Booking Holdings « doit veiller à ce que son service d’intermédiation en ligne, Booking.com, respecte toutes les obligations pertinentes de la législation sur les marchés numériques (DMA) », selon la Commission européenne.
Mais encore ? La DMA interdit les clauses dites de « parité ». « Par conséquent, les hôtels, les loueurs de voitures et les autres prestataires de services utilisant Booking.com sont désormais libres d’offrir des prix et des conditions différents (y compris meilleurs) sur leur propre site web ou sur d’autres canaux que sur Booking.com », ajoute la commission.
Pas de parité, ni l’équivalent
L’Europe va plus loin. « La réservation ne doit pas introduire d’autres mesures ayant le même effet que les clauses de parité », est-il expliqué. En clair, Booking.com « n’est pas autorisé » à augmenter les taux de commission ou à retirer des annonces d’entreprises qui oseraient afficher des tarifs plus attractifs. Le leader de la réservation hôtelière n’a ainsi pas le droit de pénaliser la politique commerciale des établissements. Reste à savoir s’il ne le fera pas, discrètement, au niveau de son algorithme et des préférences d’affichage…
En tout cas, Booking.com déclare respecter les nouvelles règles du jeu. « À compter d’aujourd’hui, échéance fixée par la Commission européenne, Booking.com répond aux exigences de la loi sur les marchés numériques (Digital Markets Act) dans l’Espace Économique Européen (EEE) », indique l’entreprise néerlandaise dans une déclaration transmise ce jour à L’Echo touristique.
Des amendes en cas de violation des règles
Par ailleurs, les hôtels et autres services touristiques auront accès « en temps réel et en continu » aux données qu’eux-mêmes et leurs clients génèrent via l’utilisation de Booking.
« Les utilisateurs professionnels peuvent désormais choisir de transférer les données qu’ils ont générées sur Booking.com vers des plateformes alternatives ». Et ce, afin de « développer des offres plus innovantes et personnalisées ».
En cas de violation des règles du DMA, la Commission peut imposer des amendes allant jusqu’à 10% du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise. Voire jusqu’à 20% en cas de récidive. Bruxelles pourrait même aller jusqu’à contraindre l’entreprise concernée à vendre certaines activités ou l’empêcher de faire certaines acquisitions.
Des changements pour certains pays
Par courrier, Booking.com a annoncé au printemps à ses partenaires que, à partir du 1er juillet, les obligations de parité des accords ne s’appliqueraient plus à ses établissements partenaires situés dans l’EEE. « Vous n’avez donc pas l’obligation de proposer sur Booking.com des conditions et des tarifs identiques ou plus avantageux que ceux que vous proposez via d’autres canaux en ligne ou hors ligne », précise le géant de la réservation hôtelière.
Cette annonce ne concernait toutefois pas les établissements situés en Allemagne, en Autriche, en Belgique, en France, en Italie et au Portugal, précisait alors la plateforme. De fait, les obligations de parité tarifaire ne s’appliquaient plus dans ces pays.
Entré en vigueur début mars, le DMA vise à contrer les abus de position dominante. L’Europe souhaite ainsi mieux protéger l’émergence de start-up.
Source : https://www.lechotouristique.com/